Je suis une jeune femme black cadre dans une grande entreprise, le vieux PDG va me piéger pour m’obliger à devenir sa soumise, sa chose, son objet sexuel, venez découvrir tout ce qu’il va me faire subir. Vais-je finir par y prendre goût?
Je suis Emy une jeune femme black de 29 ans, très jolie et sexy, 1,68m pour 55kg, cadre responsable des commandes et des stocks, dans une importante entreprise de cosmétiques de luxe.
Ce poste fait que je suis en contact direct avec le PDG plusieurs fois par semaine pour des réunions de travail, c’est un homme de 60 ans grassouillet assez grand et à l’aspect autoritaire.
Depuis le début j’ai remarqué que cet homme était attiré par mon physique, mon look, je suis souvent en jupe courte et vêtements moulants, je sens ses regards pesants et vicieux sur moi et quand nos regards se croisent il détourne les yeux.
Moi, je fais celle qui n’a rien remarqué, rien vu pour être tranquille et puis c’est vrai que j’aime plaire, finalement ça m’amuse de l’exciter parfois .
Il ne m’a jamais rien proposé, ni aucune allusion, juste ces regards furtifs, nos relations et conversations restent uniquement professionnelles.
Nous sommes mardi matin, je suis dans mon bureau le téléphone sonne.
Je décroche, c’est la secrétaire du PDG, celui ci désire me voir immédiatement.
Je me rends dans son bureau, je suis habillé avec un tailleur chic très sexy, la jupe est assez courte, j’ai un chemisier blanc légèrement transparent qui laisse entrevoir mon soutient gorge blanc en dentelle qui met en valeur mes seins.
Une fois la porte du bureau refermée il me fait asseoir dans un fauteuil assez bas en face de son bureau à environ un mètre cinquante de ce dernier.
Il s’assoie sur son bureau en face de moi en me reluquant bizarrement.
Il me dit tout de go d’une voix forte et autoritaire:
– Mademoiselle Emy cela fait plusieurs mois que je vous fais surveiller, j’ai été prévenu que des produits disparaissaient régulièrement du stock depuis au moins deux ans, vu que vous êtes la responsable de ce service, j’en ai vite déduit que vous étiez la mieux placée pour organiser ce genre de méfait, si vous n’étiez pas responsable de ces vols, vous auriez du vous en rendre compte et m’en informer, comme ce n’est pas le cas, la conclusion c’est vite imposée.
– Inutile de nier, j’en ai la preuve, ou même plutôt les preuves.
– J’ai les rapports d’un détective privé que j’ai engagé pour vous surveiller, tout y est en détail, les jours et les produits que vous avez volé, comment vous les revendez et à quels prix.
– La dernière preuve en date, le chèque de 1500 euros que vous avez encaissé sur votre compte bancaire, vous voyez j’ai tout ce qu’il faut pour porter plainte contre vous.
– Ne dite rien, je vois à votre regard de chienne battue que vous reconnaissez les faits.
– Deux solutions s’offre à vous:
– La première, je vous vire et je dépose une plainte contre vous, vous savez ce que cela risque de vous coûter, de la prison, l’obligation de rembourser à l’entreprise les sommes que vous avez volées, plusieurs milliers d’euros, plus de 60000 euros en fait.
– Ou alors vous acceptez de devenir ma chose, ma soumise, mon esclave sexuelle, et dans ce cas, j’oublie tous vos méfaits, à conditions que ceux ci cessent immédiatement bien sur, plus question que vous voliez quoi que ce soit, et vous restez à votre poste dans la société et continuez à toucher votre salaire.
– Ne dites rien, pas encore, j’ai pas finit!
Depuis le début de l’entretien je vois son regard lubrique sur ma poitrine et mon entre jambe, il doit avoir une belle vue sur mon intimité depuis sa position, je comprends d’un coup pourquoi mon siège est placé ainsi et pourquoi lui s’est mit en face assit sur son bureau, quel salop.
Il se lève en se pavanant avec son gros bidon en avant, il me regarde avec un regard salace et un sourire en coin, se type me donne envie de vomir, j’ai toujours détester les hommes vieux avec du bidon, il tourne autour de moi, tel un animal devant sa proie, il reprend d’une voix douce, sournoise, qui me surprend.
– Cela fait très longtemps que vous me faites fantasmer avec vos tenues sexy, j’imagine vos seins qui pointent, votre chatte épilée, vos cuisses superbes et vos fesses rebondies que vous exhibez souvent sous mon nez, votre petit ventre appétissant, vous m’avez mit en grand appétit, vous allez devoir faire tout ce que je vais vous demander sans vous plaindre, m’obéir aveuglément à chaque fois que je vous le demande, vous rendre disponible pour satisfaire toutes mes envies quelles quelles soient, et à quelques moments que ce soient, vous laissez faire totalement par moi, si vous acceptez cette offre.
Je lui répond que je le trouve repoussant, que je n’y arriverai jamais.
– Écoutez ce n’est pas mon problème, au contraire cela m’excite encore plus, je trouve même que c’est encore mieux que vous me trouviez dégouttant, cela va augmenter mon plaisir, vous serez la pour mon plaisir uniquement !
Je lui dis que je suis en couple, que je peux pas faire cela, que c’est immoral, il répond de sa voix autoritaire.
– Je m’en fiche, c’est votre problème, pas le mien, je vous donne jusqu’à jeudi soir pour y réfléchir, si je n’ai pas de nouvelles de vous à ce moment la, cela voudra dire que vous acceptez entièrement mon offre, de toute façon il n’y a absolument rien à négocier.
Au revoir mademoiselle, vous pouvez rejoindre votre bureau.
Et bien me voilà prise au piège, tout est de ma faute, malgré un bon salaire, j’ai détourné depuis presque 2 ans des centaines de produits que je vends pour moi, par l’intermédiaire de copines, de relations, internet…
Quand on connaît le prix de ces cosmétiques de luxe cela fait beaucoup d’argent, 60000 euros d’après le PDG, j’avais jamais fait le calcul, je faisais cela par jeu, par bêtise, pour satisfaire des copines au début, puis je me suis laissée entraîner dans l’engrenage, sous les demandes de plus en plus importantes.
Je sais maintenant comment il m’a piégé, une femme, qui en réalité doit être la détective, ou faire parti de son entourage, m’a acheté une grosse quantité de cosmétiques pour 1500€.
Je le fais jamais, mais comme la somme était importante, j’ai accepté et encaissé son chèque!
Et voilà comment je me suis retrouvé prise au piège de ce vieux cochon, il a raison je ne peux m’en prendre qu’à moi, je l’ai allumé avec mes tenues sexy, ce type me dégoûte, mais ça m’amusait de l’exciter pendant nos réunions, du coup il fantasme sur moi, et je viens de lui fournir l’occasion qu’il attendait.
Comment je vais pouvoir supporter cette situation, devenir sa chose, son objet sexuel, je préfère ne pas penser à ce qu’il entend par là.
Je suis trop jeune, je veux pas aller en prison, je peux pas le rembourser, j’ai bêtement dépenser tout cet argent.
Je vais être obligée d’accepter son chantage, qu’est ce que j’ai fait, je suis vraiment trop conne.
Le vendredi matin je n’ai pas donné de réponse au PDG, j’accepte donc son offre à contrecœur, j’y suis obligée, contrainte, je m’attend au pire de sa part.
J’appréhendais ce moment depuis deux jours et maintenant on y est, ce jour horrible est arrivé mais je n’ai pas le choix!
