Résumé : Elodie connait le naturisme depuis sa jeunesse. Après avoir obtenu son bac à Bordeaux, elle a passé 15 jours dans un centre naturiste avec son petit copain, Stéphane, et a participé à une randonnée pédestre qui s’est terminée en randonue et en jouissances sexuelles. Son copain l’a quittée alors qu’elle est en BTS à Renne et qu’elle est en collocation avec une camarade, Bénédicte, qui devient rapidement son amante. Bénédicte est également une adepte du naturisme. Elodie et Bénédicte doivent travailler cet été. Mais dans un centre naturiste avec des collègues très intéressants…
Jobs d’été
Un problème se présentait à nous deux. La rupture avec Stéphane m’empêchait de repartir dans un centre naturiste comme l’été précédant. Il avait tout réglé pour moi. Je n’avais pas les finances pour me payer un séjour, ne serait-ce qu’une semaine dans un tel lieu. Bénédicte avait le même problème que moi. Sa cousine partait sans ses parents à présent et elle avait un petit copain, ma colocataire ne se sentait pas l’âme de tenir la chandelle.
Il apparut nécessaire également de travailler pendant ces vacances pour alléger le budget études de nos parents. Les miens comme les seins n’étaient pas si riches que ça. Nous devions payer une partie du loyer de l’appartement avec nos propres deniers. Bénédicte avait travaillé pendant un mois chez Mac Donald l’été dernier. Pour ma part, alors que j’étais encore à Bordeaux, Marie ne me faisait plus payer de loyer depuis que notre relation était devenue très intime ; j’avais donc pu faire des économies. Mes parents me donnaient de l’argent, je pouvais difficilement leur dire :
– Ce n’est plus la peine, je couche avec ma copine, on baise ensemble, je la paie en nature.
Je ne pense pas qu’ils auraient été choqués en apprenant que j’avais des relations lesbiennes (surtout ma mère très libérale). Ce qui me gênait, c’est qu’il ait pu prendre cela pour de la prostitution.
Cet été, il était indispensable de ramener de l’argent. Je ne me voyais pas faire griller des steaks ou constituer des salades. Je ne savais pas vraiment quoi faire. C’est en me documentant sur un centre naturiste (j’avais un petit espoir de tout de même faire un séjour) que je découvris l’annonce :
« Centre naturiste, recherche animatrices pour l’été ».
C’était ce qu’il me fallait. J’en parlais à Bénédicte qui manifesta tout de suite un vif intérêt pour le job. Nous nous sommes jetées sur le téléphone. Ils recherchaient bien deux animatrices pour s’occuper des activités de plein air tant pour les adultes que pour les enfants naturistes.
Nous avons eu le responsable au téléphone :
– Vous avez déjà pratiqué le naturisme ?
– Oui, nous avons toutes les deux séjourné dans des campings naturistes, en tant que clientes.
– Cela ne vous gênera pas de travailler nues ?
– Non, pour nous la nudité est un état normal, nous n’avons aucun problème de pudeur sur ce point.
– Vous devrez donc organiser des animations diverses : Tournois de sports, jeux en tout genre, soirées… De façon à ce que nos clients ne s’ennuient pas un seul instant durant leur séjour et qu’ils n’aient qu’une seule envie : Rester le plus longtemps possible et avec le souhait de revenir l’année suivante. Dans la journée vous devrez aussi vous occuper des enfants et d’organiser des activités pour eux. Vous êtes prêtes ?
– Oui tout à fait. Comment logerons-nous ?
– Je mets à votre disposition une petite caravane pour vous deux. En ce qui concerne les sanitaires, c’est au bloc, comme tout le monde. Seulement il faudra éviter d’y aller aux heures de pointe.
– Bien-sûr, c’est tout à fait normal.
– Pour la nourriture, il y a une épicerie dans le centre. Mais nos employés ont l’habitude de bénéficier des « restes » du restaurant du centre ou des plateaux repas préparés pour eux. Ah ! une dernière chose, je vous demande de n’avoir aucun rapport intime avec les clients : Pas de flirt, pas de petit copain… Je ne veux pas qu’il y ait des rapports trop proches. Vous travaillez dans un centre de loisir, eux sont les utilisateurs. Il faut bien montrer cette différence. Vous serez là pour travailler, vous ne serez pas en vacances.
Nous acceptâmes ces obligations qui étaient très peu contraignantes. La rémunération était celle du smic, mais avec des primes, car il fallait travailler 7 jours sur 7 et pas simplement 7 ou 8 heures. Nous prenions nos fonctions tout début juillet jusqu’à fin août : Deux mois de naturisme total sans rien débourser et même en gagnant de l’argent : Le rêve.
C’était vraiment l’idéal. Nous allions profiter pleinement de la vie naturiste, pouvant nous déplacer dans le centre toute nue, pouvant aller nous baigner dans la piscine, pouvant loger sur place sans devoir nous habiller. De même, nous pourrions travailler dans la tenue de notre naissance sans choquer personne. Quant aux rapports sexuels interdits avec les clients, j’avais ma maîtresse en titre avec moi et nous pourrions, dans l’intimité de notre caravane nous donner du plaisir sans contrarier notre employeur.
