Elodie : une femme naturiste 3

Résumé : Elodie et son copain viennent de passer deux semaines dans un centre naturiste. Pour le mois d’août, c’est une randonnée pédestre sur les Causes qui s’annonce. Une randonnée pédestre sur les grands Causses qui présente bien des agréments pour des jeunes gens pleins de désirs. Un voyage vers le plaisirs…

La randonnée

Nous devions être six à partir à pied, mais notre groupe se réduisit à cinq. En tout premier lieu Stéphane et moi. Eric, le frère de Stéphane et sa copine. Seulement, au dernier moment, cette dernière se décommanda et Eric vint avec nous en célibataire. Enfin il y avait Marie, la sœur avec son copain, Romain. Je constatais tout de suite que le Romain en question n’était pas le copain que j’avais connu quelques semaines plutôt, Mathieu. Je m’en étonnais auprès de Marie qui me dit :
– Changement d’herbage ravit les veaux.
– Tu as changé comme ça, sans crier gare ?
– Non, plus sérieusement, j’avais en instance deux amants, celui que tu avais vu à la maison et Romain. Ils savaient tous les deux que je me partageais et ils l’acceptaient… Ou du moins ils devaient l’accepter. Tantôt je sortais avec l’un, tantôt avec l’autre et parfois encore avec les deux. Ainsi je me suis pointée avec les deux sur une plage naturiste, je les tenais par la main, ou discrètement par la queue. Sur cette plage il y avait des familles, des gays, des lesbiennes et moi… Avec mes deux mecs. Personne ne pouvait se méprendre sur nos rapports, sans pour autant baiser ouvertement sur la plage bien-sûr, mais en se roulant des pelles, en se pelotant, eux mes nichons et moi titillant leur phallus qui étaient souvent dressés. Oui de biens agréables caresses plus ou moins intimes mes deux mecs et moi…. Hé bien nous n’avons eu aucune réflexion de qui que ce soit. A un moment même, on a été en direction des dunes. Là de petits attroupements se créaient : Des couples faisaient l’amour contemplés par des hommes en érections se branlant ouvertement et des femmes sensiblement émoustillées par le spectacle. Nous regardions ainsi un jeune couple s’ébattre joyeusement, moi je branlais mes deux amants distraitement (mais pas discrètement), chacun dans une main. Lorsque le mec éjacula, il se retira de sa copine, enleva son préservatif et le donna à une femme d’une soixantaine, spectatrice, en lui donnant un petit bisou sur la joue. Par contre, je n’ai pas osé me donner en spectacle… Un reste de pudeur dans ma vieille conscience judéo-chrétienne.
J’étais estomaquée par les révélations très chaudes de la sœur de mon copain que je prenais jusqu’à présent pour une fille très sage.
– Et pour la randonnée tu as choisi de prendre Romain.
– Non, pas spécialement, mais Mathieu a pris la mouche. Il espérait que je quitterais Romain pour lui. Il m’avait posé un ultimatum dont je n’ai pas tenue compte. Une fois la date passée, le 1er juillet, il n’y a plus fait allusion. Ce n’est que la semaine dernière qu’il m’a dit que je devais choisir entre lui et Romain. Alors je lui ai dit que s’il n’était pas satisfait, il faudrait qu’il trouve ailleurs et je suis partie. Depuis il a essayé de me relancer, mais il est hors de question que je le reprenne.
– Donc, maintenant il n’y a plus que Romain dans ta vie.
– Pour l’instant. Si je trouve un autre mec à mon goût, je partagerai. Mais tu sais, ce n’est pas si mal que ce soit Mathieu qui soit parti, car Romain assure vraiment mieux au lit. Au départ, c’était plutôt l’inverse. Mathieu, au début de notre relation était sous traitement médical, il prenait des antidépresseurs, ce qui lui donnait une vigueur sexuelle intense : On remettait le couvert trois fois, parfois quatre fois de suite, sans compter le matin et dans la journée… Un véritable étalon. Mais depuis qu’il ne prenait plus ses médicaments, c’était vache maigre : Une fois, deux fois par jour, pas plus ou alors il bandait mou. Ça te choque que je fasse l’amour avec deux hommes en même temps ?
– Non, non, lui répondis-je, moi cela ne m’est jamais arrivé, voilà tout.
Je n’étais pas choquée, mais presque envieuse de l’expérience de cette fille qui avait un an de plus que moi. Je me souvins aussi de mon frère qui avec son copain avaient honoré ensemble une fille.