Je me rend à mon bureau comme ci de rien n’était, au bout d’une heure je reçoit un coup de téléphone de la secrétaire du PDG m’informant que celui ci désirait me voir à 14 heure précise, pendant une heure, à moi de m’organiser en conséquence, puis elle raccroche.
Impossible de me défiler, le temps va paraître long jusqu’à cette heure fatidique.
A l’heure prévu je me rends à son bureau, je suis habillé comme le mardi avec un tailleur chic et une jupe courte, un chemisier blanc et mes chaussures à talon haut qui me font de belles jambes et des fesses rebondies.
La secrétaire me fait entrer dans le bureau, le PDG lui demande de refermer la porte et surtout que personne ne le dérange sous aucun prétexte.
Je suis à peine entrée qu’il me demande de fermer la porte à clef et d’approcher.
Je m’exécute, il est assis derrière son bureau, je vais pour m’asseoir, il m’ordonne de rester debout au milieu de la pièce, d’une manière assez autoritaire.
Il a les yeux qui brillent d’envie, un regard vraiment salace avec un petit sourire en coin, il se lève et viens vers moi très fier, avec sa silhouette infâme, ce con me mate, ça l’excite déjà, je suis immobile comme paralysée, j’ai les mains moites, j’angoisse, il me parle avec une voix ferme.
– Je vois que ma petite voleuse a accepter mon offre, c’est vrai que je ne vous ai pas laissé vraiment le choix, maintenant vous êtes ma chose et vous me devez une obéissance complète, ce sera votre punition pour avoir volé notre entreprise.
Il me tourne autour tranquillement avec un regard sournois qui en dit long sur ce qu’il pense de moi, je sais qu’il m’observe, qu’il essaye de deviner mon corps nu sous mes vêtements, il a trouvé sa proie, il veux faire durer son plaisir, puis il prend une voix douce qui me surprend.
– Mademoiselle Emy vous êtes très belle et très sexy habillée ainsi, mais je crois qu’il est temps que je déballe mon paquet cadeau, j’ai très envie de savoir ce que me cache l’emballage, de voir si le contenu est aussi charmant que le contenant.
Il s’avance vers moi, je stress encore plus, il prend ma veste, il commence par dégager mon épaule avec ses gros doigts, puis il tire doucement sur la manche pour l’enlever d’un côté, puis il fini de l’ôter par l’autre côté, et il va la déposer sur un fauteuil.
Il revient tranquillement vers moi et détache ma jupe qui tombe à mes pieds, il la prend en me demandant de lever mes jambes pour pouvoir la récupérer puis il la dépose aussi sur le fauteuil.
Il me regarde avec ses yeux qui brillent, je me sens déjà nue, il continue à me parler toujours avec sa voix douce.
– C’est très bien vous êtes docile, continuez à vous laisser faire, baissez la tête et votre regard, montrez moi bien que vous êtes ma soumise.
Je le fais pour lui obéir mais aussi parce que je me sens très mal à l’aise, je ne voie de lui que son gros ventre et ses grosses mains. Puis il s’attaque aux boutons de mon chemisier qu’il déboutonne un part un, très lentement, comme pour m’effeuiller, je sens la paume de sa main faire sournoisement une légère pression, comme pour jauger et deviner mes seins au passage, il prend les deux côtés du chemisier et il me l’hôte en dégageant mes épaules délicatement, puis il va le déposer sur le fauteuil.
Je me retrouve en sous-vêtement sexy, je porte un soutien gorge en dentelle et un shorty assorti, il me regarde longuement en tournant autour de moi, je suis de plus en plus gênée, je me dis sans trop y croire qu’il va peut être en rester là, qu’il me trouve sexy et qu’il va se contenter seulement de ça, que bien sur ce gros porc ne pouvait pas mieux espérer que de déshabiller une jeune black bien faite comme moi.
Hélas il reprend avec une voix mielleuse.
– Mon cadeau est très sexy dans cette tenue, vous avez bien fait de voler l’entreprise, grâce à vos actes j’ai maintenant la plus belle chose que je pouvais souhaiter, une très belle jeune femme entièrement soumise à ma volonté.
Il passe dans mon dos, j’en ai donc pas fini, je sens ses gros doigts qui s’affairent sur les agrafes de mon soutien gorge, il le dégrafe tranquillement puis il l’enlève toujours avec cette même douceur de perversité, les bonnets tombent et libèrent mes seins qui bougent à peine car ils sont durs et fermes, en tombant le bonnet a frôlé mes tétons qui sont proéminents et je les ai senti durcir malgré moi, et il va déposer mon soutien gorge sur le fauteuil.
Il se retourne et admire ma poitrine bien ferme et mes tétons tendus, avec ses yeux qui pétillent, son visage s’éclaire, je ressent son excitation qui monte encore d’un cran, il laisse échapper un Huumm de satisfaction.
Quand il repasse encore derrière moi, je ne me fais plus d’illusion, il ne me reste plus qu’un seul morceau de tissus sur le corps, il passe ses doigts sur les côtés, écarte mon shorty de mes hanches et commence a le baisser.
Cette fois ce porc va me mettre nue, je sens le fin tissus descendre progressivement, je sens son souffle sur mon dos, sur mes fesses, cette fois il dévoile toute mon intimité, mes fesses bien rondes, ma chatte lisse, il fait glisser ma culotte le long de mes cuisses comme on le ferait à une petite fille, ma poitrine me serre, mon ventre se creuse, j’ai des frissons sur tout le corps, je ne sais pas pourquoi, comme si j’étais excitée!
Je suis désormais entièrement nue à sa merci, je lève mes jambes pour qu’il finisse de l’enlever, il se dirige vers le fauteuil et hume longuement mon shorty avant de le déposer avec le reste de mes vêtements avec un sourire béat.
Ce gros porc prend son temps pour m’admirer ainsi toute nue, en tournant lentement autour de moi les yeux avides, son regard me transperçant, s’attardant sur chacune des parties de mon anatomie, fantasmant sur mon corps et sur ce qu’il aimerait en faire, et il me parle toujours avec une voix douce, apaisée, presque susurrante.
– Mademoiselle la voleuse vous avez des seins vraiment très fermes, très bien fait, deux petites merveilles, cela va être un vrai plaisir de les caresser, de les goûter, de triturer vos tétons, de les sucer pour les faire durcir, de s’en servir pour une branlette espagnole, ne vous inquiétez pas je saurai être très doux.
Il effleure mes seins avec ses doigts, en suivant leur galbe naturel, me donnant des frissons, je sens mes tétons durcir et se tendre malgré moi, puis toujours avec cette voix charmeuse.
– Vous voyez je sais être délicat, je ne veux pas maltraiter une aussi jolie marchandise.
– Votre ventre plat appel ma bouche pour y déposer des baisers, pour le lécher délicatement.
– Votre chatte toute lisse, j’ai l’impression quelle est étroite, demande à être goûté par mes lèvres, ma langue, je rêve de la découvrir avec mes doigts, d’y fourrer ma queue, j’en connais déjà l’odeur fort agréable que j’ai senti dans votre petite culotte, Hummm un délice….
– J’espère que vous prenez la pilule.
Je fais un hochement de tête pour lui dire que oui, il me torture moralement avec ses allusions, pourquoi il me demande si je prends la pilule, il veux me sauter se gros porc, il rêve.
– Vos jambes longues et fines, vos cuisses galbées, délicatement musclées sont un raffinement pour mes yeux, ça doit être bon de les toucher vous avez la peau si douce et délicate.