Les derniers mois de l’année scolaire se terminèrent donc dans cette situation : Deux filles qui s’aiment et qui se donnent du plaisir, deux étudiantes mettant leurs forces dans le désir de réussir leurs études et deux naturistes qui attendaient impatiemment ces vacances-travail dans un camping naturiste.
Nous sommes arrivées au camping naturiste de la Rivière (nous l’appellerons ainsi), en Provence, l’avant-veille du début de notre contrat. Ainsi nous avons pu nous installer tranquillement dans la petite caravane qui était mise à notre disposition. Elle se trouvait à l’arrière du bâtiment de la réception, à l’écart des autres campeurs et assez éloignée des sanitaires. Il y avait une autre caravane toute proche où logeaient « deux garçons employés par le camping » nous dit le propriétaire qui nous fit la visite. Ce que j’appréciai, c’est sa convivialité, son bon accueil le tout dans un style très naturiste : Il était nu et sans gêne face à nous deux, les jeunes filles, qui pour l’instant, étaient encore habillées.
Nous avons découvert plus tard, que dans l’autre caravane, le premier garçon était le maitre nageur de la piscine. Il était beau comme un dieu : Grand, très brun, le torse légèrement poilu (j’aime garder mes poils et j’aime que les hommes en aient) avec des bras musclés et des plaquettes de chocolat au niveau du bide. Il vivait continuellement et entièrement nu et sa queue attirait immanquablement le regard ; Celui envieux des hommes et celui intéressé des femmes. Mais voilà, dans les centres naturistes, chacun sait se tenir. Même au repos, ce membre impressionnant avait des dimensions très appréciables, à la fois épais et longs avec un gland parfaitement décalotté. Je me disais qu’avec un tel engin, il devait remplir un vagin divinement, il était même souhaitable que celui-ci fut bien lubrifié avant intronisation. Pour ce qui est de la sodomie, je n’osais même pas y penser.
Le second occupant de cette remorque était de ce qu’on pourrait appeler l’homme à tout faire du lieu. Il s’occupait notamment de diriger les vacanciers vers leurs emplacements lors de leur arrivée, de veiller à la sécurité intérieure et au respect du règlement, de faire quelques travaux de bricolage et d’entretien. Son physique était également avantageux quoique moins poilu, il était blond et moins bien pourvu par la nature au niveau du sexe. Il était la plupart du temps habillé pour officier, mais à la moindre pose, il quittait ses habits, c’est ainsi que j’ai pu constater que sa verge n’était pas minuscule, bien au contraire, elle était tout à fait dans la norme, mais tout de même moins longue et grosse que celle de son comparse et le grand recouvert de son prépuce.
Ce qu’il y a de bien dans les lieux naturistes, que ce soit des plages libres autorisées ou sauvages, les centres spécialisés, les campings, les piscines réservées ou certains saunas, c’est qu’il est possible de juger sur pièce. Alors que chez les textiles il faut fixer l’entre-jambe d’un homme pour évaluer sous un bermuda les proportions de l’engin et parfois le renflement est trompeur. Là, on sait tout de suite quelles sont les mensurations de la bête au repos ; même s’il arrive qu’on soit trompé sur les capacités : Une belle queue au repos ne donne pas toujours un magnifique outil en pleine action ou le membre reste peu de temps triomphant. Inversement, on peut être agréablement surpris d’un petit sexe qui se déploiera fièrement et restera gaillard sans problème.
Inutile de préciser que j’aime particulièrement les sexes d’homme assez gros (j’ai un peu de mal avec les maigrichons) mais surtout ceux qui tiennent sur la durée, dont l’endurance est irréprochable. Mais surtout, il est préférable d’avoir un bon conducteur avec super 5, plutôt qu’un chauffard avec une Ferrari. Par contre, les queues démesurées ont quelque chose d’inquiétant, on se dit : « comment cela va-t-il pouvoir rentrer en moi ? » En plus avec de tels membres, je me refuse à toutes pénétrations anales.
Une fois installée, Bénédicte et moi, nous nous sommes déshabillées. Nous avions attendu ce moment durant tout le trajet en voiture depuis Rennes. Enfin nous étions à pied d’œuvre. Un petit passage dans le bureau du responsable pour régler les détails de nos missions et nous avions quartier libre. Nous avons visité les lieux à poil, en repérant les sanitaires, une grande salle de douches mixtes et quelques cabines individuelles sans porte avec des murets ne dépassant pas la taille ; les terrains de sports, la piscine, l’épicerie (nous avions apporté quelques provisions nous imaginant bien que les prix pratiqués seraient prohibitifs, ce qui était le cas), le restaurant qui était tout proche de la piscine et la salle de « spectacle » où chaque soir devaient avoir lieu des animations.
Les règles de nudité dans le camp étaient simples et assez libérales à la fois :
« La nudité est autorisée [donc pas obligatoire mais sans doute souhaitée] dans tout le camping.