Nous sommes partis de la Couvertoirade, vieille localité templière sur le plateau du Larzac, pour ces six jours de marche avec sac à dos. Comme nous devions nous arrêter dans des gîtes d’étape, nous ne nous étions pas trop chargés : Vêtements de rechanges, sac à viande et affaires de toilette. Voici le récit de cette randonnée sous la forme d’un carnet de bord :

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Première journée : Une bonne marche qui ne fait protester personne, les pieds sont encore en bon état et le repas de nos logeurs au gîte permet de repartir en forme le lendemain.

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Deuxième jour : Le terrain reste plat, mais la température commence à monter. Nous longeons le camp militaire du Larzac dont l’extension fut stoppée dans les années 80 après bien des luttes. Le soir, nous sommes les seuls occupants du gîte. Je vais à la douche, seule, Stéphane n’étant pas prêt et Marie m’y rejoint. C’est du rustique, il faut se déshabiller devant la douche rentrer et tirer un rideau pour ne pas tout mouiller. La pudeur n’a pas de mise à ce niveau-là. Je me mets nue pour rentrer sous l’eau et Marie se dévêt également sans plus de manière. C’est alors que je m’aperçois que son sexe est totalement glabre : Plus un seul poil, alors que quelques semaines plus tôt, lorsqu’elle était venue dans notre salle de bain pour prendre sa douche, je peux jurer que sa chatte brune était bien fournie en poils. Je ne peux m’empêcher de lui faire remarquer.
– Ah oui, c’est Romain qui m’a demandé de la faire. D’ailleurs c’est lui-même qui m’a coupé les poils et m’a rasé le sexe. Il y avait du boulot. Je trouve cela super. C’est très agréable, surtout l’été avec la transpiration. C’est doux comme de la peau de bébé et en plus c’est beaucoup plus sexy. Tu ne trouves pas.
Effectivement, c’est terriblement sexy, comme elle écarte les jambes, son sexe apparait nettement. Elle se tient ainsi devant moi de façon impudique.
– Touche voir comme c’est doux.
J’approche la main, passe les doigts sur le bas de son ventre en faisant attention de ne pas descendre jusqu’à sa fente. La peau est très douce et agréable à caresser, mais ce plaisir est réservé à Romain. Nous en restons là, mais l’image de ce sexe rasé reste gravée dans mon esprit :
« Et si vraiment c’est aussi agréable qu’elle le dit ? »

