Jean offre à Laurye une après midi orgasmique

Jean a invité Laurye au restaurant, il va lui faire un cadeau, qui va provoquer orgasme sur orgasme, il lui réserve plein de surprises cette après midi là, des surprises orgasmiques.

Épisode deux : Une après midi orgasmique.

Jean m’a rappelée. Je dois le rejoindre dans un restaurant.
Je me prépare, robe au-dessus du genou, avec un décolleté qui laisse voir la naissance de mes seins, chaussures à talons mais je me rappelle : pas de sous-vêtements. Il me veut nue.
Je suis déjà excitée : mes tétons sont tendus sous le fin tissu de la robe et je sens une légère humidité entre mes cuisses.
Lorsque je sors de mon hôtel, j’ai l’impression que tout le monde devine que je suis nue sous ma robe.
Le réceptionniste depuis mon après-midi de baise me regarde d’un air salace à chaque fois qu’il me voit, des clients ont dû se plaindre du bruit qui venait de ma chambre.
Le restaurant n’est qu’à quelques minutes de marche, je m’y rends donc à pied, les yeux rivés sur mon téléphone pour ne pas me perdre.
Arrivée sur les lieux la première, le serveur m’installe non sans jeter un coup d’œil sur mon décolleté.
Lorsque je me penche, ce qui se produit lorsque je pose mon sac sur le sol, mon décolleté s’entrouvre et il a une vue plongeante sur mes seins.
J’en profite et je reste penchée plus longtemps que nécessaire.
Je commande un verre en attendant.
Jean arrive alors, il me salue et s’assoit à côté de moi.
Lui aussi commande et nous commençons à bavarder.
La nappe dissimule sa main posée sur ma cuisse, il descend vers mon genou et relève ma robe au fur et à mesure qu’il remonte vers mon sexe.
Je me fige lorsque sa main effleure mon sexe et qu’il y glisse ses doigts dans ma fente.
Ma respiration s’accélère lorsqu’il pose son doigt sur mon clitoris et commence à le masser.
J’écarte mes cuisses pour lui faciliter le passage.
Il se penche vers moi et me murmure :
– Je vois que tu as suivi mes instructions et que tu es déjà prête à m’accueillir.
Je pose à mon tour ma main sur sa braguette et je sens son sexe tendu.
– Je vais aux toilettes, me dit-il, rejoins-moi dans quelques minutes.
Je le rejoint au toilettes, nous sommes seul.
Il sort de son sac banane des boules de geisha, il actionne un petit bouton caché dessus, il me les donne et me demande de me les introduire complètement dans le vagin, je le regarde un peu surprise et je me les introduis sans difficulté, je suis devenu sa soumise et j’obéis à toutes ses demandes, il sort aussi ma culotte que je lui avais mi dans la poche et me la tend en me disant de la mettre, pour que les boules de geisha reste à leur place, je suis déjà toute mouillée et sans culotte elles risquent fort de ressortir.
Il sort maintenant de son sac un petit boîtier discret, il appui sur un bouton et je sursaute, pousse un petit cri, me trémousse un peu, puis je dis :
– Oohhh la vache, ça surprend…. mais c’est bon… Oouuiii c’est bon…
Il appui sur un autre bouton pour arrêter les vibrations.
Il me dit :
– Je le mettrai en route et l’arrêterai quand je voudrai, il faudra que tu reste la plus discrète possible !
Il glisse la télécommande dans sa poche, puis nous retournons à notre table.
Le serveur nous apporte notre commande, nous commençons à manger.
Je vois qu’il regarde mes seins qui pointent à travers mon chemisier et qui déborde de mon décolleté on voit très bien que je n’ai pas de soutien gorge, je sais qu’il aime les voir ainsi, et il n’ai pas le seul, je vois bien les regards lubriques des serveurs et des autres clients.
Il passe sa main dans sa poche et actionne le bouton, je sursaute, je le regarde en souriant et j’ai du mal à continuer à manger normalement, il laisse l’appareil fonctionner environ une minute puis il l’arrête.