Autour de la piscine, la nudité est obligatoire
Au restaurant, le port d’un slip ou culotte sera exigé pour des questions d’hygiène… »
Le lendemain de notre installation, arrivèrent les premiers juillettistes avec le soir une animation pour l’accueil. Nous entrions en scène, car l’organisation de cette soirée faisait partie de nos prérogatives. Le propriétaire nous dit :
– Vous pouvez mettre des tenues décontractées.
– On ne peut pas rester nues ?
– Si cela ne vous dérange pas, pourquoi pas. Il y aura beaucoup de vacanciers qui n’auront pas encore enlevé tous leurs vêtements… Par expérience les hommes en général préfèrent porter quelques choses et les femmes, tout en gardant les seins nus, ont souvent un paréo autour de la taille. Mais on est dans un centre naturiste, donc si vous voulez officier nues, je n’y vois pas d’objection, au contraire.
– Oui, on est dans un lieu naturiste, alors autant le rester. En plus c’est à nous de montrer l’exemple.
Le soir, Bénédicte et moi, nous nous présentâmes à un public d’hommes, dont une grande majorité portait des shorts, de femmes, toutes pratiquement ayant les seins nus et parfois le sexe à l’air. Il s’agissait souvent de familles. Nous avons fait la présentation du personnel d’encadrement :
1) le propriétaire qui était nu, il avait suivi notre idée de montrer l’exemple,
2) le maître nageur et l’homme à tout faire, tous les deux ayant revêtu des minis shorts qui laissaient deviner leur virilité,
3) la responsable de l’accueil qui était topless et avait enfilé une jupette très courte à franges, si bien qu’au moindre mouvement qu’elle faisait on voyait sa chatte ou ses fesses, c’était encore plus sexy et licencieux que si elle avait été intégralement nue.
Comme nous devions animer les clubs pour les enfants, quelques parents nous interrogèrent sur les activités que nous allions pratiquer. Nous avons expliqué avec Bénédicte ce qui serait proposé : Piscine aux horaires où il y a le moins de monde, ateliers divers, maquillage, peinture, fabrication de masques, poteries, sports, théâtres… Aux parents qui s’inquiétaient que leurs enfants ne souhaitaient pas être nus, nous les rassurions :
– Nous serons nues et d’autres enfants aussi. Si votre enfant reste habillé, il sera tout de même accueilli, nous essaierons même de le mettre en confiance. Et peut-être qu’au contact des copines et des copains de son âge qui vivent leur nudité plus facilement et plus naturellement que lui, il s’y mettra.
Je pense que nous avons remporté l’assentiment de beaucoup de parents, car les enfants qui nous furent confiés étaient assez nombreux pour un début de saison : Une vingtaine. Nous les avons répartis en deux groupes, par âge et par affinités, mais en aucun cas il n’y eu d’un côté les filles, de l’autre les garçons.
Dès le lendemain matin, les animations ont commencé. Il y avait d’abord une séance de gym en bordure et dans la piscine. Mais là une prof de sport se chargeait de l’animer chaque jour et bien que non naturiste, elle était très compétente en la matière et nullement choquée par les corps nus qui reproduisaient ses mouvements.
Pour notre part, le matin nous organisions un footing dans le centre et une fois dans la semaine une course un peu plus longue. Si les hommes couraient nus, certaines femmes préféraient mettre le haut d’un maillot, non pas par pudeur, mais par confort. Nous mettions aussi en place les activités de l’après-midi et de la soirée. Il y eut ainsi par exemple une journée body painting. Les corps se transformaient ainsi aux gré de vacanciers plus ou moins talentueux. Cela allait de la représentation très légère, comme des lianes et des branches courant tout le long de corps, à des créations plus élaborés : Des animaux, des habits en trompe l’œil. Aussi bien les femmes que les hommes se prêtaient au jeu. Je me rappelle d’un superbe papillon ailes déployés sur les seins d’une jeune fille, un homme qui avait sur le buste la tête d’un éléphant, la trompe de l’animal étant constituée par son sexe. Ou alors des filles avec sur la face, la tête d’un félin et le corps zébré ou tacheté comme le poil de l’animal, des paysages entiers… L’avantage de ces peintures, c’est qu’elles permettent de décorer le corps et que contrairement aux tatouages elles sont peu onéreuses, nullement douloureuses et surtout non définitives.
Il faut simplement respecter quelques règles élémentaires. Utiliser une peinture spécialement prévues à cet effet. La peau sur laquelle est appliquée la peinture doit être propre et saine. Les pinceaux et éponges doivent être nettoyés après usage. Les corps ainsi décorés défilèrent le soir même pour l’élection de la plus belle œuvre réalisée. C’est à la fois l’œuvre, l’artiste et le « support » qui furent alors notés.
Bien-sûr, comme dans tout camp naturiste, il y eut des élections de Miss. D’abord, pour les jeunes filles et ensuite pour les femmes plus âgées. Cette fois-ci, c’est moi qui jouait Madame Loyal : « Quel âge as-tu ? », « D’où viens-tu ? », « C’est la première fois ? », « Ca te plait ? », etc.
