Soumission

Isabelle a adoré mes précédentes histoires. Elle me l’a dit et m’a proposé de devenir ma maîtresse virtuelle. Mais les choses vont mal tourner pour moi.

Amante virtuelle mais réelle maîtresse.

J’entends sa voiture s’éloigner pendant que je compte jusqu’à cinquante, je suis rassuré, c’est fini, je retire cette fichue cagoule qui m’étouffe, je suis en sueur.
La lumière m’aveugle un moment, je monte vite dans ma voiture avant que quelqu’un n’arrive.
Je suis un peu déboussolé par ce qui vient de se passer, il me faut un petit moment pour retrouver mes esprits avant de rentrer chez moi avec le trou du cul en compote.
J’arrive chez moi, ma femme Annie m’attend, elle sait que je viens de voir une amante, j’ai sa bénédiction, elle ne peut pas me satisfaire sur le plan sexuel, elle refuse de faire presque tout, à part écarter les cuisses de temps en temps pour me permettre de la baiser le plus simplement du monde. Elle ne prend plus trop de plaisir à faire l’amour, d’où son accord pour que j’aille chercher mon plaisir ailleurs.
Nous avons la cinquantaine bien tassée, ma femme a deux ans de plus que moi, mais nous paraissons plus jeune. Il lui arrive souvent de se faire draguer par des jeunes hommes, elle n’est pas grande, 1,56 m, elle est rondouillarde, ses seins sont de taille moyenne 85 B et ils commencent à s’affaisser un peu, mais elle conserve un certain charme.
Elle m’accueille en me passant à l’inspection de son regard.
– Tu as pas l’air tellement dans ton assiette Xavier !
– Ça c’est pas bien passé ? Raconte-moi !
On s’était mis d’accord que si j’avais des aventures avec des amantes je devais tout lui raconter.
Non, ça c’est bien passé, c’est seulement que je suis tombé sur une femme mystérieuse, qui est une femme maîtresse, j’ai accepté de lui obéir et d’être son jouet.
Je ne peux pas te la décrire car elle m’oblige à mettre une cagoule avant son arrivé, que je retire seulement après son départ, donc je ne vois absolument rien pendant tout le temps que je suis avec elle.
Tu sais j’étais pas du tout rassuré sur ce parking avec ma cagoule qui m’empêchait de voir quoi que ce soit.
J’entends une voiture arriver, et se garer derrière moi, je sens une présence, je demande :
– Isabelle c’est toi ? D’une voix tremblante tellement je suis inquiet.
Une voix de femme me répond :
– Tais-toi, viens !
Elle m’attrape le bras et me guide jusqu’à sa voiture, me voilà un peu plus rassuré.
Elle me fait monter à l’arrière de sa voiture, elle me met la ceinture de sécurité et me surprend en me menottant les deux mains ensemble, me voilà à nouveau pas rassuré du tout d’être menotté.
Je lui ai demandé ou on allait, elle m’a dit tu verras bien et m’a ordonné de me taire, je t’avoue que j’en menais pas large, pas très confiant, mais comme convenu dans nos échanges mails je devais lui obéir aveuglément et sans poser de question, alors je me suis tu.
Nous avons roulé très longtemps, je commençai à trouver le temps long, assis s’en rien voir et s’en rien dire, elle non plus ne parlait pas.
Elle a fini par s’arrêter, elle m’a fait sortir de la voiture et m’a conduit dans une maison, puis dans une pièce.
Elle m’enlève enfin ces fichues menottes, mais je dois garder la cagoule, et m’ordonne fermement de me dévêtir.
Je m’exécute en lui tendant chaque vêtement que j’enlève, je me retrouve nu, pas rassuré du tout.
Je sens des doigts qui effleurent mon sexe, pas très en forme vu mon degré d’inquiétude, j’essaye d’attraper cette main mais je ne rencontre que le vide.
– Ne recommence jamais ça !
Me dit-elle sèchement en me faisant sursauter, puis elle m’attrape les bras qu’elle me met dans le dos avant de m’attacher à nouveaux.
Je déteste avoir les mains attachées.
Zut me voilà bien avancé, j’aurais mieux fait de ne pas bouger, qu’est ce qui va m’arriver, j’en mène pas large.
Elle me fait agenouiller, je sens contre moi comme un matelas, ça doit être un lit.