Il recommence plusieurs fois pendant le repas, m’amenant au bord de l’orgasme, il arrête l’appareil à chaque fois que je suis prête à jouir, je vous dis pas ma tête pendant le repas, j’essaye de cacher au maximum mon plaisir, mais j’ai part moment des expressions très bizarre, et des fourmis aux fesses, j’arrête pas de me tortiller sur ma chaise.
Le repas se termine, il paye l’addition et nous sortons dans la rue.

J’ai du mal à marcher. Ma culotte est trempée et je vois bien que les serveurs se doutent de quelque chose. J’ai passé la moitié du repas à me trémousser sur ma chaise et l’autre moitié rouge comme une tomate à essayer de ne pas jouir.
En plus, mes seins sont tendus à l’extrême et pointent tellement qu’on a l’impression qu’ils vont percer le haut de ma robe… quelqu’un d’un peu observateur ne peut que voir que je suis complètement excitée.
Je passe devant lui, je sais qu’il s’amuse à mettre en route son jouet et que ça lui plaît de me voir lutter contre l’orgasme. Il me guide vers sa voiture, je ne sais pas où nous allons mais je lui fais confiance.
– Je t’interdis de jouir, me dit-il, tu dois attendre.
Le trajet n’est pas très long mais plusieurs fois au cours de celui-ci, il actionne son petit bouton. Lorsqu’il s’arrête enfin dans un chemin, il me demande de poser les pieds sur le tableau de bord et d’écarter les cuisses. Il remet en marche le petit objet, et en même temps caresse mon clitoris par dessus la culotte. Les vibrations des boules de geisha plus son doigt sur mon clitoris me font décoller illico, je jouis très rapidement et très violemment.
Il me sourit, m’embrasse et me murmure à l’oreille qu’il a bien envie d’essayer autre chose, mais que pour cela il faut que nous sortions de la voiture.
Je regarde autour de moi, nous sommes bien isolés, personne ne nous verra. Il attrape un plaid, l’installe et me demande de m’y installer à quatre pattes. Il remonte ma robe sur mes reins, écarte ma culotte et fait couler quelque chose de froid sur mon anus.
Il se penche vers moi et me dit ce qui m’attend :
– Je vais t’enculer et quand je serai bien au fond de ton cul, je ferai vibrer les boules dans ta chatte !
Il prend la télécommande dans une main et il fait glisser son pantalon sur ses chaussures et sort sa bite bien raide de son caleçon, il appui son gland sur mon petit trou et commence à l’enfoncer doucement, il entre sans trop de problème bien à fond. je laisse échapper un « Huummm » de satisfaction.
– Te faire enculer, tu commence à aimer ça salope !
Il appui sur le bouton magique, ce qui a pour effet de me faire couiner à nouveau, et en même temps il commence un pilonnage en règle de mon cul, mes petits cries l’excitent comme d’habitude, et la en plus il y a les vibrations des boules dans mon vagin qui agissent aussi sur sa bite, ça le rend dingue, et moi aussi.
Il laisse tomber la télécommande par terre, il m’attrape par les hanches et me baise comme une bête, intensément, violemment, je crie, hurle, j’ai orgasme sur orgasme, et lui aussi rapidement joui dans mon cul, je sens sa semence qui gicle abondamment et avec beaucoup de vigueur, plusieurs jets qui semblent ne pas vouloir s’arrêter, heureusement que je m’étais vidé le cul avant, il sort son membre de mon cul, il est dégoulinant de sperme.
Je m’écroule sur le plaid en continuant de crier, j’ai d’énormes soubresauts, je lui crie :
– Stop !!, arrête les boules je t’en prie… Viiiiite !!!!
Il cherche la télécommande, et finit par la trouver et appuie sur le bouton d’arrêt.
Je continue à avoir encore quelques orgasmes puissants et bruyants, ma mouille à giclée à travers ma culotte, celle ci est dégoulinante et à mouillée aussi ma robe. Pendant ce temps il nettoie son membre avec des lingettes.
Petit à petit je reprend mon souffle et mes esprits, je suis sérieusement secouée, j’ai jamais joui comme cela aussi fort, aussi longtemps, avec autant d’orgasmes.