Il y avait deux fois par semaine, une soirée dancing. Là tous les hommes avaient un short pour pouvoir danser avec une partenaire sans se montrer inconvenant, surtout si celle-ci avait décidé de rester totalement nue, ce qui arrivait. Enfin, au début, beaucoup de femmes vinrent à ces soirées habillées, pourtant elles n’avaient pas à craindre quelques réactions incontrôlées de leur sexe. Mais nous avons pu constater, lors de la seconde soirée de ce type, que la nudité féminine était beaucoup plus répandue, surtout chez les jeunes filles ou les jeunes femmes. D’autres vinrent les seins nus, ce qui montrait déjà une certaine évolution. Nous avions réussi à montrer l’exemple.
– Vous faites naitre un élan nouveau de nudité, nous dit le propriétaire du centre.
Pourtant, pour nous, il était naturel d’être nues en toute circonstance dans ce lieu où la nudité était autorisée. Or ce que nous recherchions c’est justement la possibilité de bénéficier de cette situation tout en travaillant.
Bénédicte et moi, nous avions demandé à un groupe musical de la région de venir se produire pour animer ces soirées. La première fois ils restèrent habillés, la seconde, la chanteuse enleva le haut et après quelques soirs tous se produisirent nus.
La bonne entente avec le comité des fêtes de la commune où nous nous trouvions permettait un concours entre le camping municipal et notre centre. Cela se déroulait à la piscine textile et nous devions pour cela nous habiller. Quelques filles vinrent topless, sans que personne (ni chez les naturistes, ni chez les textiles) ne fassent la moindre remarque. Nous aurions aimé les accueillir dans notre structure, mais voilà, la nudité peut choquer, aussi nous avons très rapidement abandonné cette idée.
Enfin, avec le concours du personnel du centre, nous faisions de petites représentations théâtrales : Des sketches, des petites scènes basées sur la nudité et le naturisme sans connotation sexuelle : rire sans choquer. L’intérêt était de pouvoir nous produire nus devant les vacanciers en les divertissant. Ainsi j’ai joué deux pièces de théâtre nudiste, j’étais nue sur scène, observée par des hommes et des femmes dont très peu l’étaient : Le soir, beaucoup de naturiste se rhabillaient alors que les températures ne le justifie pas. Mon côté exhibitionniste était parfaitement comblé.
Pour ce qui était des enfants dont nous devions nous occuper, j’avoue que je prenais du plaisir à m’occuper d’eux. Bien entendu il y eut quelques mauvais coucheurs, mais ce ne fut que des cas isolés. Certains enfants vinrent le premier jour habillés. Mais voyant leurs animatrices dans le plus simple appareil (moi ou Bénédicte) et leurs copains et copines nus et heureux de participer à ce centre de loisir pour enfants en totale liberté de tout vêtement, ils emboîtèrent bien vite le pas. Parfois ils portaient quelque chose en arrivant, mais dès qu’il était avec nous tous, ils enlevaient le tissu.
Les jeux que j’organisais avec les enfants avaient pour but qu’ils perdent tout complexe avec leur corps, surtout entre garçons et filles de même classe d’âge. Le plus difficile c’était lorsque je m’occupais des pré-ados. Ces jeux n’avaient rien de sexuel, même si, certains parents auraient pu les trouver parfois limites. Mais Je n’avais qu’un seul but : Que chacun découvre entièrement son corps et le corps de l’autre, sans connotation sexuelle et sans complexe. Pour remplir ce qui me semblait être ma mission, je m’appuyais sur deux piliers : Dans un premier temps les garçons et filles devaient pouvoir découvrirent le corps de l’autre, que ce n’est pas une chose tabou, c’est la nature qui nous a fait comme ça. Dans un second temps il fallait que chacun et chacune n’ait plus honte de se montrer nu(e), n’ait plus honte de son propre corps.
Petit à petit, filles et garçons s’habituèrent à se regarder sans gène et sans arrière pensée. J’avais réussi en quelque sorte à désacraliser les organes génitaux qui ne sont que des bouts de chair comme les autres, bout de chair que l’on a tous. Selon moi, cela permettait, surtout au garçon, de mieux percevoir ce qu’est une fille et de lui inculquer le respecte qu’il doit avoir pour elle. Dans les jeux le contact physique, le corps contre corps, existaient, ils étaient même inévitables. Pourtant, personne ne s’autorisait à des gestes déplacés.
Voici comment on doit pratiquer (selon moi) :
La règle de base, c’est dès le début de composer des équipes mixtes, si possible autant de garçons que de filles dans chaque équipe. C’est très important. Pour les épreuves individuelles, chaque équipe décide qui fera l’épreuve, un peu comme à Fort Boyard. Les deux membres de l’équipe joueront l’un contre l’autre, ce pouvait être une fille contre un garçon, deux garçons ou deux filles.
La course de slalom : Comme dans un slalom en ski, des membres des équipes qui ne feront pas la course, se placent sur la plage (ou sur l’herbe) pour faire les piquets du slalom. Les coureurs devront être pieds nus, pour mieux glisser sur le sable ou sur l’herbe. Le plus rapide marque un point pour son équipe.