Je suis très inquiet, tout nu les mains attachées dans le dos et à genoux, je me demande bien ce qu’elle veut faire de moi, ou pire ce qu’elle peut me faire subir.
Je sens le lit bouger et un frôlement de chaque côté de mes épaules, ses mains attrapent ma tête et guident ma bouche vers quelques chose de chaud, doux et humide, que je reconnais immédiatement comme étant un sexe féminin, son odeur est délicieuse.
Je me mets à la lécher du mieux que je peux, pas facile sans rien voir et surtout sans les mains, mais rapidement ma bouche et ma langue trouvent leurs repères.
Me voilà un peu plus rassuré, je comprends qu’elle veut que je lui fasse un cunnilingus.
Ma bouche et ma langue essayent d’identifier ce qu’elles touchent, mes yeux et mes mains me manquent cruellement, tu sais que j’adore faire ce genre de chose mais avec mes mains libres et en y voyant.
Je finis par me repérer petit à petit, je sais maintenant si je lèche son clitoris ou ses lèvres ou l’intérieur de son sexe, maintenant ma langue va ou je veux qu’elle aille, je m’aperçois qu’elle se détend, elle s’allonge sur le lit, m’abandonnant son sexe, ses cuisses touches mes jouent de temps en temps, ces bas m’effleurent.
Elle mouille de plus en plus, m’inondant la bouche, j’ai du mal à ne pas m’étouffer avec sa cyprine, je l’entend gémir doucement, son sexe ondule de plus en plus et se contracte, elle essaye de ne pas gémir ni crier son plaisir, mais je sais qu’elle jouit, je ressens ses soubresauts et spasmes, ton corps fait pareil quand tu jouis, elle veut pas me montrer sa jouissance, elle essaye de me le cacher, je décide de faire celui qui ne s’en rend pas compte.
Une chaussure me repousse doucement, je l’entends qui se lève, qui passe derrière moi, j’essaye de reprendre mon souffle.
De l’avoir léchée et senti jouir m’a excité et je bande, j’attends inquiet, je la sens derrière moi immobile qui me regarde, elle fait durer son plaisir.
Elle me fait prendre appui contre le lit, ses mains m’oblige à écarter les jambes, bon-sang, qu’est-ce qu’elle va me faire, l’inquiétude me reprend !
Elle se met à me caresser les fesses, les flans, ça m’électrise, elle caresse ma queue du bout de ses doigts, je bande dur maintenant, elle ne fait que l’effleurer, elle me triture les couilles, elle me rend complètement dingue, je gémis, je me cambre pour m’offrir à elle, elle fait durer tout ça un bon moment, je veux quelle me fasse jouir, mais rien à faire, elle sait m’exciter un maximum sans me donner le plaisir que j’attends.
Soudain elle m’écarte les fesses, ses doigts caressent mon anus, j’aime cette sensation, et je comprends ce qu’elle veut, ce que je veux aussi, j’arrive à m’attraper les fesses avec mes mains attachées pour les écarter, pour lui offrir mon cul.
J’attends et j’entends qu’elle attrape et semble enfiler quelque chose, soudain elle me force à ouvrir la bouche pour y enfourner un objet en plastique, il n’a pas très bon goût.
Je reconnais un gode que je suce comme une bite.
Elle me demande :
– Tu sais ce que c’est ?
Je hoche la tête.
– Et tu sais ce que je vais en faire ?
Je hoche la tête à nouveau, la vache elle va me sodomiser.
– Parfait ! Alors tu sais que tu as intérêt à bien le lubrifier…
Je n’en mène pas très large, j’en ai envie, mais je suis vierge de ce côté-là, alors je m’applique à sucer et mouiller du mieux que je peux ce gode.
Elle me lubrifie l’anus avec du gel, ça me rassure un peu.
Je sens le gode qui appuie sur ma rondelle, elle m’attrape par les hanches et doucement le gode me pénètre, il s’enfonce lentement, ça me fait un peu mal et en même temps j’aime cette sensation.
Elle commence à faire des vas et vient, lentement, j’aime la sensation de ce gode dans mon cul, oui maintenant ça m’excite, je m’offre complètement, c’est moi maintenant qui m’empale tout seul sur cet engin, elle me caresse les seins et me pince les tétons, j’aime car je me le fais des fois tout seul, j’aime me caresser ainsi. Je m’active de plus en plus sur le gode, je suis très excité.