Je regrette pas d’avoir rencontré Jean, c’est un homme formidable, je suis contente de lui être soumise, d’obéir à ses moindre désirs, ce que je lui donne, il me le rend au centuple.
Soudain j’entends des voix, et j’aperçois trois hommes avec des paniers qui viennent vers nous, sans doute des cueilleurs de champignons.
– Déshabilles toi, mets toi toute nue, enlève aussi les boules, et laisses les faire !
M’ordonne Jean. Je le fais pas trop rassuré, mais j’ai confiance en lui.
Bonjours messieurs, voici un beau spécimen pour vous, vous avez le droit de la toucher, de vous branler et d’éjaculer sur elle, mais pas de la baiser.
Bon-sang il s’est rappelé que je lui ai confié que j’avais le fantasme de me faire toucher et éjaculer dessus par plusieurs hommes, je le soupçonne d’être venu ici exprès et même de leur avoir donné rendez vous.
Rapidement je me retrouve avec des mains partout sur mon corps, ils me caressent, pincent mes seins, tripotent mes cuisses, ma chatte, toutes ces mains c’est trop bon, très intense, j’ai un plaisir fou, je couine, gémi, comme pour Jean, cela les excite énormément de m’entendre, ils sortent leurs bites et se branle à tout va sur moi, tout en continuant à me caresser, je joui encore et encore, et eux aussi, je me retrouve couverte de sperme, j’étale ce sperme sur moi, me caresse avec.
Mon fantasme est devenu réel, merci Jean, merci messieurs.
Les gars remballent leurs matériels, nous remercient et reprennent leur chemin.
– Alors ma petite salope, tu as l’air d’avoir bien aimé, tu as pris un sacré pied !
– Oh oui, beaucoup, merci, tu sais ce que j’aime, tu as réalisé mon fantasme, tu es un amour !
Il me tend une serviette pour que je m’essuie, que je fasse un brin de toilette.
Il fouille dans le coffre de la voiture et revient avec des vêtements propre et même neuf pour moi.
Un joli chemisier, et une mini jupe très sexy, ainsi qu’une superbe petite culotte en dentelle, qu’il me tend en me disant que je les ai bien mérité, il me demande de les mettre sauf la petite culotte.
– Ta chatte a besoin de repos pour le moment, mais j’en ai pas encore fini avec ton cul de salope !
Il reprend les boules vibrantes, et me fait mettre à quatre patte, mon cul bien offert vers lui, il me les enfonce facilement dans mon cul, puis il me demande d’enfiler ma petite culotte.
Il prend la télécommande pour faire un essai, je sursaute, tout mes boyaux vibrent, quel sensation délicieuse, il appuie sur le bouton stop, je me sens un peu frustrée.
On range les affaires dans le coffre de la voiture, puis on repart vers la ville, il me laisse tranquille pendant le trajet, je sens les boules qui bougent suivant les chaos de la route, j’aimerai bien qu’il les remette en marche.
Arrivé en ville il se gare sur le parking prêt du vieux pont, ou il m’a caressée la chatte pour la première fois ( voir l’épisode précédent ).
Nous descendons de la voiture et nous nous dirigeons vers le pont, il y a pas mal de touristes présent, soudain les boules se mettent à vibrer, comme j’aime cette sensation, j’ai du mal à marcher normalement, les gens me regardent, je passe pas inaperçu avec ma tenu de salope, mini jupe très courte et mes seins sans soutient gorge qui pointent à travers le chemisier assez transparent, et en plus je tortille du cul exagérément à cause des boules.
Hier encore j’aurai eu honte de me comporter ainsi, mais aujourd’hui de faire la salope et que l’on me prenne pour une salope, j’en suis plutôt fière, et à ma grande surprise j’adore ça, c’est une véritable révélation, Jean a su lire en moi et je ne pourrais jamais assez le remercier de m’avoir montré qui je suis réellement, une salope épanouie.
Sur le pont nous nous installons dans notre recoin préféré, je suis énormément excitée, par les boules qui vibrent dans mon cul et aussi par les souvenirs de ce qui c’est passé entre nous sur ce pont, et qui a été un véritable révélateur pour moi.