Il passe dans mon dos, je sens son souffle sur mon cou, je sens ses doigts qui effleurent mes fesses, mon sillon.
– Votre cambrure, votre petit cul de voleuse est une merveille, je vais pouvoir le prendre avec délice, l’explorer de mes doigts et de ma verge, caresser et embrasser vos merveilleuses fesses rebondies.
– Votre copain a beaucoup de chance de vous avoir, de pouvoir vous baiser, je suis sur qu’il aime caresser longuement vos seins, les embrasser, sucer vos tétons, il aime embrasser vos lèvres et aussi les sentir sur sa bite ainsi que votre langue quand vous lui faite des pipes, je suis certain qu’il aime vous faire jouir en caressant votre clitoris avec ses lèvres et sa langue, vous baiser en vous fourrant avec sa tige de jade, il doit sûrement aussi aimer s’occuper de votre charmant petit cul, il a beaucoup de chance d’avoir une merveille comme vous, il était le seul à s’occuper de vous, mais maintenant ma petite voleuse, il va falloir partager votre corps avec moi, vous soumettre totalement à moi comme vous le faites avec lui.
– Je suis sur qu’il vous donne beaucoup de plaisir, et qu’il vous fait bien jouir, mais avec moi aussi vous aurez beaucoup de plaisir, et je vous ferai jouir encore plus qu’avec lui, si vous savez vous détendre, si vous me faites confiance, si vous abandonnez toute résistance et répugnance envers moi et ne pensez qu’à votre plaisir et au mien.
Je me dis qu’il ne pourra jamais bien me baiser car il est trop gros, trop vieux et jamais je ne lui ferai le cadeau de me faire jouir. L’idée de me donner à ce vieux salaud me dégoûte, je sais qu’il va abuser et se régaler de mon corps, mais je ne pourrais jamais me donner à lui comme il le pense, je dois me soumettre et me laisser baiser , mais jamais je pourrai prendre mon pied comme il le croit.
– Aujourd’hui je ne vous toucherai pas, je ne vous baiserai pas, je ne vous ferai pas jouir, ce sera pour la prochaine fois, mais vous devrez le faire sans dégoût, exactement comme avec votre copain, il va falloir vous faire très vite à cette idée ma belle Emy, si vous y arrivez vous pourrez prendre votre pied, c’est ce que je souhaite, que vous preniez autant de plaisir que moi tout en étant ma soumise.
– Mais vous n’allez pas repartir comme ça sans rien faire ma douce et belle Emy, comme vous m’avez excité énormément, je bande comme jamais j’ai bandé, vous allez me faire une fellation, j’ai trop envie de votre jolie bouche de voleuse qui doit faire des bonnes pipes, mettez vous à genoux et écartez un peu vos cuisses, et masturbez vous devant moi en me faisant bien voir votre intimité, comme ma jolie soumise que vous êtes, pour m’exciter encore plus.
Comme il me l’a demandé, je suis a genoux face a lui, j’ai un peu écarté les cuisses pour laisser la place à ma main et me caresser la chatte, je peux voir a présent combien sa bite est gonflée, elle fait une grosse bosse sous son pantalon, il me regarde fixement avec son air vicieux, se délecte de me voir me masturber, je glisse un doigt entre mes lèvres en remontant vers mon clitoris, le salaud jubile, je ne suis même pas humide, mais je joue le jeu.
Quand il avance vers moi, je comprends très vite où il va en venir, je m’en doutais un peu que de me mater ne lui suffirait pas, il en veut plus, puis il dégrafe sa ceinture, ouvre sa braguette et sort sa bite bien raide en avançant vers moi, il n’est pas épilé et il a de longs poils sur son pubis, qui recouvrent en partie sa verge, ses testicules sont très poilues aussi, je suis horrifiée.
Ses paroles sont toujours douces, mais perverses, vicieuses, envoûtantes, quand il m’attrape par les cheveux et rapproche mon visage de sa bite, je sens l’odeur de son sexe chaud, presque brûlant, il la tient dans sa main droite, et avec sa main gauche il m’attrape les cheveux délicatement.
– Vous allez me lécher, tenez ma bite avec votre main et léchez moi doucement, voilà comme ça c’est bien continuez, votre langue est délicieuse, léchez bien ma tige, mon gland, vous avez une langue d’experte petite coquine, faites comme avec votre copain, je sais que vous êtes une bonne bouffeuse de bite, alors prouvez le moi, oui allez y c’est bon, continuez, je savais bien que vous saviez y faire, oui putain que c’est bon, oui ma petite voleuse faites moi jouir et regardez moi, je veux voir vos beaux yeux de soumise qui m’excitent, je veux y voir de l’envie, maintenant prenez la dans votre bouche gourmande sucez moi avec vos grosses lèvres ma petite salope , oh oui Emy vous êtes si belle, si excitante!
je le caresse comme il me le demande, ma main est pleine de sa grosse verge dure comme un bâton, sa queue est pas très longue, mais assez large et épaisse, je la lèche, la peau de sa bite et de son gland est douce, mais celle de ses couilles est poilue ça râpe ma langue, j’ai horreur des poils, je déteste ça, mais je dois le faire. Je ressent aussi en passant ma main et en léchant que ses couilles sont gonflées et bien pleines, il n’a pas du éjaculer depuis un bon moment pour me garder tout son jus.
Quand il me l’enfonce dans la bouche, je crois étouffer tellement elle est raide et épaisse, il me regarde encore plus intensivement, entièrement nue a ses genoux, ça l’excite davantage de me voir comme ça dénudée, soumise a ses ordres et en train de le sucer, je commence de longs va et viens, lentement, mais il accélère le mouvement, et pour mieux me posséder il l’enfonce encore plus loin dans ma gorge en tenant ma tête par mes cheveux avec ses mains en me guidant, me forçant à en faire plus!
Je sens son excitation augmenter, sa verge gonfler et devenir très dure, j’essaye d’oublier que c’est à lui que je fais cette fellation, je pense que c’est le sexe de mon copain que j’ai en bouche, je continue en essayant de m’appliquer pour le faire jouir.
Au moment ou il joui en râlant de plaisir, il se retire de ma bouche et gicle sur mon visage, je sens de longs jets de sperme chaud qui s’écrasent sur mon visage, mon cou, mes seins, je me retrouve couverte de sperme, sa semence coule sur mon corps, de grosses gouttes sur mon ventre jusqu’à ma chatte, il continue à se faire jouir en se branlant entre mes seins qu’il presse entre ses grosses mains pour bien entourer sa bite.
Je ferme les yeux pour ne pas le voir, j’ai le sentiment d’être salie, souillée par ce gros porc, la culpabilité m’envahit, qu’il ai pu profiter ainsi de mon joli corps, ma bouche, toute mon intimité, que j’avais jusqu’à présent su préserver de beaucoup de mecs, à part mon copain.
Il s’adresse à moi avec toujours cette voix ensorcelante.
– Voila ce que vous méritez Emy, jolie petite voleuse, être souillée, marquée par ma semence!
– Maintenant vous savez que vous êtes ma chose, ma soumise, et que vous le resterez.
– Léchez bien ma queue pour la nettoyer, avalez bien tout, qu’elle soit bien propre, ma délicieuse petite souillon, soumise !
J’obéis honteuse, je lèche, suce sa queue, aspire son sperme, il a un goût salé, pas mauvais, fort heureusement pour moi.