Ses mains abandonnent mes seins pour rejoindre ma queue hyper tendue par l’excitation, elle se met à me branler, je gémis, je grogne, qu’est-ce que c’est bon, enculé et branlé en même temps, ma jouissance monte, je me démène comme un fou, m’empalant à fond, j’accélère mes mouvements, j’ai l’impression que ma bite et mon cul vont exploser, la pression est de plus en plus forte, mon orgasme libérateur explose soudain, je jouis dans un râle libérateur, ma semence giclant en vagues dans la main de ma maîtresse.
Je reprends mon souffle doucement, j’ai pris un pied pas possible, je n’aurai pas imaginé cela possible, soudain elle me plaque sa main rempli de mon sperme sur ma bouche, m’obligeant à la lécher, je connais le goût de ma semence je l’ai déjà goûtée plusieurs fois, ça me dérange pas.
Après avoir fini de lui nettoyer sa main avec ma langue, elle me libère et m’aide à me rhabiller, puis me reconduit à sa voiture et me ramène au parking ou elle me libère en me demandant de compter jusqu’à cinquante avant d’enlever ma cagoule.
Qu’est-ce que c’était bon de pouvoir à nouveau voir et respirer librement sans cette saleté de cagoule, je suis vite monté dans ma voiture et je suis rentré.
Tu sais, Annie, que je ne suis pas habitué à ce genre de chose, mais finalement c’est pas si désagréable que cela, je dois reconnaître que j’ai quand même pris mon pied malgré une sacré dose d’inquiétude.
Elle me regarde amusé, et me déclare :
– Je crois que tu es en train de devenir une vrai petite salope soumise, mon mari ! Allez vas prendre une douche je crois que tu dois bien en avoir besoin.
Quelle surprise en me déshabillant de me retrouver avec une culotte de femme en dentelle rouge, je sentais bien qu’il y avait quelque chose de bizarre, mon caleçon ne me faisait pas le même effet qu’à l’ordinaire.
Je me surprends à m’admirer dans le miroir ainsi déguisé.
Décidément, ma maîtresse est pleine de surprises, je comprends que je dois revenir habillé ainsi la prochaine fois.
Qu’est-ce qu’elle va encore me réserver, j’en frissonne d’avance.
Soudain ma femme entre dans la salle de bain et me voit m’admirer ainsi vêtu, elle est surprise et amusée en même temps.
– Elle t’a fait un beau cadeau ta maîtresse, habillé comme ça tu ressembles vraiment à une salope soumise. A mon tour d’en profiter, si tu veux continuer à avoir des amantes, tu as intérêt à te comporter de la même façon avec moi qu’avec elle, tu as intérêt à m’obéir, sinon je te punirai !
Je suis extrêmement surpris par la réaction de ma femme, elle si effacée presque soumise, et pas très intéressée par les choses du sexe en temps normal, la voilà qui se transforme elle aussi en dominatrice, je lui dis :
– Qu’est-ce qui te prend, Annie, c’est pas ton genre !?
– Et bien maintenant ce le sera, tu obéis et tu te tais, sinon plus de sexe pour toi, ni avec moi, ni avec une autre. Tu es d’accord ?
J’ai jamais vu ma femme comme ça, je la reconnais pas, mais je vois qu’elle est très excitée par ce nouveau rôle et j’accepte sa demande, en plus je n’ai pas envie de me retrouver privé de sexe.
J’acquiesce d’un mouvement de tête, soumis comme avec ma maîtresse.
– Très bien ! Je vois que tu as compris, et que cette après-midi, tu as été bien dressé !
Bon sang qu’est-ce qu’elle va faire de moi ? Elle n’a aucune expérience !
– Enlèves ta culotte et donne-la-moi !
Elle la prend et passe dans mon dos ou elle me demande de lui tendre mes mains, elle prend mes mains et les attache avec la culotte dans mon dos, puis elle se déshabille.
– Agenouilles toi dans la douche !
J’obéis sagement en me demandant ce qu’elle a dans la tête.
Elle se place devant moi, son sexe devant ma bouche, je me dis qu’elle va vouloir un cunnilingus, elle est pourtant pas très amatrice de la chose.