Dans la nuit, je me réveille la bouche sèche. Sachant la maison déserte, je ne vois pas la nécessité de couvrir ma nudité pour aller boire un verre d’eau dans la cuisine ne pouvant croiser personne. Je sors de la chambre que j’occupe avec Stéphane, en deux bons je suis dans la cuisine. Mais là je me trouve nez à nez avec Eric. Lui aussi est nu et beau comme un Dieu, beaucoup plus baraqué que son frère, un beau sexe décalotté au repos que je ne peux pas quitter du regard.
– Ce n’est pas la première fois que je te vois à poil, mais mon jugement premier est toujours intacte, mon frère a vraiment bon goût, me dit-il d’un air goguenard.
Le plus naturellement du monde en m’envisageant sans vergogne, comme s’il appréciait la marchandise.
– Mais pour moi, c’est la première fois que tu es nu en ma présence, je réponds pour essayer de trouver une constance me trouvant assez mal à l’aise.
– Qu’est-ce que tu en penses ? Me demande-t-il, puis sans me laisser le temps de répondre : Toi en tout cas, tu sais que t’est vachement bandante ?
Justement, son sexe commence effectivement à s’agiter.
– Attends, je suis la copine de ton frangin, laisse-moi tranquille.
– Oh ! Il peut bien partager un peu. Moi je me retrouve seul, il peut bien me prêter sa meuf. Et puis, ne me dit pas que tu n’en as pas envie.
D’un geste vif, il passe sa main dans mon entre cuisse et la ressort humide, cela lui permettant de s’exclamer :
– Tu vois tu mouilles déjà.
Sans que je puisse rien faire, et d’ailleurs est-ce que je le désire vraiment, il me prend par la taille, me retourne comme un crêpe, m’installe sur le plan de travail de la cuisine, lui exposant mon dos et mes fesses. Il m’écarte les jambes et introduit sans autre forme de procès son sexe en moi, pas dans mon cul heureusement, mais dans ma vulve. Il commence à me ramoner. C’est à la fois violent et terriblement jouissif. Je sens son sexe me labourer le vagin, allant très profondément en moi, ne cherchant pas à m’épargner. La jouissance se mêle à la douleur, mais j’en veux encore, à aucun prix je ne voulais qu’il arrête son va-et-vient puissant et destructeur. Il accélère ses mouvements en moi. Je ressens une sorte de plaisir malsain à me faire tringler ainsi comme une quelconque pute, sans même réagir ni protester. Je crois que s’il m’avait insulté, s’il m’avait traité de tous les noms, la jouissance aurait été encore plus grande. Il finit par sortir de moi pour gicler sur mon dos.
Je n’ai certes pas eu d’orgasme dans cette relation rapide de sauvage, mais tout de même du plaisir et surtout aucun dégoût. Je reste dans cette position, dans une impudeur totale, sans bouger, à la merci de mon bourreau. Cependant, très tendrement, il prend du papier absorbant, essuie le sperme déversé sur mon corps et me demande :
– Tu venais chercher quoi dans la cuisine.
– Un verre d’eau.
Il le remplit lui-même et me le tend. Je le bois, lui redonne le verre vide et retourne dans la chambre, je me couche auprès de Stéphane me sentant terriblement coupable. Mais je l’entends dire :
– Ça t’a plu avec mon frère ?
Je n’en crois pas mes oreilles, mon homme qui le plus naturellement me demande si j’ai pris mon pied en baisant avec son frère. Comme je ne réponds pas il reprend :
– Il t’a fait jouir au moins ?
– Oui, dis-je penaude.
– Tu sais, je ne t’en veux pas du tout, il ne peut pas s’en empêcher. Dès qu’il y a une fille qui traine, il faut qu’il se la fasse. Toutes mes copines qui sont venues à la maison y sont passées. Je me demande même comment se fait-il que tu ne sois pas encore passée à la casserole avant ce soir. Et puis, ça reste dans la famille.
J’ose alors lui demander :
– Et si je faisais l’amour avec ta sœur, là aussi tu accepterais.
– Pourquoi pas, si ça te chante : C’est toujours la famille. Mais je te préviens, je la sens très hétéro, je ne sais pas du tout si une aventure homo la tenterait. À toi de voir. Tu as carte blanche.
Je ne dors pas beaucoup cette nuit là, ressassant dans mon esprit l’étreinte avec Eric, la possibilité folle de pouvoir posséder Marie et dans tout ça, mon amant qui laisse faire et qui est même complaisamment consentant. Mais une autre idée me frappe et m’effraie aussi : Eric m’a prise sans préservatif.
Au réveil j’évoque mes craintes à Stéphane qui me répond :
– Ne t’inquiète pas, Eric fait souvent des dépistages, tu ne crains rien. D’ailleurs il m’avait demandé s’il y avait des craintes à avoir avec toi. Je l’ai rassuré.
– Tu savais donc ce qui allait se passer. C’est sciemment que tu m’as fait venir dans cette randonnée pour me livrer à ton frère.
– Tu n’as pas détesté, n’est-ce pas ? Alors qu’est-ce que tu me reproches ? Aussi il faut dire que se promener la nuit cul nu, ce n’est pas prudent lorsqu’on veut préserver sa « vertu » de jeune fille. De toute façon un jour ou l’autre tu serais passé dans son lit.
Je trouve son ton très persiffleur, mais je me contente de lui donner des baisers sur la bouche, sur le torse et sur le sexe, histoire de le faire taire.

