Un après-midi chez mon amant

Un après-midi pendant la sieste de mon cocu j’étais montée rejoindre Christian, il faisait beau et chaud et il avait laissé les fenêtres et volets grand-ouvert , après m’avoir dévoré la toison et fait presque jouir en me léchant ma lourde poitrine, il me besognait avec fougue tant il est fier de cocufier mon mari, a un moment j’entendis mon cocu sortir dans la cour et m’appeler  » Annick … Annick  t’es où ?????

Zut il s’était réveillé plus tôt que d’habitude et ne me voyant pas aussi bien dans les jardins que dans dans le coin il s’enquerra auprès de la voisine pour savoir si elle m’avait aperçu …..

Christian ayant tout aussi bien entendu que moi mon mari poursuivit sa tâche sans fléchir et en me maintenant encore plus fortement sous lui………. je sentais que son sexe désirait me baiser  encore plus fort comme pour bien faire comprendre à mon cocu qu’il l’était « cocu » et que Christian était mon amant. Et en sachant que mon mari était en bas sous ses fenêtres, il était fier de me baiser comme étant dorénavant sa femme………….il me prit  les mains et les posa au dessus de ma tête pour me maintenir plus fortement tout en me pilonnant le sexe à grands coups de sa queue de breton;;;; je serrais les dents  pour éviter de jouir trop fort et en ouvrant les yeux j’ai vu son regard noir prendre une physionomie étrange comme celle d’un homme dans la plus totale jouissance fier de me baiser tandis  que moi je tentais de me retirer pour éviter les ennuis …mais j’étais sa chose et je ne devais surtout pas l’oublier ……Christian me porta alors des coups de plus en plus forts quitte à faire grincer et chavirer  le sommier encore plus dangereusement ……….je ne pouvais vraiment plus bouger……..et lui ahannait sous les coups qu’il me portait, il râlait presque et émettait des ahaha HAN HAN HAN et moi de mon côté, ne pouvant me retenir je gémissais doucement.

A un moment mon cocu toujours discutant avec la voisine lui demanda  » elle ne serait pas chez Christian par hasard ???? je sais pas répondit-elle…..je sais pas.

Quelques secondes après nous l’entendîmes monter l’escalier de bois et sonner à la porte ,  mon mari était derrière la porte. Christian fier d’être avec moi et pour l’humilier encore plus et sans trop élever la voix disait :

-« Qu’est-ce que tu veux pauvre con, tu peux pas nous laisser tranquille, je baise ta femme pour l’instant et j’en ai pas encore finie avec elle……je lui fait l’amour puisque tu ne peux plus bander, avec moi elle jouis au moins……..dégage fout nous la paix pauvre cocu.. »

Je alors vis son regard se transformer, prendre une moue hautaine, un rictus sauvage comme s’il voulait me défoncer encore plus….. et presque me faire hurler de bonheur tant il me baisait à fond, je retenais mes cris pour ne pas alarmer les alentours et fier d’être avec moi, ses lèvres se collèrent aux miennes et il me roula des pelles de plus en plus nerveuses tout en me faisant bien sentir la puissance de son sexe………mon mari insista un peu puis je l’entendis redescendre et annoncer à la voisine

–  » ..Non Christian n’est pas chez lui, pourtant sa voiture et dans la cours…………..il a dû partir faire un tour à pied et aller observer les oiseaux répondit-elle…….vous avez sans doute raison et de plus je ne vois pas ce qu’elle aurait été faire chez Christian !!!! ….. Bon sallez i vous la voyez vous lui direz que je suis allé faire un tour…….oui pas de problémes………et il partit….. »

« ……Tu vois me dit Christian il ne fallait pas s’alarmer pour si peu, maintenant on a tout le temps de poursuivre et il me baisa pendant encore plus d’une heure avec quand même des moments de récupération où il alla se pencher à la fenêtre et en voyant la voisine en dessous commença à discuter avec elle et de la remercier d’avoir tenu sa langue pour se qu’elle savait entre nous deux et l’entendit lui répondre

« ….Ne craignez rien Christian je ne trahirai jamais votre secret mais j’ai cru à un moment quand j’ai entendu le lit couiner plus fort qu’il allait se douter de quelque chose…mais bon tout s’est bien passé allez continuez bien » et elle rentra chez elle.

Revenant à mes cotés il me dit  » Tu vois il n’y a rien à craindre tout le monde est de notre côté et il me fit grimper sur son sexe ayant maintenant retrouvé tout sa vigueur et tout en me faisant danser sur lui, m’empoigna la poitrine et la pelota tendrement et là ne craignant plus rien, mes gémissements jouissifs se firent plus audibles et la voisine étant sans doute ressorti dit « …vous avez raison….. de faire l’amour comme çà …. il n’y a rien dans les parages ….et çà me rappelle ma jeunessse….et elle ria doucement »…..

Christian me prit avec tendresse et me fit encore une fois chavirer de bonheur, le lit couinait mais je n’en avais cure nous ne craignions plus rien.

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