La course au trésor des pirates : Les moussaillons cachent des trésors que les pirates doivent découvrir. Le pirate qui a amassé le plus de trésor en 10 ou 15 minutes gagne un point pour son équipe.
La quête du Graal : Des chevaliers (filles et garçons) après s’être peint le corps avec des armoiries et avoir mis un ruban en travers du corps, tentent de dérober à des « dragons » un Graal. Les dragons doivent garder leur trésor en bloquant leur adversaire de leur corps. Les empoignades et même corps-à-corps n’étaient pas rares.
Le labyrinthe de Minos : Les non-coureurs des équipes forment les bords de part et d’autre d’un couloir en se tenant par la main ou avec des cordes tenues à la main. Le couloir doit faire plusieurs virages (un labyrinthe). Les deux coureurs ont les yeux bandés et partent en même temps dans le couloir. Les déplacements se faisant à tâtons, les mains s’aventuraient parfois sur des zones intimes, mais quant c’était le cas, elle se retirait d’autant plus rapidement. C’est au premier qui sort du couloir qui a gagné.
Le parcours d’obstacle : Le coureur devra passer sous l’obstacle en rampant (sur le ventre ou sur le dos) ou au-dessus à saute mouton. Les obstacles sont constitués par les autres garçons et filles. Quand un garçon passe au dessus d’une poutre composée de filles, elles sont aux premières loges pour voir son sexe. Et c’est pareil dans l’autre sens. Ils pouvaient mettre un maillot ou un t-shirt. Mais dans 99 % des cas il n’en faisait rien : Ils oubliaient qu’ils étaient nus.
La chaise à porteurs : Une fille s’assoie sur les mains jointes de deux garçons de son équipe, et se retient par le cou de ses compagnons. On pourrait croire que les garçons vont en profiter, car leurs mains pourraient être baladeuses, mais dans le feu de la course, personne n’y pense et le contact des peaux n’a aucune connotation sexuelle.
Parfois, certains rapprochements se créaient entre un garçon et une fille. Lorsque cela se produisait, je ne faisais rien pour interrompre les sentiments qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre. Dans le cas où cela devenait trop démonstratif, un seul regard suffisait à ce qu’ils rentrent dans le rang. Lorsque l’attirance devenait vraiment trop voyante, je leur en parlais calmement, sans les blâmer, leur demandant s’il ne serait pas préférable d’en parler à leurs parents. Si le refus était trop catégorique, je m’assurais que la fille prenait bien la pilule et le mec était près à mettre un préservatif.
Ce n’est pas en interdisant qu’on arrive à donner à ses enfants le respect de l’autre.
Dès le premier regard, j’avais apprécié la plastique de nos deux collègues. Je dansais souvent avec Alain, le maître nageur et Bénédicte avec César. Cela évitait de se faire trop souvent inviter par des clients qui auraient pu se montrer trop entreprenant… Je ne parle pas de viol, ce n’est pas le genre des personnes venant dans centres naturistes où on trouve peu de pervers, mais d’un rapprochement que le patron ne désirait pas trop voir. L’interdiction était un rapprochement clients-prestataires, mais ne concernait pas les relations entre collègues. Aussi, un soir, alors que nous revenions tous les quatre vers nos caravanes, Alain m’a entraînée vers mon logement tandis que César dirigeait ma copine vers celle des garçons. Inutile de préciser que nous nous laissâmes faire, trop constantes de l’aubaine.
La porte à peine fermée, je virais le mini short de mon bel Apollon. Je connaissais bien sa queue aux belles proportions, mais là je pus l’envisager de près, la prendre dans mes mains, la soupeser, la cajoler. Lui aussi avait pu voir mon corps, mais il voulait sentir ma peau. Il m’embrassa fougueusement avant de prendre mes deux seins dans ses mains pour en éprouver la grosseur, l’élasticité de la chair. Ses caresses m’électrisèrent. Cela faisait plus de trois mois que je n’avais pas baisé avec un mec, et je dois reconnaitre que cela me manquait beaucoup.
Une fille c’est bien, ça permet de passer de bons moments, mais je suis une vraie hétéro, donc j’adore que mon corps soit en contact avec celui d’un garçon.
Il ne fut pas long à me basculer sur le lit pour parcourir avec ses doigts ma vulve. D’un côté il asticotait vigoureusement mon entre jambe, d’un autre côté il triturait mes seins et mes mamelons dressés. Il y avait quelque chose de brutal dans ses attouchements, mais ils n’en étaient pas moins divins. Je ne voulais pas perdre de vue son beau membre, il dut comprendre ce que je désirais, car il se positionna au-dessus de moi en 69. Ainsi sa queue arrivait à hauteur de ma bouche tandis qu’il investissait mon intimité. Dressé devant moi, ce magnifique sucre d’orge était phénoménal. En bandant le bel étalon avait gagné en grosseur et en longueur, avec le gland largement décalotté, les veines parcourant le membre gonflé de désir.