– Tu vas boire à ma fontaine, et tu as intérêt à obéir !
Je suis très surpris, elle qui veut pas d’habitude que je la regarde faire pipi.
Elle s’approche et me colle sa chatte poilue sur ma bouche et commence à m’inonder, j’essaye de boire le plus possible, mais ce n’est pas facile, je sens sa pisse couler sur mon torse et même jusqu’à ma bite et mes couilles, la sensation est pas désagréable, mais je manque de m’étouffer en avalant son liquide. Heureusement son pipi n’est pas trop long et abondant.
Elle attrape ma tête à deux mains et la bascule en arrière m’obligeant à la regarder dans les yeux.
– T’es pas très doué, je vais devoir sévir, lèves toi et tourne toi !
J’ai à peine le temps de m’exécuter que je sens sa main s’abattre sur une de mes fesses puis sur l’autre sèchement, je suis surpris je m’y attendais pas, et ça fait mal.
– Puisque tu es un vilain garçon tu vas avoir la fessée, et tu te tais sinon je frappe plus fort !
Et la voilà qui recommence de plus belle, ouille ça fait mal, je serre les dents, un coup sur une fesse, ça claque sec, un coup sur l’autre, tranquillement, lentement, je reçois une sacré correction, au moins une vingtaine de claques sur mes fesses.
Quand elle stoppe ses coups, je sens mes fesses qui me brûlent.
La vache, je commence à trouver que le prix à payer pour avoir le droit d’avoir des amantes est beaucoup trop élevé, et elle n’en a pas fini avec moi.
Elle me détache en récupérant la culotte de femme et me dit de prendre ma douche en insistant sur mes fesses rouges qui ont besoin d’être refroidies.
L’eau sur mes fesses me fait du bien, ma femme me laisse tout mon temps pour prendre ma douche. Une fois bien détendu et refroidi, je coupe l’eau et me sèche, je passe doucement la serviette sur mes fesses encore sensibles, et je parle même pas de mon anus, bien endolori aussi.
Ma femme revient avec dans ses mains la petite culotte de femme et un tablier de cuisine.
– Remets ta culotte de petite salope et enfile ce tablier, tu vas aller faire la vaisselle !
Je déteste faire la vaisselle, et ne l’ai jamais faite, nous n’avons pas de lave-vaisselle. Annie tient sa vengeance, me voici déguisé en une espèce de soubrette, je m’admire au passage devant le miroir, et me trouve assez sexy habillé comme ça.
Je me dirige vers la cuisine, Annie sur mes talons. Je la vois qui prend au passage une tapette à mouches, j’ai la certitude que je vais encore déguster.
Je m’installe devant l’évier, Annie derrière moi, elle me donne un petit coup de tapette sur une fesse, et me dit :
– Allez appliques toi, sinon tu sais ce qui va t’arriver !
J’obéis, mes fesses ont assez donné pour aujourd’hui.
Soudain je sursaute, elle se met à me frôler, caresser les jambes avec sa tapette, ouf elle me frappe pas, elle me caresse aussi le dos, les bras, mon entrejambe, cela fini par devenir excitant et je commence à bander, si je continue ma bite va sortir de cette petite culotte de femme.
Elle abandonne sa tapette et se met à me caresser, m’effleurer, avec ses mains du bout de ses doigts, ça m’électrise comme avec ma maîtresse Isabelle, sur mes jambes, mes fesses, elle glisse ses mains sur mon torse, et s’occupe de mes seins, mes tétons, je bande dur maintenant, ma bite dépasse de la petite culotte.
Une main sur un de mes seins, l’autre descend vers mon sexe, ses doigts glissent sur ma tige, caressent mes boules qu’elle empoigne fermement, heureusement je viens de finir la vaisselle sans casse.
– Et bien ma petite salope tu bandes dur, tu as bien fais la vaisselle, tu mérites une récompense !
Elle m’entraîne dans la chambre, m’enlève le tablier de cuisine, le roule en le torsadant et m’attache les mains avec, puis me fait coucher sur le dos sur le lit.
Elle vient se placer à cheval sur moi, elle me plaque les bras au-dessus de la tête et me demande de les garder ainsi.