Jean se plaque contre moi dans mon dos et passe sa main sous ma jupe et glisse ses doigts dans ma culotte sur ma chatte, ça m’électrise, je mouille beaucoup, heureusement ma culotte absorbe un peu, elle est trempée, mais elle empêche que ma cyprine coule le long de mes jambes.
Ses doigts caressent mon clitoris et s’enfoncent dans mon vagin en même temps, avec il fait des vas et vient, je serre les dents pour ne pas couiner et crier ma jouissance à tout le monde, les boules plus ses doigts me font grimper au septième ciel, l’orgasme arrive puissant, me secoue, les gens me regardent, je sais qu’ils savent que je suis entrain de jouir comme une folle, cela augmente encore mon plaisir, Jean m’embrasse sur la bouche pour m’empêcher de crier, je sens que les boules ne vibrent plus, il reste juste ses doigts enfoncés dans ma chatte contractée dessus, il les retire doucement en les essuyant sur ma culotte, je me détend enfin, apaisée, comblée, heureuse comme jamais je ne l’ai été.
Voyant que le spectacle est terminé, les gens reprennent leur chemin, une jeune femme vient vers nous et s’adresse à moi.
– Madame vous avez beaucoup de chance d’avoir un homme comme lui avec des doigts en or, monsieur je tiens à vous féliciter, bravo vous êtes très doué, si un jour vos doigts s’ennuient contactez moi, seul ou avec madame, je suis sur qu’à trois cela doit être vraiment super.
Et elle s’en va après avoir donné sa carte à Jean.
Nous nous regardons en riant, tien une nouvelle, conquise par Jean, faire ça à trois pourquoi pas, du moment qu’il est avec nous ça ne peut que devenir formidable, je lui en fais part, il est pas surpris, au contraire il me dit qu’il savait que j’allais le lui demandé, décidément il lit en moi comme dans un livre.
Il me dit, on va rentrer à l’hôtel, tu as besoin d’une bonne douche et de te reposer un peut, on organisera une partie à trois avec cette femme un autre jour.
Arrivée dans la chambre je me déshabille, je me sens vraiment sale, je me dirige dans la douche, Jean me regarde amusé.
– Tu as pas oublié quelque chose ?
– Non je crois pas !
– Et les boules dans ton cul de salope, tu y as pris tellement goût, que tu oublies de les enlever !
Mince, c’est vrai, j’y ai pris goût, je les retire à regret et les donne à Jean.
Je te les laisse avec la télécommande, tu oublieras pas de bien les nettoyer, lave toi j’ai une surprise pour toi quand tu auras fini.
Je prends mon temps sous la douche, l’eau qui coule sur mon corps me ressource, j’ai tellement eu d’orgasmes cette après midi en si peut de temps, cela ma épuisée, j’aurais jamais cru possible de prendre un tel plaisir, j’ai vraiment beaucoup de chance de l’avoir rencontrée.
Soudain je reviens à la réalité et je me rappelle qu’il m’attend avec une surprise, je me sèche vite pour le rejoindre.
Il m’attend avec dans les mains une boite, un cube, qu’il me tend.
Je prend la boite et je l’ouvre. Surprise un bijou qui ressemble à un énorme diamant trône au milieu de la boite, je le sorts et découvre que ce n’est pas une bague, mais un plug anal.
– Tu sais ce que c’est ?
– Oui c’est pour mon cul de salope !
– Et tu vas devoir le porter en permanence !
Je saute au cou de Jean pour l’embrasser voracement sur la bouche, je suis toute excitée par ce merveilleux cadeau.
Depuis que j’ai enlevé les boules je ressens un grand vide, qui va enfin pouvoir être comblé par ce plug, je me penche en avant offrant la vue de mon cul à Jean, et je me dépêche de le mettre toute heureuse.
Il te va très bien, tu es très belle avec ce bijou, marche un peu avec pour voir !
Qu’est ce que c’est bon d’avoir ce truc dans mon cul qui masse ma rondelle quand je marche, je vais encore tremper ma culotte en permanence.