Je sentis qu’il ouvrait ma conque pour se délecter de mes lèvres intimes qu’il commença à lécher. Moi je pris en bouche cette queue qui grossissait démesurément ; à tel point que bientôt, je ne pus la faire coulisser entre mes lèvres ; je me mis alors à la lécher, à m’occuper des bourses qui roulaient sur elles-mêmes, je titillais son gland du bout de langue. Quel membre, il m’effrayait presque par sa grosseur. Cependant, pour rien au monde je n’aurais voulu laisser ma place.
Mon amant introduisit un doigt dans mon vagin, il s’y prenait très bien, asticotant mon intérieur. Il rechercha mon poing G qu’il trouva après quelques tâtonnements, il le toucha, ne prolongea pas la pression, puis revint à l’attaque, relâcha, je n’en pouvais plus, à la troisième pression, je lâchais un râle et inondais son visage de ma mouille : que c’était bon !
Il se positionna à mes côtés et me regarda jouir. J’eus à peine conscience qu’il mit un préservatif et que déjà il me pénétrait avec sa virilité. Je me ressaisis, effrayée par les dimensions de son sexe, un gros gourdin maintenant qu’il était en pleine érection, j’avais l’impression d’avoir une batte de baseball devant moi, il me dit :
– N’ai pas peur, détends-toi, tu vas voir ça va très bien aller.
Il entra progressivement, sans déchirer mes chairs, mais les distendant tout de même. Mon vagin était tellement lubrifié que cette introduction ne fut pas douloureuse même si je me sentais investie par quelque chose d’énorme. Il continua à avancer délicatement en moi.
– Il n’en finira donc jamais, me disais-je.
Son gland rencontra le fond de mon vagin sur lequel il buta, je poussai un petit cri. Il s’immobilisa un instant avant de commencer un léger va-et-vient, appuyant plusieurs fois sur le tréfonds de mon être.
J’avais l’impression qu’à chaque fois il allait un peu plus loin : Il me dilatait le vagin pour qu’il prenne la taille de son sexe. Une fois bien établi, il commença des allers retours qui m’arrachèrent des feulements de plaisir. Son rythme s’accélérait de plus en plus. Je fus transportée dans un autre monde, je ne savais plus où j’étais, il me prenait totalement, je ne me contrôlais plus. Bientôt il ne s’agissait plus d’aller et venues pour investir mon con, non il me défonçait littéralement et comme une conne, je lui en demandais encore plus :
– Vas-y, met la moi bien au fond ! Oh ! Oui…
– Tu aimes ça te faire défoncer, tu aimes ça salope, qu’il me répondit.
Ces mots que je n’aime pas qu’on me dise, je les acceptais avec une délectation nouvelle. Il pouvait me traiter de tous les noms, « salope », « souillon », « pute »… je le permettais.
C’est après ces insultes humiliantes que je fus parcourue par un orgasme violent. Il continuait à m’astiquer alors que je jouissais. Puis il retira sa queue toujours aussi impressionnante, enleva son préservatif et se plaça au-dessus de moi, il frappa mes seins avec sa massue, frotta son gland sur le bout de mes tétons sensibles. Cela faisait mal et tout à la fois c’était tellement bon. Il astiqua encore quelques instants sa tige pour me déverser de grandes rasades de sperme sur la poitrine et le visage. J’en avais sur les nichons, dans la bouche, dans les yeux, sur le front, sur le menton… C’est le premier homme qui me faisait une telle éjaculation faciale. Je n’apprécie pas particulièrement, mais venant d’un tel amant, j’étais prête à tout accepter. Oui, j’étais vraiment sa putain consentante et je savais que je ne pourrais rien lui refuser.
Dans la nuit, après m’avoir prise encore par deux fois dans des positions diverses et variées, on a vu arriver ma copine. Elle paraissait épuisée au moins autant que moi. Sans dire un mot, Alain prit son temps pour finir son œuvre sous les yeux de Bénédicte.
Alors qu’il me pénétrait, il sortit son membre de ma conque et le présenta devant ma bouche. Je la pris et après quelques instants d’un habile ouvrage, il juta jusqu’au fond de ma gorge. J’avalais toute sa semence avec délectation.
Que mon amie soit là à nous regarder ne me gênait pas et ne semblait pas même troubler Alain. Puis il prit son short (sans le remettre) et regagna sa caravane. Bénédicte est venue se coucher à mes côtés et nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre mêlant par la même occasion sur nos corps le sperme de nos amants.
Le lendemain, nous étions impatientes de nous raconter nos nuits d’ivresses. Pourtant, nous ne dérogeâmes pas à un rituel bien établi. J’allais me doucher tandis qu’elle préparait le petit déjeuner. Je me rendis au bloc sanitaire et m’installais dans les douches mixtes. Il n’y avait personne à cette heure matinale. Cette eau qui coulait sur moi me faisait un bien fou après les chevauchés endiablées de cette nuit. Une femme rentra. Elle commença à se doucher elle aussi. Je me récurais sans vraiment y penser la chatte en y mettant deux doigts. Je m’aperçus alors qu’elle me regardait avec un regard amusé. Elle me dit :
– Vous avez encore du sperme sur vous.