*

Troisième jour : Nous ne parlons pas de ces péripéties entre nous, comme si rien ne s’est passé. Le temps est de plus en plus chaud. Les hommes se mettent torse nue, si bien qu’ils sont presque nus avec leurs petits shorts qui moulent bien leur cul. Nous les filles nous décidons de faire comme eux, mais nos seins restent protégés par nos soutiens gorges. Les mecs sifflèrent et Eric, le plus prompte à chambrer lance :
– A poil les filles, à poil.
– On vous suit les mecs, dit Marie, vous enlevez le short et le slip et nous on enlève le haut et le bas. Ok Elodie ?
Surprise et n’osant pas jouer les prudes devant Marie, je renchéris :
– Chiche les mecs !
Eric n’hésite pas une seconde, il enlève son short et son slip d’un seul mouvement. Voyant cela, mon homme le suit. Romain reste interdit ne sachant que faire. Il faut que Marie l’encourage alors qu’à présent nous le regardons tous :
– Allons chéri, tu ne vas pas rester le seul habillé.
Il quitte d’abord son short puis, à regret baisse son slip. Oh surprise, lui aussi a un pubis totalement glabre, il ressemble à un enfant (sauf la taille du sexe : Il est vraiment très bien monté et en plus il commence à gonfler). Les hommes étant nus, c’est à notre tour de quitter nos vêtements. Sur le coup je n’ai pas pensé que les hommes allaient répondre affirmativement à la proposition de ma copine ; aussi me mettre nue devant eux n’est pas si facile que ça. Et puis je me dis qu’ils sont tous naturistes (Romain je n’en sais rien, mais je ne doute pas qu’il puisse l’être comme sa copine) et qu’en fait se retrouver à poil en leur compagnie est presque normale. Ainsi lorsque je fais glisser mon slip après avoir ôté mon haut, j’éprouve beaucoup de plaisir.
Nous apprécions très vite d’être ainsi nus, nos corps offerts au soleil. Et je peux vous assurer que l’ombre sur les causses est rare, pour ne pas dire inexistante. Seulement, il faut nous protéger avec de la crème solaire. Marie s’occupe de son copain tandis qu’il enduit le corps de sa compagne, ou plutôt il lui caresse la peau. D’ailleurs elle lui dit :
– Il n’y a pas que mes nichons et mon cul qui peuvent prendre des coups de soleil.
Nous en faisions de même Stéphane et moi. C’est alors qu’Eric se manifeste :
¬ Et moi, qui va m’enduire d’huile… Personne ne pense à moi.
Je regarde Stéphane qui me fait un clin d’œil. Je m’approche d’Eric et commence à le badigeonner en lui disant :
– Tu restes sage et tu ne touches pas, Stéphane a fait le travail. Je ne m’occupe de toi que par simple charité chrétienne.
J’enduis son corps, étale la crème attentivement sur chaque parcelle de sa peau et je remarque qu’il n’est pas insensible à mes attouchements. Par jeu je lui dis :
– Tu devais rester sage.
– Je ne touche pas, mais le plaisir des yeux est déjà pas mal.
C’est alors que Marie vient me rejoindre et commence à enduire le corps de son frère avec des attouchements appuyés. C’est d’ailleurs elle qui étale la crème, sur le sexe qui commence à s’ériger, sans aucune pudeur ni gène bien qu’il s’agisse de son frère.
Mon homme m’aillant donner son assentiment, je pousse ma charité chrétienne jusqu’à branler cette queue qui ne demande que ça. D’ailleurs, Eric n’est pas long à éjaculer. J’ai juste le temps de me retirer pour ne pas recevoir sa semence sur moi.

Nous décidons de continuer dans cette tenue tant que nous restions loin des habitations et des routes. Pour les promeneurs que nous pouvons croiser (très rares à vrai dire) nous gardons une serviette pouvant nous servir de pagne. Pour nous les filles, les nichons restent à l’air, mais nous n’avons rien de la Méduse qui transformait ceux qui la voyaient en pierre.
Pourtant, le jour même, alors que nous traversons le causse Bégon, au détour d’un chemin que nous pensons désert, apparaissent six chevaux. Nous n’avons pas même le temps de couvrir notre nudité. Il y a autant de cavaliers que de cavalières, les premiers envisageant Marie et moi avec un vif intérêt et un sourire grivois, quelques sifflements également. Les cavalières regardèrent, quant à elles, nos hommes qui ne font rien pour dissimuler leur anatomie, sauf peut-être Romain qui n’est pas encore totalement à l’aise dans la situation de nudité. Une fois toute les chevaux passés, l’un des cavaliers dit à une fille :
– Ca serait sympa si vous montiez à cheval ainsi les filles.
– Tu peux toujours rêver, en plus je ne te raconte pas les blessures qu’on se ferait aux jambes et aux fesses.
– Vous les mecs, répliqua une autre, avec le bout qui pend, ça vous emmerderait pas mal….