Je pensais que le sperme d’un vieux dégueulasse comme lui, aurait un goût affreux, je suis agréablement surprise, sa bite, son sperme, il n’y a pas de différence avec un jeune.
Ce qui m’écœure chez lui, c’est son aspect de gros porc, et ses poils dégueulasses, et son âge.
Une fois que j’ai eu fini ma sale besogne, il se rhabille, va vers son bureau, revient avec de l’essuie tout et il me demande de m’essuyer le visage, mon cou et mon décolleté, de manière à ce que personne de l’entreprise ne se doute de rien, mais surtout pas mes seins et le reste de mon corps, je doit garder son sperme sur moi sous mes vêtements, ça prouve que je suis sa chose que je lui appartient.
– Je dois reconnaître que vous êtes une bonne pipeuse, et encore je sais que je vous écœure, qu’est ce que ça doit être quand vous le faites avec envie, ma mignonne petite voleuse, allez rhabillez vous et retournez à votre travail, et tenez vous prête à satisfaire mes prochaines envies, croyez moi vous m’en donnez de très nombreuses, vous aurez de très nombreuse occasions pour vous en rendre compte, nous communiquerons désormais par SMS pour nos relations disons privés, comme cela je pourrai vous joindre ou que vous soyez, même chez vous, pensez à les effacer au fur et à mesure.
C’est un vrai soulagement de l’entendre dire de me rhabiller et de retourner au travail.
Je retourne à mon bureau toute penaude en essayant de ne rien en montrer, je fais un détour par les WC pour vérifier dans un miroir que je n’ai pas de sperme qui se voit sur moi, je suis tentée d’essuyer celui qui reste sur mes seins et mon ventre et dans ma culotte, mais je me ravise, il est capable de me faire revenir pour vérifier, je me sens vraiment souillée, humiliée, honteuse, je me mets du parfum sur mon visage, mon cou, mon décolleté, c’est horrible, j’ai l’impression d’empester le sperme, j’en rajoute même sur le tissus de ma petite culotte.
Il me contactera par SMS, c’est donc qu’il va remettre ça ce salaud, je préfère ne pas y penser, j’ai son sperme qui me colle sur la peau et que je ne peux pas enlever, ça m’oblige indirectement à penser a tout ce que je viens de vivre, j’ai hâte ce soir de rentrer chez moi pour prendre une douche, je me sens trop sale.
Juste avant de quitter mon travail je reçois un SMS:
Mademoiselle Emy, ravissante petite voleuse.
Je vous remercie pour cette après midi fort passionnante.
Je vous laisse tranquille pour ce week-end, mais ce ne sera pas toujours le cas.
A très bientôt, votre PDG dominateur.
J’efface aussitôt ce message, je sens que ce vieux cochon ne me laissera pas tranquille, il va vouloir abuser de moi très souvent.
Je ne suis pas sur que la relation avec mon copain puisse y survivre, enfin j’ai droit à deux jours de tranquillité, c’est déjà ça, j’appréhende lundi, qu’est ce qu’il va vouloir encore me faire subir?
A cet instant je regrette vraiment d’avoir été une voleuse, qu’est ce qui m’a pris, alors que j’en avais même pas besoin pour vivre, mon salaire étant largement suffisant.
J’ai essayé de profiter au maximum de mon week-end avec mon copain pour oublier ce gros porc de directeur.
Comme promis il ne m’a pas envoyé de SMS pendant le week-end, il m’a laissée tranquille, mais cela ne m’a pas empêchée d’angoisser à l’approche du lundi.
Le lundi matin je me suis rendu au travail stressée à l’idée de devoir jouer la soumise de mon ignoble PDG, j’ai mi ma tenue habituelle que je trouve maintenant bien trop sexy.
Avant, cela m’amusait d’exciter le PDG avec mes tenues, mais à présent je le regrette amèrement, parfois je portais même des strings qui laissait voir mes superbes fesses quand je me baissais.
Aujourd’hui j’ai mi un shorty, je trouve que c’est encore beaucoup trop sexy pour lui, je voudrai éviter au maximum de l’exciter, mais vu ce qui c’est passé vendredi, je sais que quoi que je fasse il sera quand même exciter et qu’il voudra me baiser.
Sur le coup de dix heure je reçois un SMS:
Mademoiselle Emy, ma jolie petite soumise.
Je vous donne rendez vous à 14H30 dans mon bureau.
Vous resterez jusqu’à au moins 15H30, vendredi vous m’avez mi en grand appétit.
Je tiens à déguster entièrement mon joli repas en prenant mon temps.
Soyez ponctuelle et obéissante, votre PDG dominateur.
J’efface machinalement son message, mes derniers espoirs s’envolent, plus de doute possible cette fois il va profiter de mon corps à fond, il va me sauter et je ne vais rien pouvoir y faire, mon angoisse augmente sérieusement.
A l’heure prévue je me rends à son bureau, sa secrétaire me dit de rentrer directement car il m’attend.
Je ferme la porte à clef derrière moi, machinalement, il n’a même pas besoin de me le demander, je sais ce qui m’attend, je fais quelques pas et j’attends debout ses ordres la tête baissée, par soumission, et aussi pour éviter de le voir.
– Très bien ma petite Emy, je vois que vous prenez vite les bonnes habitudes.
– La dernière fois j’ai découvert mon beau cadeau, si appétissant, aujourd’hui je veux déguster intégralement ce merveilleux repas que vous me proposer.
Il avance vers moi, toujours aussi répugnant, avec cette voix douce, apaisée, charmeuse qui me trouble malgré moi.
Je vois sa grosse main avancer vers mon visage, mon stress augmente, mon cœur bat la chamade, il me caresse la joue très subtilement en faisant glisser ses doigts sur ma peau délicate, puis sur ma bouche, mes lèvres.
– Vous avez la peau très douce, c’est très agréable de vous toucher, mon repas va bien commencer avec cet apéritif qui me met en appétit, voyons la suite, découvrons tous ce que vous pouvez me servir pour cet apéritif, quels amuse-bouches je vais pouvoir déguster.
Il me caresse les épaules à travers ma veste, puis ses mains vont se balader sur mes seins bien ferme par-dessus mon chemisier et mon soutien gorges, ses mains frôlent mon ventre plat sur le tissus.
Ses mains descendent le long de mes fesses, glissent sous ma jupe, caressent la peau fine de mes cuisses, elles remontent sur ma culotte, sa main gauche va se promener sur mes fesses, pendant que sa main droite fait des attouchements sur ma petite chatte à travers le tissus fin.
– Ma belle soumise m’offre un apéritif de choix avec de nombreux amuse-bouches que je vais maintenant goûter et déguster sans modération.
Il m’enlève ma veste délicatement, la pose sur le fauteuil, revient vers moi pour m’enlever mon chemisier de la même manière douce et délicate, il rejoint la veste sur le fauteuil.
Il se retourne et me regarde avec ses yeux vicieux et pétillant, je baisse vite le regard pour ne pas le voir, il approche et me prend un bras qu’il embrasse avec de doux bisous en partant de mon poignet et en remontant lentement jusque sur mon épaule tout près de mon cou, puis il recommence sur mon autre bras en insistant comme pour le premier dans le creux du poignet et du coude.
Ce vieux porc me dégoûte, mais ce qu’il me fait m’électrise malgré moi, malgré mon stress, ça me perturbe encore plus.
Avec sa voix charmeuse il me dit que ce premier amuse-bouche est à son goût et qu’il va goûter aux suivant maintenant.