Je fus troublée par ce qu’elle venait de me dire. Comment savait-elle que ces taches blanchâtres étaient du sperme, taches que je croyais avoir éradiquées.
– Vous acceptez que je vous les enlève.
Avant même que je réponde, elle s’avança vers moi et commença à me laver avec son savon. Elle parcourait mon corps en débutant par le dos, les fesses qu’elle visita à plusieurs reprises, elle se baissa devant moi, ce qui lui donna accès à ma vulve qu’elle ne manqua pas d’explorer avec sa main, puis elle descendit le long de mes cuisses. Elle me retourna et remonta sur tout mon corps. Lorsqu’elle atteignit mes poils pubiens, elle les shampouina en disant :
– Il en reste toujours, collé ici.
Sans crier gare, elle enfonça dans mon intimité un doigt savonneux. Je manquai de défaillir. Elle remonta le long de mon ventre avant de malaxer doucement mes seins. J’étais troublée par les caresses de cette femme que je ne connaissais pas, et malgré la gêne que j’éprouvais, je les acceptais sans aucune protestation. Elle prit enfin un peu de recul. Je me rinçai abondamment, y compris en ouvrant ma chatte sous ses yeux. Sans dire un mot, je rejoignis la caravane pour prendre mon premier repas de la journée avec Bénédicte.
Sa nuit, tout comme la mienne, avait été enthousiasmante. César était un amant magnifique, moins bien membré que mon étalon, mais très endurant. Il avait pris mon amie avec la même fougue, quatre fois et l’a fit jouir plusieurs fois à chaque round. Mais nous n’avons pas pu rentrer dans les détails. Bénédicte a été prendre sa douche, je lui fis remarquer que le sperme sec collait bien à la peau ne lui racontant pas l’épisode qui venait de m’arriver. Je fis la vaisselle en attendant son retour, puis le devoir nous appela.
Dans la journée, alors que nous avions une pause dans les activités, nous avons été faire un plongeon dans la piscine, puis posant nos serviettes dans un coin tranquille, nous avons pu évoquer tout à loisir nos deux amants magnifiques. A un moment Bénédicte me dit, tout en jetant des coups d’œil sur la verge d’Alain qui surveillait le plan d’eau :
– Tu sais ce qui serait magnifique ? Ça serait de se les échanger.
– Mais tu déconnes ?
– Oh, Elodie, ne me dit pas que tu aimes Alain. Ces deux mecs, pour nous, ce sont des plans culs sans lendemain.
Même si cette pensée me gênait un peu, je ne pouvais qu’acquiescer. Elle poursuivit :
– Donc pour toi comme pour moi, ce sont des queues interchangeables, tantôt l’une, tantôt l’autre. Tu verras, celle de César est peut-être moins grosse, mais elle est très plaisante à prendre en bouche.
– Et comment tu vas leur présenter la chose aux mecs.
– Pas besoin, on les fait venir tous les deux dans notre caravane, on les prend en main, toi Alain, moi César. Et alors qu’on les suce, on décide de permuter sans leur demander leur avis. D’après moi ils ne protesteront même pas. Après on verra, on alternera au gré des évènements et des envies.
Effectivement, le soir même, les deux mecs vinrent toquer à la porte de notre caravane. Ils étaient totalement nus et leurs sexes déjà tendus. Nous les fîmes entrer. Ils comprirent tout de suite que ce soir il n’y aurait pas de répartition de caravanes : Tout allait se passer chez nous.
Les prenant par la queue, nous les avons menés sur la banquette qui servait de lit, les fîmes asseoir et tout de suite enfournâmes leur sexe en bouche. Leurs verges gonflaient sous l’effet de nos langues et de nos lèvres. Je m’occupais de l’énorme engin d’Alain tandis que Bénédicte était penchée sur la bite de son amant de la veille. A un signe, convenu entre nous deux, nous lâchâmes les sexes brillants de nos salives. Les mecs n’eurent pas le temps de protester lorsque nous avons permuté : Moi sur César, Bénédicte sur Alain. Nos amants semblaient ravis de notre initiative. Ils croyaient certainement nous posséder en nous voyant combler leur fantasme échangiste ; mais en vérité c’était nous, les filles, qui fixions le scénario. Ils étaient à notre merci, ils nous baiseraient toutes les deux, chacun leur tour : C’est nous qui le voulions. Nous ne leur demanderions pas leur avis, ils devaient nous obéir pour obtenir de nous les plus belles faveurs.
Pour l’instant Bénédicte voulait gouter au beau gourdin d’Alain et moi bénéficier de l’endurance de César, voilà ce qui était en cours. C’était notre volonté.
Les mecs nous empoignèrent pour nous lécher la chatte. J’étais sous le corps de César dont je sentais les doigts m’ouvrant les muqueuses pour accéder à mes lèvres ; il les parcourut d’une langue agile. Pendant ce temps je continuais à lui sucer la queue.