En fin d’après-midi, dans les gorges du Trévezel, nous ne réprimons pas l’envie de nous baigner dans la rivière. Une descente, un coin tranquille et hop, tous les cinq dans la flotte. Un pur moment de plaisir après une journée de marche. Nous ne sommes qu’à quelques encablures du gîte où il y a beaucoup de monde. Heureusement, nous logeons non dans le corps principal, mais dans une ancienne bergerie transformée en dortoir. Là encore je pars prendre ma douche avec Marie qui m’attire de plus en plus. Je ne sais trop comme l’entreprendre. Je ne peux pas lui déclarer de but en blanc : « Est-ce que tu veux baiser avec moi ! » Je prends donc des chemins détournés :
– J’ai vu que Romain s’était rasé le sexe aussi.
– C’est mon œuvre. Lorsqu’il m’a proposé de faire sus à tous mes poils, je lui ai dit « D’accord, mais on fera la même chose pour toi. » Il a accepté, à condition que l’opération ne se fasse qu’au niveau du bas ventre. Je peux te dire que c’est super agréable pour les fellations. J’aimais le sucer, mais là c’est encore plus agréable. Tu trouves cela comment ?
– C’est beau, un peu étrange, imberbe comme le sexe d’un enfant… Sauf qu’il est bien pourvu par la nature.
– Tu as remarqué. De toute façon pour me satisfaire, il me faut du gros calibre, sinon j’ai beaucoup de mal à jouir. Tu voix, avec un mec comme Stéphane, je pense que j’aurai un peu de mal, par contre Eric, là cela m’irait… Mais c’est mon frère… Enfin, si un jour tu veux essayer, ne te gênes pas ma chérie, je suis prêteuse.
Mon mec me prête à son frère, à sa sœur si ça me chante, cette dernière me prête son mec. Je nage en plein délire. Cependant, il me semble que pour eux tout cela est parfaitement naturel.
– Pour ma part la queue de ton frère, enfin Stéphane, me va très bien. Peut-être pas très volumineuse, mais vaillante et agile. C’est ce que j’aime. Je me demande ce qu’il pense des sexes glabres ?
– Est-ce que tu voudrais que je te rase la chatte, pour l’avoir comme moi, sans un seul poil ?
Je suis heureuse qu’elle me propose ainsi de me raser elle-même. Elle prend une paire de ciseaux, de la crème à raser et un rasoir jetable et se met à l’œuvre. Nous entrons dans une cabine de douche. Je m’assois sur le petit banc les jambes largement ouvertes. Elle se place entre mes jambes, assis sur les sols et commence à débroussailler, tirant délicatement les poils avant de les couper. Puis lorsque l’ensemble a bien diminué, elle parcoure toute ma chatte avec la crème en massant du bas du ventre à mes lèvres vaginales et entreprend le rasage. Je sens le feu de la lame sur ma peau. Lorsque ma barbière arrive au niveau de ma vulve, elle se sert de ses doigts pour tendre la peau et ne pas me blesser. Puis, elle me demande de me retourner, de lui présenter mes fesses pour qu’elle puisse éradiquer jusqu’au dernier poil dans mon sillon. La sensation qu’elle me procure est absolument délicieuse. Une fois qu’elle a fini son ouvrage, elle me fait passer dans le compartiment douche, où, d’un coup de jet, elle fait disparaitre les poils restés collés et la crème. Je me regarde le sexe intégralement nu et cela me procure une sensation bizarre. Je suis troublée. D’ailleurs Marie s’en aperçoit et vient recueillir dans mon con largement ouvert un peu de mon jus en me disant :
– Le moins qu’on puisse dire, c’est que ça te fait de l’effet.
C’était le moment ou jamais pour l’entreprendre :
– Marie, j’ai envie de toi…
– Quoi, tu veux baiser avec moi ? Il n’y avait aucune colère dans sa voix, juste un grand étonnement.
– Mais je ne suis pas lesbienne.
– Il n’est pas question d’être lesbienne ou non. Simplement se donner du plaisir entre femme. Tu n’as jamais couché avec une fille ?
– Non.
– Et cela ne te tente pas ?
– Je ne sais pas. Peut être pour savoir… Pourquoi pas, histoire de ne pas mourir idiote. Viens, pas ici. Il y a une petite annexe au dortoir principal. Nous y serons tranquilles.
Pour rejoindre cette pièce dans laquelle il y a un lit, nous mettons une serviette au niveau de la taille, qui est à terre à peine la porte close derrière nous. Comme elle a un verrou, nous sommes certaines de ne pas être interrompue par un mec. Je prends alors possession du corps de la sœur de mon copain. Ce lien de parenté augmente encore mon plaisir. J’emploie les plus douces caresses que je connais pour faire fondre ma partenaire. Son souffle se fait plus court, alors je mets tout en œuvre pour que le plaisir dure plus longtemps. Mon élève, ne veut pas rester inactive et nous nous retrouvons en 69 nous broutant mutuellement la chatte… enfin, il n’y a plus grand-chose à brouter, le pré est devenu un désert. Mais nos sexes juteux sont mis à rude et fort plaisante épreuve. Marie imite mes attouchements les plus intimes sans gêne et prend beaucoup de plaisir à mes moindres caresses. Je doigte son anus. Vu le peu de résistance, je suis persuadée qu’elle est une adepte de la sodomie. Nous finissons par jouir dans la bouche l’une de l’autre, couvrant nos lèvres, nos joues et nos mentons de cyprine. Je me glisse le long du corps de Marie pour lui donner un long baiser dans lequel nous échangeons nos propres sécrétions. Nous nous trouvons bien là, l’une contre l’autre.
Mais voilà, nous sommes déjà en retard pour l’heure de repas. Juste le temps d’enfiler un vêtement et nous rejoignons nos trois hommes, ainsi que la vingtaine de randonneurs (pédestres, vététistes et équestres) présents.