Elle dégage ma bite et mes couilles de ma petite culotte en les faisant sortir sur le côté, puis elle commence à frotter sa chatte sur mes couilles et la base de ma tige tout en me maintenant les bras, elle commence à mouiller, elle tient mon bras d’une main, et de l’autre m’attrape les couilles quelle essaye d’introduire dans son sexe, qu’elle frotte avec. Je trouve la situation très humiliante et pas très agréable, mes couilles sont très sensibles et j’apprécie pas trop le traitement, je grimace un peu par moment, ma femme me regarde et dans ses yeux je vois la dominatrice contente de me faire souffrir et de garder le contrôle, elle sait que ça reste une souffrance acceptable pour moi.
Au bout d’un moment que je trouve beaucoup trop long, elle finit par attraper mon gland et se l’enfourner dans le vagin, elle me tient à nouveau par mes deux bras, elle me chevauche lentement, appuyant bien à fond quand elle redescend, avalant ma tige entièrement, elle avance sa tête vers le côté de la mienne, me privant de la vue de ses seins qui ballottent, elle me mordille l’oreille, je suis bloqué, je contrôle plus rien, j’ai vraiment l’impression d’être devenu son objet, sa chose.
Malgré tout, l’excitation me gagne, ma bite gonfle et durcit encore plus, je gémis de plaisir, ma femme se rend compte que je vais jouir, elle stoppe sa chevauchée, et vient poser sa chatte trempée sur ma poitrine, elle se redresse et caresse son sexe sur mes seins de plus en plus vite, son clitoris frotte sur mon téton durci et tendu, il disparaît dans sa chatte, ressort, masse à nouveau son clitoris, et ainsi de suite, juste avant de jouir elle se lève et me détache.
– Lèves toi, tu vas me chevaucher, mais avant je vais chercher ma cravache.
Elle retourne chercher sa tapette à mouches, je bande plus mou tout d’un coup. Elle s’allonge sur le dos tenant sa tapette de la main droite.
Je me positionne au-dessus d’elle, elle attrape ma bite de son autre main et me masturbe doucement pour me refaire durcir, puis elle guide mon gland vers son vagin, je m’introduis en elle et commence ma chevauchée, la tapette me fouette doucement une fesse.
– Plus vite, allez baise-moi plus vite !
Et un autre coup de tapette sur ma fesse, la voilà jockey qui cravache sa monture, j’accélère le rythme, je la baise comme un fou, recevant de temps en temps un coup de tapette pour me stimuler, les coups sont donnés doucement, pas appuyés, et à ma grande surprise cela fini par m’exciter encore plus, ma femme couine, gémit, moi aussi je grogne et gémit, mon plaisir augmente et le sien aussi, j’ai l’impression d’être un marteau piqueur, je pilonne ma femme comme un dingue, nous finissons par jouir en même temps dans un orgasme libérateur et très intense, j’expulse ma semence tel un Karcher au fond de son vagin par vagues successives, je suis comblé et je vois dans les yeux de ma femme qu’elle l’est aussi.
Je m’écroule sur le côté complètement épuisé et essoufflé, ma femme passe sa main dans sa chatte et recueille avec ses doigts un peu de son jus et du mien mélangé, puis elle les porte à ma bouche et me demande de les lécher, ce que je fais volontiers.
Elle me dit : Désormais tu seras ma petite salope soumise et obéissante, il y a longtemps que j’avais pas pris un tel pied Xavier, j’ai retrouvé ma libido, tu remercieras ta maîtresse Isabelle, ou mieux, je la contacterai pour qu’elle me donne des cours, ou pour organiser quelque chose tous les trois.
Je devine que je n’ai pas fini d’en voir de toutes les couleurs, surtout si elles se mettent ensemble pour s’occuper de moi, j’espère que nos rencontres ne seront pas trop fréquentes, sinon je vais y laisser ma peau.
Moi qui suis du genre plutôt dominant avec les femmes, d’être devenu leur soumis, ma fierté en a pris un sacré coup, surtout avec ma femme, avec qui je vais être obligé de continuer ce petit jeu si je veux pouvoir continuer à baiser normalement avec des amantes.
Et même si j’arrête d’avoir des amantes, ma femme va vouloir continuer ce jeu maintenant qu’elle y a pris goût.
Comme je regrette d’avoir accepté de rencontrer cette maîtresse Isabelle, surtout que je l’ai même pas baisée, mais elle, elle m’a bien baisé !

Récit de See you.

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