Il passe dans mon dos, m’embrasse dans le cou tout en dégrafant mon soutient gorge, les bonnets restent accrochés à mes seins bien ferme et mes tétons qui sont proéminents même quand ils ne sont pas excités, il passe ses doigts sous les bonnets, me palpant délicatement mes seins tout en les dégageant, puis il pose mon soutient gorge sur le fauteuil.
Je baisse la tête et les yeux autant que je peux, je refuse de voir son regard lubrique que je sens posé sur moi.
– Il est temps que je goûte à ces deux merveilleux seins si fermes, si bien fait, vous avez une poitrine extrêmement appétissante charmante Emy avec des tétons de bonne taille fait pour être sucés, voyons quel goût ont ces ravissants fruits, ces deux magnifiques grosses poires.
Il pose sa bouche sur mon sein gauche, pendant que sa main droite s’occupe de mon autre sein.
Il m’embrasse, me lèche le sein, suce mon téton qui s’est tendu et durci malgré moi, ses doigts caressent, palpent délicatement mon autre sein, triture doucement mon téton, mes seins et tétons durcissent et se tendent au maximum, je frissonne de dégoût, et je frissonne aussi parce que mes seins eux ont aimé se traitement malgré mon désaccord.
Il se met à genoux, ses mains sur mes hanches.
– Vos seins sont délicieux, ils ont un goût délicat, voyons voir quel goût à le joli ventre plat de ma délicieuse petite soumise.
Sa bouche embrasse mon ventre en tournant autour de mon nombril, mon ventre se crispe, je regarde le mur en essayant de penser à autre chose, je reconnaît que ce vieux cochon sait y faire, je ne m’attendais pas à autant de délicatesse et de savoir faire de sa part.
Ses gros doigts déboutonnent ma jupe qu’il fait glisser à terre, puis il agrippe les côtés de mon shorty et il me baisse doucement ma culotte jusqu’à mes pieds.
Ses mains remontent délicatement le long de mes jambes jusque sur mes fesses ou elles restent posées, me les pelotant délicatement, en même temps il embrasse mes cuisses, surtout l’intérieur de celles ci en remontant vers ma petite chatte, sur laquelle il dépose un délicat bisous, il attrape ma jupe et mon shorty, je l’aide à les faire sortir de mes pieds, puis il se relève et va les déposer sur le fauteuil.
Je suis stressée et dégoûtée par ce vieux cochon, mais en même temps il me trouble par ces manières, par ce qu’il me fait, je suis de plus en plus déboussolée.
Dans mon cerveau, j’ai d’un côté mon petit ange qui me dit, ce type est vieux, dégoûtant, ce qu’il te fait est ignoble, horrible, écœurant, tu devrais lui vomir dessus.
Et de l’autre côté j’ai mon petit démon qui me susurre, ce type est doué, il te fait des choses merveilleuses, délicieuses, laisses toi aller, prends ton pied.
Mon PDG se retourne et avance vers moi, et toujours avec sa voix mielleuse, envoûtante, il me dit.
– Vous voilà complètement à poil maintenant ma jolie petite Emy, vous faites pas la fière dans cette tenue !
– Ce deuxième amuse-bouche était des plus plaisant, passons à la suite de mon apéritif !
– Maintenant c’est à votre tour de me déshabiller !
Je reste la les bras ballants, hésitante….
Il attrape mes bras, mes mains et les pose autoritairement sur le premier bouton de sa chemise en m’ordonnant de le déshabiller.
J’obéis à contre cœur, doucement je défais chaque bouton, puis je dégage sa chemise de son pantalon, je déboutonne sa manchette et commence à tirer sur la manche pour dégager son bras, puis je fais pareil sur l’autre pour finir de lui enlever sa chemise.
Ce que je découvre m’aurifie, il est gras et poilu, son gros ventre repose et déborde sur sa ceinture, j’ouvre celle ci et déboutonne son pantalon qui tombe à ses pieds, ses jambes et ces cuisses aussi sont poilues, sont slip le boudine, ce type est vraiment repoussant.
Je remarque que sa bite est bien raide car elle forme une grosse et longue bosse qui tend son slip.
Il pose une main sur ma taille pour me coller à lui, et il attrape ma main droite qu’il dépose sur son torse me demandant de le caresser ainsi que son ventre, il guide ma main dans son slip, me forçant à lui toucher ses couilles poilues encore bien pleines, et sa tige tendue, en me disant que j’ai oublié de lui enlever son slip, de le faire maintenant et d’aller déposer ses vêtements sur son fauteuil.
J’obéis, je dégage sa verge bien raide de son slip et je fait coulisser celui ci jusqu’à ses pieds, et je vais déposer tous ses vêtements sur son fauteuil, il m’ordonne de revenir vers lui, il est tout nu et le spectacle n’est pas très ragoûtant.
Il me serre contre lui, je sens sa bite raide contre moi, sa grosse bedaine la tien un peu éloignée, il me caresse le dos, les seins, mes fesses, glisses ses doigts dans mon sillon, et avec un doigt caresse mon anus.
– Est ce que votre copain passe aussi par la ?
– Non certainement pas, je déteste ça !
– Avec moi il faudra vous y faire, j’ai bien l’intention plus tard de m’occuper de votre joli petit cul bien rond, ma belle Emy !
Il continue à me tripoter un peu partout en me serrant contre lui, puis il me demande de lui caresser les couilles et de le masturber.
Pendant que je le fais, il me prend la tête avec ses mains fermement et il essaye de m’embrasser sur la bouche, j’essaie d’esquiver, mais il me tient très fermement et je ne peux éviter qu’il le fasse, puis il me relâche.
– Maintenant que j’ai fini mon apéritif enivrant, nous allons passer à la suite du repas !
– Allongez vous sur le dos sur mon bureau, que je puisse déguster mon entrée !
Avant que je grimpe sur son bureau il me file une petite tape sur une fesse au passage, j’obéis sagement, je suis sa soumise, bizarrement je ne suis presque plus stressée, je suis allongée sur son bureau, passive, offerte.
Il se tient debout à côté, il commence à me caresser doucement, délicatement un peut partout sur mon corps, il embrasse mon ventre, glisse un doigt dans la fente serrée de ma chatte, caressant mon clitoris en même temps, pose sa bouche sur mes seins, les embrasse, les suce, ils durcissent, mes tétons se tendent, mon ventre se creuse, commence à faire des vagues, qu’est ce qui se passe en moi, je ressens du plaisir malgré moi, je ne dois surtout pas le lui montrer, mon petit ange est en colère, mon petit démon jubile.
Le vieux salaud s’en rend compte, il prend sa queue en main et me demande de le sucer, pendant qu’il continue ses caresses sur mes seins et mon ventre.
Puis il me demande d’arrêter, il fait le tour du bureau et va se placer en face de moi entre mes jambes.
Il attrape mes pieds et me demande de glisser vers lui, m’obligeant à replier mes jambes et à écarter mes cuisses, lui offrant une vue superbe sur ma chatte.
– Adorable et douce Emy, ce que je vois est ravissant, votre vulve qui ressemble à un abricot me parait bien délicieuse, vos lèvres font comme une corolle protégeant une jolie fleur qui ne demande qu’à s’ouvrir, écartez encore plus vos cuisses, c’est bien, voilà qu’apparaît un charmant petit coquillage entrouvert qui laisse deviner une délicieuse petite moule à l’aspect juvénile qui bientôt sera bien juteuse, votre clitoris timide qui hésite encore à quitter sa cachette, toutes et tous demandent à être goûtés par ma bouche, ma langue, votre fente rose et serrée comme celle d’une fillette m’invite à venir la visiter, la pénétrer pour l’élargir, d’abord avec ma langue, puis avec ma tige de jade bien raide et gonflée de désir qui viendra vous remplir ainsi que ma semence.