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Quatrième jour : Pas beaucoup de kilomètres, mais beaucoup de dénivelés. Il faut remonter de gorges du Trévezel avant de replonger dans celles de la Jonte et enfin remonter plus au nord sur le plateau, le causse Méjean. Il y a malheureusement beaucoup trop de monde sur le parcours pour espérer pouvoir se mettre nu. Nous gardons donc chemisette et short toute la journée. Nous ne pouvons même pas faire une halte naturiste sur les bords de la Jonte, il y a vraiment beaucoup trop de monde.
Heureusement, le gîte qui nous accueille est absolument désert. Même le propriétaire semble habiter à des kilomètres de là. On se retrouve un peu au milieu de nulle part. Après le repas, nous décidons Marie et moi de faire un petit spectacle pour nos hommes. Ils sont assis sur les chaises près de la table, tendis que nous nous tenons sur le canapé. Langoureusement nous nous effeuillons tout en nous embrassant langoureusement. Nos corps se frôlent, s’électrisent et se chauffent comme si un feu énorme nous brûlait de l’intérieur et de l’extérieur. Nos hommes n’en reviennent pas de nous voir ainsi bientôt nues, offertes et nous donnant du plaisir. Je crois que ma chatte rasée plait beaucoup, aussi bien à mon homme (qui n’avait pas encore eu le plaisir ni de la sentir, ni de l’admirer) qu’aux autres présents.
A n’en pas douter, je me sens exhibitionniste et cela ne me déplait pas, bien au contraire. Quant à ma partenaire, elle en éprouve une réelle jouissance qu’elle n’essaie même pas de feindre. Alors que nous sommes tête bêche, je vois que les hommes ont baissé leurs futals et leurs slips et se masturbent sans vergogne. Ce spectacle de trois queues en érection accentue mon émoi. La situation a de quoi exciter.
Marie jouit. Ses cris, ses gémissements et les soubresauts de son corps sous le mien ne permettent aucune incertitude. Mon état de plaisir est proche du sien et c’est à peine si je sens qu’on m’arrache au corps de ma partenaire lesbienne.
Les hommes en veulent aussi. Je ne réalise par vraiment ce qui se passe, mais finalement je me retrouve au-dessus d’Eric dont le sexe dressé s’est enfourné en moi. Je sens une queue, celle de mon copain, se présenter devant mon anus. J’ai très peur n’ayant pas été préparée, mais dès l’entrée de l’engin, ce n’est que du plaisir que je ressens. En fait, ma belle maîtresse m’a doigté le cul dans nos transports saphiques et l’a lubrifié avec ma propre mouille. Romain veut s’occuper de sa copine, mais il s’aperçoit qu’elle n’est plus capable de rien ressentir. Il revient donc vers moi et me présente sa queue dressée devant les lèvres. Sans aucune hésitation, je la prends et je la suce. Je peux vérifier les dires de Marie : Le plaisir de sucer un sexe dépourvu de tout poil est vraiment très agréable. Je suis remplie par les trois trous par trois beaux mâles qui me procurent un plaisir immense. Ils vont en moi en rythme. C’est absolument divin. Je suis prise d’un plaisir qui me semble d’une fulgurance énorme, suivi presque immédiatement d’un second orgasme. Je sens mon copain éjaculer dans mon cul, mais il ne se retire pas tout de suite histoire de prolonger un peu le plaisir. Puis c’est au tour de Romain qui déverse son jus dans ma bouche. Je suis dans la situation d’une salope, ce qui n’est pas pour me déplaire, et en tant que telle, j’avale tout son jus. Eric me fait encore chevaucher sur sa queue. Je n’en peux plus, mais je suis à sa merci et mon corps ballotte au-dessus du sien, mes seins branlent en tout sens, je geins, je couine, je suffoque, de mes lèvres suinte le sperme de Romain qui vient s’écouler sur mes seins et sur le torse d’Eric. Je ne me croyais pas capable de jouir une nouvelle fois, pourtant, alors qu’il éjaculait en moi, je ressens à nouveau cette vague de plaisir m’envahir. Je me couche sur Eric, comme un poids mort, en une semi-conscience.
Je fais dans cette soirée deux découvertes fantastiques : J’ai pour la première fois éprouvé un réel plaisir à me faire baiser en commun avec d’autres. Jusqu’à présent je n’avais eu que des spectateurs passifs et voyeurs et non pas des personnes qui faisaient l’amour en même temps que moi, autour de moi. Mais également, j’ai pratiqué avec bonheurs, sans honte ni gêne, une double-pénétration, anale et vaginale et même triple si on prend en compte ma bouche occupée par un troisième sexe.
Inutile de vous dire que nous regagnons nos couches avec beaucoup de peine et nous nous écroulons sans autre forme de procès. Le lendemain, le réveil est un peu difficile, mais au départ nous sommes heureux et repus de sexe.