Je jetais un petit coup d’œil vers ma copine, elle était au-dessus d’Alain dont le sexe impressionnant était dirigé vers le ciel comme un mat de cocagne. Elle ne pouvait que le lécher tandis qu’il visitait sa conque.
Nos deux beaux amants s’occupaient bien de notre base, leurs langues allant de notre trou du cul à notre clitoris, n’oubliant aucune parcelle de notre intimité. Je mouillais énormément, et que dire lorsque César introduisit en moi un, puis deux doigts et vint titiller mon point G. Mon éjaculation fut presque immédiate, poursuivie par un orgasme. Mon partenaire ne s’arrêta pas pour autant, il continua à laper mon vagin, avalant avec gourmandise ma mouille. Il quitta mon corps un instant pour revêtir une capote et s’enfonça en moi. Il glissa dans mon vagin avec une facilité déconcertante par rapport à Alain ; les va-et-vient de sa queue étaient très agréables.
Bénédicte se faisait perforer par le pieu de son partenaire qui rentrait avec précaution en elle. Pour ma part, je voulais changer de position avec César, il me laissa prendre l’initiative : Je l’allongeais sur le dos et vins le chevaucher en faisant doucement glisser en moi, son sexe dressé. Je procédais à d’habiles manœuvres pour son plus grand plaisir en bougeant avec mes hanches, mes fesses et mes cuisses. Mes mouvements étaient tout aussi jouissifs pour moi qui sentais sa queue parcourir les moindres parcelles de mon vagin accueillant.
Le couple Bénédicte Alain était tout proche du nôtre. Les nichons de ma copine ballotaient au rythme des coups de boutoir de son étalon, j’eux alors l’envie incontrôlable de lui caresser les seins. Elle me laissa faire et même me rendit mes caresses.
César me regarda faire à la fois amusé et excité. Les insultes fusèrent :
– Ah, les petites gouines, je suis sûr que vous aimez vous brouter la chatte.
– Bien-sûr, répondis-je, quand il n’y a pas d’homme ou qu’ils n’assurent pas, on ne va pas mourir en manque tout de même.
César lança alors à son copain :
– On échange ?
Bénédicte et moi, nous n’avons pas eu le temps de réagir et voilà que César s’empalait sur elle, tandis qu’Alain posait le gland devant l’entrée de mon vagin. Puis il s’introduisit : C’était toujours aussi gros, aussi massif. Oui vraiment, quand il entrait c’était impressionnant et envahissant. Je vis Bénédicte littéralement défoncée par son partenaire : Elle était allongée et César, placé au-dessus, lui écartait largement les cuisses. Son sexe se plantait profondément en elle, puis ressortait, pour repartir dans son intimité. Il la pénétrait profondément avec une férocité impressionnante. Elle ne se contrôlait plus, commençant à bouger de plus en plus rapidement de tout son corps. Elle jouit intensément tandis que César se retirait pour éjaculer sur elle. Je ne fus pas longue à la suivre ainsi que mon partenaire. Nous nous sommes tous les quatre endormis sur le lit, les membres enchevêtrés.
Tous les soirs, nous nous retrouvions ainsi. Comme une douche était indispensable avant même d’attendre le matin, nous allions à celles, à l’extérieur de la piscine, toutes proches de nos caravanes. Ne risquant pas d’être découvert, nous nous frictionnions les uns les autres en appuyant bien sur nos zones sensibles.
Un jour, Alain nous avoua que si nous n’avions pas été là, il serait parti rapidement de ce centre naturiste.
– Certes tout le monde se balade à poil, mais en matière de sexualité, c’est un peu pauvre… Il y a encore moins d’occase de baiser que dans une piscine classique.
Une fois, à la demande des mecs, nous avons fait l’amour, Bénédicte et moi, devant leurs yeux extasiés. Nous aurions bien voulu qu’ils en fassent autant, mais ce ne fut qu’après de longues palabres qu’ils acceptèrent de se branler mutuellement devant nous… Mais rien de plus. J’aurais pourtant bien aimé voir deux mecs se sucer la queue.
Par contre, ces deux mecs, malgré leur demande, n’eurent pas accès à nos culs. Lorsque je leur dis :
– Si vous acceptez de vous enculer l’un l’autre, on verra.
Ces seules paroles calmèrent leurs ardeurs dans les tentations anales.
Déjà le sexe d’Alain était bien trop gros pour une pénétration anale et César était incapable de se contrôler suffisamment pour y aller avec douceur et être à l’écoute de sa partenaire.
Mon initiateur en la matière m’avait bien mise en garde de ne pas me faire prendre par derrière par n’importe qui et n’importe comment. S’il en avait été autrement, je n’aurais pas dit non. J’aurais même accepté une double pénétration. Mais là il n’en était pas question.
Ce séjour, entre la joie du naturisme, les occupations qui nous étaient confiées et les plaisirs du sexe fut très plaisant et reste pour Bénédicte, comme pour moi, des souvenirs qui ne sont pas prêts de s’effacer de nos mémoires.
A suivre
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Proposée par CAVAL
Excellent.Brillant texte toujours aussi excitant grâce aux détails.