Ces paroles que je trouve vraiment charmantes, m’émoustillent, ma position de soumise lui offrant ma chatte aussi, malgré moi, mon petit démon veux prendre les commandes.
Mon PDG s’agenouille entre mes cuisses, les caresses longuement et doucement, très délicatement, me provoquant des frissons, que je pourrai assimiler à du plaisir si ce n’était pas lui qui était là.
Il me demande de poser mon cul au bord du bureau et de bien lever et écarter mes jambes, avec ses doigts il caresse ma vulve, écarte mes grosses et petites lèvres, soudain je sens sa langue qui lèche mes lèvres, mon clitoris, l’intérieur de ma fente.
– Succulente Emy, le parfum de votre délicate fleur est envoûtant, le goût de votre coquillage est vraiment délicieux.
A nouveau sa bouche, puis sa langue dégustent ma petite chatte, d’abord en les effleurant, puis de plus en plus appuyé, pendant que ses mains se promènent sur mon ventre, mes seins, me caressant délicatement, et alternativement plus fermement, je sens à nouveaux mes tétons qui se tendent et durcissent, mon ventre qui recommence à ce contracter et faire des vagues, comme tout à l’heure je commence à ressentir du plaisir malgré moi, je ne sais pas pourquoi mais cette situation de femme soumise, offerte sur ce bureau a tendance à m’exciter, plus ce qu’il est en train de me faire, tout cela ne me laisse pas indifférente, mon corps réagit plus que je le voudrai, et mon cerveau dans une certaine mesure aussi, je sens ma jouissance monter, il sait trop bien y faire avec moi, bien sur je ne veux surtout pas qu’il s’en rende compte, mon petit ange freine de toute ces forces.
Tout à coup, sa langue se déplace sur mon anus et commence à le lécher délicatement, je me contracte, sa langue se fait plus insistante, soudainement je sens son doigt qui remplace sa langue et qui caresse ma rondelle très insistant, je contracte mes fesses, remue comme un vers, me rebiffe, je couine Non, Non, lui serre sa tête entre mes cuisses, il m’écarte brutalement les cuisses, il est très mécontent, sa voix est autoritaire.
– Vous êtes ma soumise, vous avez acceptée d’être ma chose, de vous laisser faire, de tout accepter de moi, alors détendez vous et laisser moi faire, vous y avez tout intérêt, ce sera plus agréable pour vous et surtout moins douloureux.
Son coup de gueule me surprend, et du coup je me détend sans m’en rendre compte, il en profite pour enfoncer une partie de son doigt lubrifié par sa salive brutalement dans mon petit trou, je suis surprise, j’ai un bout de son doigt en moi, j’ai presque rien senti, j’ai pas eu le temps, je suis surtout outrée par ce qu’il vient de faire, et honteuse de me laisser faire, il reprend avec sa voix douce et ensorcelante.
– Vous voyez mon doigt est entré dans votre petit trou, c’est pas si difficile que cela, si vous vous laissez faire, vous le saurez pour la prochaine fois, je viens de vous préparer à dépuceler votre cul un peu brutalement, mais quand je voudrai vous sodomiser, je le ferai avec douceur et avec du lubrifiant pour ne pas vous maltraiter délicieuse Emy.
– Maintenant que j’ai savouré mon entrée, il est temps que je déguste mon plat de résistance, levez vous et venez vous mettre à ma place debout face au bureau.
Ce que je fais sans résister, il me fait poser les mains à plat sur son bureau, les bras tendus, les reins cambrés pour ouvrir mes fesses, les cuisses légèrement écartées, mon cul lui est ainsi offert, il se recule pour mieux admirer sa chose.
– Charmante Emy vous m’offrez une merveilleuse vue, mon plat de résistance est vraiment appétissant, votre cambrure magnifique, vos superbes fesses bien rebondies, votre chatte vue sous cet angle est un appel irrésistible pour ma verge, et votre petit trou est vraiment très tentant.
Il se place debout sur mon côté, il dépose une main sur mon dos et l’autre sur mon ventre, et il commence à me caresser toujours aussi délicatement des deux côtés en même temps.
Du ventre sa main remonte sur mes seins et mes tétons qu’il palpe précautionneusement les faisant durcir et se tendre, pendant que sa main qui était sur mon dos glisse sur mes fesses en suivant leurs courbures et rondeurs, me refilant une petite tape sur chacune d’elles, puis il reprend avec sa voix charmeuse.
– Ma délicieuse soumise, votre peau est si douce, si délicate, quel plaisir intense de pouvoir la toucher, vos seins sont si fermes et bien ronds, vos tétons proéminents se tendent si docilement à la moindre sollicitation, vos fesses bien rebondies et si douce à caresser et aussi à fesser, je dois vous avouer que je suis bien servi et chanceux de vous avoir pour moi ainsi, il y a longtemps que vous m’excitez fortement avec vos tenues sexy, vos strings qui exhibent vos fesses quand vous vous baissez devant moi, j’ai toujours rêvé de vous avoir, pour vous soumettre à mes désirs, pour vous baiser comme je l’entend et quand je le veux, pour faire de vous mon objet sexuel, merci ma belle Emy pour m’en avoir offert l’occasion.
La main qui était sur mes seins se faufile vers ma chatte et ma fente qu’il cajole, et un de ses doigt enlace mon clitoris avec tact et prévenance, je dois reconnaître que ce vieux cochon sait y faire, il a un doigté merveilleux, il doit avoir beaucoup d’expérience avec les femmes, c’est évidant qu’il a du en tripoter quelques une.
Pendant le même temps la main qui est sur mes fesses, s’insinue dans mon sillon, et je sens un doigt qui masse ma rondelle.
Il retire cette main et porte ses doigts à sa bouche pour les mouiller, replace sa main sur ma fesse, me file une tape sur celle ci, puis je sens deux de ses doigts tout trempés s’insinuer dans mon anus, forçant ma rondelle, j’ai beau dire Non, Non, il insiste me disant que c’est pour préparer la prochaine fois, quand il me dépucellera mon petit trou du cul avec sa bite lors de notre prochaine rencontre, je suis obligée de me laisser faire, et puis si je résiste j’aurai encore plus mal, je me souviens de tout à l’heure quand je me suis détendu et que son doigt est entré sans me faire mal, alors j’essaie de me détendre l’anus, il fait quelques petits va et vient en douceur dans mon conduit si étroit et il les retire, je me sens soulagée, même avec mon copain je n’apprécie pas la sodomie, et je lui ai demandé de ne plus en faire, même avec un doigt, mon petit trou est définitivement interdit à mon copain, et maintenant je l’offre à ce salop de PDG vicelard.
Il passe derrière mes fesses, me refile deux petites tapes sur celles ci, se colle à moi, je sens sa bite raide contre mon sillon, son gros ventre posé dans ma cambrure, il se penche sur moi pour m’embraser le dos tout en palpant plus fermement mes seins en alternant avec mes flans, mon ventre, promenant partout ses sales mains de vieux vicieux avec beaucoup plus de fermeté qu’avant, je sens qu’il s’excite de plus en plus .