*

Cinquième jour : Sur le Cause Méjean, bien que nous suivions deux GR et un parcours équestre, il y a très peu de monde. Nous sommes donc dans notre tenue favorite : La nudité intégrale. La chaleur est toujours aussi pesante.
Une petite sieste après le repas pendant laquelle Marie préfère me parler que de dormir :
– J’ai beaucoup moins de chance que toi.
– Pourquoi dis-tu cela ?
Tout en parlant, je viens poser ma main sur l’un de ses seins que je caresse délicatement sans chercher à obtenir plus que ce doux attouchement. Elle se laisse faire tout en continuant :
– Bah toi tu as deux mecs à ton entière disposition, mes deux frères. Même Romain peut leur porter main forte… Je ne suis pas jalouse, je te le prête volontiers. D’ailleurs je te l’ai déjà dit. Mais moi, je n’ai que Romain pour me satisfaire et toi. Car je n’accepterais jamais me faire toucher par mes frères et eux n’essaieraient pas non plus je crois.
Elle est en manque d’homme. Elle qui aime faire l’amour avec plusieurs mâles se trouve bien seule, alors que moi-même j’ai le compte. Je me dis que peut-être, au gré de nos rencontres, on pourrait trouver des compagnons de jeux complaisants pour mon amie. Romain étant aussi libertin qu’elle, il ne verrait certainement pas d’un mauvais œil que sa copine s’éclate avec d’autres queues que la sienne.
Comme je la vois souvent enduire le corps d’Eric de crème solaire, sans omettre sa tige qu’elle malaxe complaisamment, je ne peux m’empêcher de lui demander :
– Tu n’as jamais baisé avec tes frères ?
– Si, mais je n’en suis pas particulièrement fière, me répond-elle après un petit silence. Pour te dire la vérité, c’est même Eric qui m’a mis le pied à l’étrier.
– C’est lui qui t’a déflorée ?
– C’était après une soirée particulièrement arrosée, je ne savais pas vraiment ce que je faisais, je crois même que je ne savais pas que le mec avec qui je suis entrée dans ma chambre était mon frère. J’ai fait l’amour avec ce mec. Je dois dire que pour une première fois c’était super. C’est déjà quelque chose. Je ne me rappelle pas de tout, mais quelques souvenirs surnages : Des caresses sur tout mon corps, donnant des frissons que je ne connaissais pas, des attouchements dans des parties de mon corps qu’aucune autre main que la mienne n’avait atteinte, et puis, l’impression d’être investie et tout de suite la jouissance : Un orgasme qui ajouté à l’alcool m’a assommée. Non, c’est le réveil qui a été douloureux lorsque je me suis vue dans le même lit que mon frangin, à poil tous les deux. Et puis, il y avait les draps tachés de sang qui ne pouvaient laisser aucun doute sur ce que nous avions faits.
– Qu’à dit Eric quant il s’en est aperçu.
– Que ce n’était pas si grave que ça, que ma fureur montrait mon trop grand conformisme. J’ai tout de même réussi à lui faire jurer que jamais plus nous n’aurions de rapports sexuels ensemble.
– Et quant tu lui touches la queue…
– Oh ! Ça c’est ma petite vengeance. Je le caresse, l’excite, je le branle, mais il ne doit pas me toucher.