Merci mon chéri c’est un cadeau merveilleux, tout comme cette journée passé avec toi, tu m’as offert le plus beau jour de ma vie, et te connaissant, je pense que je vais en avoir encore beaucoup d’autres.
– Attends elle est pas fini cette journée !
– Mets toi à quatre patte sur le lit, ton joli petit cul tourné vers moi !
Je vois Jean se déshabiller, et s’approcher de moi, qu’est ce qu’il a encore en tête.
– Hier je t’ai fisté la chatte, aujourd’hui c’est au tour de ton cul !
Et il m’enlève le plug, enduit sa main et ses doigts de gel pour y glisser deux doigts à la place qui commence à tourner et faire coulisser dans mon cul, ça rentre tout seul me dit il, et il place tous ces doigts contre ma rondelle et les enfonce en tournant doucement, ils rentrent facilement, mon cul a été bien échauffé et préparé cette après midi, sa main rentre complètement, il me fiste doucement au début, puis il se met à me fister comme un dingue, sa main et son bras me labourent les intestins, je crie de jouissance, un cri continu, ininterrompu, juste avec des modulations, encore un orgasme incroyablement fort, un de plus aujourd’hui, je m’écroule sur le lit, il retire sa main et va la laver.
Il revient, je me suis mit entre temps sur le dos, je m’aperçois qu’il bande dur, il se précipite sur moi pour me baiser, brutalement, il me baise comme une pute, comme une salope que je suis, je suis tellement mouillée qu’il est entré en moi comme une lettre dans une boite aux lettres, il me baisse intensément, un vrai marteau piqueur, je couine comme une folle, les voisins vont encore se plaindre, mon orgasme arrive rapidement, j’ai tellement joui aujourd’hui, qu’il arrive très rapidement, lui aussi de m’entendre et sentir jouir, joui à son tour intensément, je sens son sperme gicler en moi, il râle de plaisir, il râle son plaisir, il continu à me baiser doucement en me regardant dans les yeux, nous sommes si heureux tous les deux, il arête de baiser pour m’embrasser tendrement, comme c’est bon d’être ensemble, comme ça.
Nous restons enlacé un petit moment, puis il se lève, je le retiens par la main.
– Attends je vais nettoyer ton merveilleux instrument avec ma bouche, je sais que tu as été privé de ce plaisir toute ta vie.
Et je me saisie de sa bite que je me mets à lécher consciencieusement, je la sens à nouveau durcir, la preuve qu’il aime ça, je l’avale maintenant goulûment, je lui fais un fellation comme jamais il a eu, le pauvre, avoir été privé d’un tel plaisir, c’est pas humain, j’en veut pas à sa femme, à cause d’elle il se retrouve avec moi, mais l’avoir priver de pipe toute sa vie quand même, qu’elle garce.
Il gémit, grogne, je suis ravi de lui faire plaisir, il aime et moi aussi j’aime ça sucer sa bite, je le sens durcir encore plus, sa queue palpite, soudain sa semence gicle dans ma bouche, abondante encore, malgré qu’il vienne de jouir au par avant, j’ai du mal à tout avaler, je vois son plaisir dans ses yeux, il est heureux, j’aime tellement le rendre heureux, il fait tant pour moi, il me donne tant de plaisir et de bonheur, que j’aime le lui rendre dès que je peux.
Il me dit qu’il est tard, qu’il faut qu’il rentre, il prend une douche en vitesse, m’embrasse et s’en retourne chez lui.
Je viens de passer deux jours formidables, les deux plus beaux jours de ma vie, j’aimerais tant qu’il reste avec moi, mais il reviendra demain pour de nouvelles aventures, je serai à nouveau sa salope, sa chose, sa soumise, son esclave, son jouet, j’aime tellement ça, c’est ce qu’il m’a fait découvrir, et je veux que le reste de ma vie soit comme cela maintenant, avec lui, mon amant, mon maître, mon amour.

J’ai écris cette histoires d’après des confidences que ma fait une amante virtuelle avec qui j’ai échangé par mail et avec son accord.

Récit de See you.

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