Il se redresse et il prend sa verge bien raide dans sa main, pour la frotter contre mon anus, coulissant dans mon sillon, ensuite il la fait passer contre ma chatte se frottant sur elle, il me demande de bouger mon joli petit cul, de me frotter la chatte contre sa bite, il me tient fermement par les fesses, en les pressant, en me donnant quelques petites tapes, comme pour m’encourager.
– Ma si désirable coquine puisque vous prenez la pilule, que ça vous plaise ou pas, je vais me vider en vous comme le fait votre copain, je veux que vous aillez aussi ma semence en vous, votre chatte est si étroite je vais vous remplir de mon sperme, vous m’appartenez désormais, ne l’oubliez jamais Emy ma belle soumise !
Il me tient par les hanches, il présente son gland à l’entré de mon vagin, le frotte un peu , en même temps il me masse mon clitoris intensément, il appuie son gland avec douceur pour ouvrir mon passage étroit, je sens ma chatte serrée s’entrouvrir, je la sens humide, il fait pénétrer son gland un petit peu, pas entièrement, le retire, l’enfonce à nouveaux de la même façon, il recommence cinq ou six fois son manège, puis d’un coup il s’enfonce en moi, m’arrachant un petit cri, il continue son massage pressent de mon clitoris avec ses doigts, me faisant mouiller et ressentir un peu de plaisir contre mon gré, heureusement que ma petite chatte est humide, il a pu entrer sans me faire mal.
– Hummm qu’il fait bon chez vous, c’est si doux, chaud, humide, étroit, j’ai une vue somptueuse sur votre magnifique cul, j’adore vous prendre par derrière debout !
Et il commence à me pilonner le vagin, d’abord lentement, puis de plus en plus vite, de plus en plus intensément, tout en continuant son massage soutenu de mon clitoris avec deux doigts de sa main droite, pendant que sa main gauche agrippe et masse avec force mes seins, mon ventre, ma fesse.
Son pilonnage devient intensif, je suis obligée de me mettre sur la pointe des pieds, car il est plus grand que moi et il me soulève à chacun de ses coups de butoir, il grogne, râle de plaisir, je sens son gland et sa bite trapu grossir et se tendre encore plus, mon vagin commence à faire des vagues, mon ventre se creuse, et est pris de forte houle aussi, il est en train de commencer à me faire jouir, je veux pas, je serre les dents, soudain je le sens se contracter, râler de plaisir, sa semence gicle puissamment au fond de moi en de grands jets, j’échappe un petit cri de jouissance aussi, je serre vite les dents pour ne plus montrer mon plaisir, il continue à me baiser plus doucement, de plus en plus lentement, puis il stoppe tout, restant en moi, savourant son plaisir.
Ce salop à prit son pied, j’ai ressenti moi aussi du plaisir, beaucoup trop, alors que j’ai tout fait pour ne pas en avoir, c’est vrai que j’adore être prise debout de cette façon et il y a pas à dire ce con sait y faire, mon petit ange et mon petit démon se battent en moi, ils veulent tous les deux avoir raison, et moi je ne sais plus trop ou j’en suis.
Il se retire, la bite encore raide, je sens son sperme couler entre mes cuisses.
– Merci docile et douce Emy, mon plat de résistance était enchanteur et consistant, votre petite chatte serrée est un délice, baiser avec vous me donne l’impression de dépuceler une très jeune vierge, je vais maintenant finir mon repas avec un bon dessert j’espère.
Il va chercher de l’essuie tout, et essuie son sperme qui à couler le long de mes cuisses, il m’essuie aussi ma vulve, puis il me demande de m’allonger à nouveau sur son bureau sur le dos, il glisse un peut d’essuie tout sous mes fesses, il ne veut pas salir son bureau.
– Pour mon dessert j’ai envie d’un goûteux 69 !
Il grimpe sur le bureau à son tour, m’enjambant, m’offrant une vue horrible et répugnante sur son cul et sur son trois pièces poilu, son sexe toujours au garde à vous, ses couilles pendantes devant mon nez et ma bouche, il vient de se vider en moi et il bande toujours bien raide, comment fait ce salop, il est pire qu’un jeune mec.
– Ma désirable soumise, léchez et sucez ma bite, refaite moi jouir dans votre bouche, pendant que je m’occupe de votre délicieux coquillage, surtout laissez vous faire, abandonnez vous au plaisir, je veux que cette fois ci vous jouissiez sans aucune retenue, je sais que je vous ai fait jouir tout à l’heure, vous faites tout pour me le cacher, ce n’est pas la peine, ne me prenez pas pour un idiot, je ressens très bien quand vous avez du plaisir, j’ai beaucoup d’expérience sur le sujet, et je sais que toutes les femmes dont je me suis occupée n’ont pu s’empêcher de jouir, et elles en étaient toutes très contentes, alors à votre tour de jouir sans retenues, ne vous inquiétez pas si vous criez votre plaisir, la pièce est insonorisée, personne ne vous entendra, laissez vous allez, c’est mon souhait, c’est ma volonté, c’est un ordre auquel vous devez obéir ma soumise !
J’attrape sa bite que je commence à lécher et à sucer, pendant qu’il me déguste mon coquillage avec zèle, ces poils me gênent un peu pour lui faire sa fellation, je prends ses couilles dans une main, je les lui caresse tout en les pressant un peu par moment, cela me permet de ne plus avoir ces vilains poils sur mon visage, avec mon autre main je maintien sa verge, pour la lécher goulûment, elle est encore pleine de son sperme et de mon jus mélanger, je commence par la nettoyer ainsi, je lui trouve finalement bon goût, cela m’encourage à continuer, de son côté il s’occupe vraiment bien de ma petite chatte, il a une langue experte, du coup je le lèche et le suce en harmonie de ce qu’il me fait, sa bite, son gland gonflent encore plus, et moi je commence à ressentir ma jouissance qui commence à monter doucement, pendant qu’il continu à me lécher, à sucer mon clitoris et mes lèvres, il glisse délicatement un doigt dans mon vagin, et fait des vas et viens avec, puis un deuxième doigt le rejoint, les vas et viens se font plus pressent, plus rapide, de mon côté j’augmente aussi la cadence sur son gland, je sens son excitation augmenter, la mienne aussi, ces doigts me branlent d’une manière irrésistible, associés à sa langue sur mon clitoris, je ne peux empêcher ma jouissance d’augmenter de plus en plus, mon ventre se contracte en vagues successives à l’unisson de mon vagin, sa bite aussi commence à palpiter de plus en plus fort dans ma bouche, nous gémissons ensemble, en cœur, il me branle maintenant comme un fou, je sens que je perds tout contrôle, je dois lui obéir, j’ai accepté d’être sa soumise, et finalement c’est tellement agréable, tellement irrésistible ce qu’il me fait, je me laisse aller, je laisse ma jouissance m’envahir, soudain elle explose brutalement, tellement puissante, forte, j’ouvre la bouche pour laisser échapper un cri, puis un autre, je reprends vite en bouche en râlant de plaisir sa bite gonflé, prête à exploser elle aussi, je reprends mes sucions dessus, il continu à me faire jouir, mon corps est pris de convulsions, je ne le contrôle plus, je gémis à ne plus en finir, mon petit démon est aux anges comme moi, soudain je sens sa bite se contracter, et il jouit dans ma bouche avec encore de gros jets puissants, je manque de m’étouffer avec sa semence, il râle aussi son plaisir longuement, il arrête de s’occuper de mon clitoris, mais continu à me branler doucement en ralentissant de plus en plus avant d’arrêter complètement, j’avale difficilement sa semence qui rempli ma bouche, puis je lèche son sperme sur sa queue, j’en ai un peu partout sur mes seins, quand j’ai ouvert la bouche, il a gicler dessus, jusque sur mon ventre, il continue à râler doucement de plaisir sous mes coup de langues, mon corps est encore pris de convulsions, qui s’estompent doucement, j’ai jamais joui aussi intensément, ce vieux salop sait vraiment y faire, peut être aussi parce que je me suis retenu avant, ma jouissance a fini par être encore plus forte, plus intense, plus explosive, j’ai honte d’avoir joui comme cela devant ce vieux porc, et surtout à cause de lui, soudain presque dans un chuchotement, j’entends le vieux cochon me dire.
– Arrêtez de me sucer Emy, vous allez me l’user !
Mon PDG est essoufflé, vraiment à bout de souffle, il a tout donné pour me faire jouir, je suis moi même assez essoufflée et encore surprise par ce qui vient de m’arriver, j’arrive pas à croire mais surtout à admettre que j’ai pu prendre autant de plaisir, de jouissance, moi qui ne le voulait surtout pas.
Il descend du bureau un peut chancelant, reprenant son souffle petit à petit, il retrouve pratiquement son souffle et sa voix pour me dire.
– Emy ma douce et belle soumise, maintenant docile, merci pour ce dessert, le meilleur que j’ai eu de toute ma vie, merci pour m’avoir enfin obéi presque sans réticence, merci pour vous être abandonner complètement à votre plaisir et au mien, pour avoir joui comme vous l’avez fait, sans retenu.
Il reprend encore en peu son souffle en s’appuyant sur le bord du bureau quelques instants, puis il reprend.
– Je veux que vous compreniez, que vous êtes ma soumise, ma chose, mon jouet sexuel, mais vous n’êtes pas là que pour mon plaisir exclusif, vous devez bien sur me donner le plus de plaisir possible, mais je veux que vous preniez beaucoup de plaisir vous aussi, cela doit être un partage entre nous, de votre soumission totale à ma personne, vous devez aussi en avoir du plaisir comme tout à l’heure, vous avez enfin acceptée de jouir presque sans retenu, sachez que ma jouissance dépend aussi de la votre, je ne pourrai être pleinement satisfait que si vous l’êtes aussi, je pense que nous pourrons parvenir avec le temps à un partenariat équilibré, ou nous serons tous les deux pleinement satisfait, en tout cas c’est mon souhait le plus fort, et c’est ce que je veux au plus haut point, pensez y bien ces prochains jours.
Je suis encore sous le choc, il va falloir que je digère tout cela, lui à peut être eu un bon repas, mais moi pour le moment, malgré tout le plaisir que j’ai ressenti, je le trouve un peu indigeste, il va me falloir un peu de temps pour digérer tout ça.
Il me donne de l’essuie tout pour essuyer mon corps, et m’invite à le suivre dans une petite pièce attenante au bureau, un petit cabinet de toilette, pour me faire un brin de toilette, et lui aussi, j’en crois pas mes yeux il bande toujours.
De retour dans le bureau, il ouvre un tiroir, j’aperçois un petit flacon avec des pilules bleues, le voilà le secret de sa vigueur, quel enfoiré il se dope pour me baiser longuement, puis il prend et il me tend une boite, genre boite à bijoux, il me demande de l’ouvrir, je découvre un objet avec d’un côté un gros bijoux en forme de diamant, puis un rétrécissement fin, et ensuite un renflement en forme de poire, je regarde l’objet et aussi mon vieux coquin qui est toujours tout nu, avec un regard interrogateur, il me dit que c’est un petit Rosebud, un bijoux anal que je devrais porter dès que je serai au bureau, même en dehors de nos rencontres coquines, c’est pour habituer mon anus à la sodomie, il viendra vérifier dans mon bureau si je le porte.
Il me dit de ne pas m’affoler que c’est le plus petit modèle qui existe, la taille idéal pour mon petit anus, il me demande de sucer le bout en forme de poire pour bien le mouiller, puis il me fait me plier en deux, me donne une tape sur la fesse, et il m’introduit délicatement la chose dans ma rondelle en forçant un peu, m’arrachant un gémissement, puis il me demande de me relever, la sensation est très étrange, surtout quand je marche, il me dit que je pourrai le retirez une fois chez moi, il se nettoie simplement avec de l’eau et du savon, de bien l’essuyer et de le remettre dans sa boite, je devrai me le mettre avant de venir au travail.
Ensuite nous nous rhabillons tranquillement, je regarde l’heure, il est déjà presque 16 heure, le temps à finalement passé vite cette après midi avec lui, avant de le quitter il me dit.
– Ma tendre et délicieuse Emy, vous m’avez fait passer une après midi formidable, vraiment inoubliable, vous m’avez servi le plus merveilleux, le plus délicieux, délectable et délicat, le plus copieux repas de mon existence, je vous en remercie énormément, même si vous ne voulez pas encore le reconnaître, vous aussi vous avez passez un excellent moment avec moi, et quand vous finirez par admettre complètement tout cela, vous aussi vous savourerez tout les moments que l’on passera ensemble, il vous suffit simplement de penser, de vous concentrer sur le plaisir que vous pouvez avoir, que je peux vous donner, et d’oublier la personne qui vous le donne quand vous le recevez.
Je quitte son bureau et ce vieux cochon, je me rends dans le mien complètement perturbée, ne sachant plus trop ou j’en suis, le Rosebud dans mon fion me fait des sensations très bizarre, mais pas désagréable, je reste un moment histoire de me refaire une petite santé, et de mettre un petit peu d’ordre dans mes idées fortement embrumées, puis je rentre chez moi.
Je me précipite sous la douche, j’enlève le Rosebud, le nettoie et le range dans sa boite, que je cache au fond de mon sac à main, j’espère que mon copain aura pas l’idée d’aller fouiller dedans.
Quelques minutes plus tard mon copain, arrive, c’était juste, il me dit que j’ai du passer une bonne journée car j’ai une mine radieuse, le pauvre si il savait.
Vers 20H00 je reçois un SMS de mon PDG si cochon :
Encore mille merci pour ce repas gastronomique qui vaut bien trois étoiles.
C’est une des plus belles journée de mon existence, j’ai pris mon pied comme jamais.
J’espère que vous vous habituez à votre petit bijoux intime.
Je vérifierai demain si vous le portez.
Autre détails, vous devrez portez à partir de demain des strings, comme au part avant.
Je veux pouvoir admirer vos charmantes fesses quand vous vous baissez.
Et aussi passez ma main sous votre jupe pour les caresser.
Votre PDG dominateur totalement fou de sa merveilleuse soumise Emy
Heureusement que mon copain n’a pas vu le message, je l’efface en vitesse.
Rien qu’à l’idée qu’il matte mon cul et qu’il me touche mes fesses, je sens des frissons parcourir mon corps, et ma petite chatte devenir humide, mon petit démon s’affole.
Qu’est ce qui me prend, on dirait que mon corps ne peut plus ce passer de ce vieux cochon, à moins que ce ne soit mon cerveau, je suis toute chose et perplexe.
Mon copain me surprend et me fait sursauter, me sortant de ma rêverie.
– Emy à quoi tu pensais, tu as un sourire radieux ?
– A toi mon chéri !
Ouf j’ai eu chaud, je sais pas si je vais pouvoir lui cacher la vérité longtemps.
Récit de See you.