Dans l’après-midi, nous descendons sur Sainte-Enimie. Revêtir nos habits est incontournable. Mais nous comptons bien, en longeant la rivière du Tarn, trouver quelques lieux propices à une baignade naturiste. Là aussi la chance nous sourit. Par un petit sentier nous atteignons une crique isolée. Il y a quelques personnes qui, comme nous, aiment être nues au soleil. Le temps de quitter nos habits et en un clin d’œil nous sommes dans l’eau. Au milieu de la rivière passent des canoë-kayac dont les occupants se rincent l’œil en admirant les filles sur la plage. Parmi eux, certainement aucun n’aurait osé nous rejoindre dans le plus simple appareil. Après quelques minutes de ce bain salvateur, nous sommes sortis de l’eau et nous nous séchons au soleil.
Marie tourne sans cesse la tête vers la gauche. Je regarde ce qui l’intéresse. Il s’agit de deux mecs vraiment très bien gâtés par la nature. Leurs membres sont de belles dimensions, pour ne pas dire de grosse dimension, même au repos, leurs corps bronzés étaient musclés et bien fait.
– Ça te fait envie ?
– Oh, oui, c’est vraiment ce qu’il me faudrait.
J’en touche deux mots à Romain qui donne son complet aval ; que sa copine aille trouver les deux mecs pour une partie de jambe en l’air ne le gêne pas, connaissant bien son appétit avide pour le sexe. Elle ne se fait pas prier. Il s’avère que les deux étalons sont italiens et qu’ils sont jumeaux. Ils comprennent très bien ce que veut notre copine et lorsqu’ils se mettent à l’écart derrières des buissons, leurs sexes prennent déjà du volume, ce qui laisse présager des queues de très grosse dimension. Je suis vraiment excitée par la tournure que prennent les choses et je demande aux deux frères de m’accompagner eux aussi pour quelques joutes sexuelles derrière les buissons. Le pauvre Romain doit rester seul à surveiller nos paquetages.
Je m’empale sur le sexe de Stéphane et commence à aller et venir sur sa tige bien raide. De savoir sa sœur se faire tringler par deux mecs bien monter à quelques mètres de nous a fait bander mon homme sans que j’ai besoin de le masturber. Eric, resté debout me présente son sexe, je l’embouche avec gourmandise. Sans vraiment nous en apercevoir, nous sommes tout proche de Marie et de ses deux compagnons. Elle est dans la même position que moi sur le sexe d’un des Italiens et prenant l’autre en bouche. Elle semble prendre un plaisir sans borne. Cela a tendance à rendre mon plaisir plus grand de la voir ainsi jouir avec ses deux sexes inconnus. Mes deux compagnons s’évertuent eux aussi à m’en donner beaucoup et à en prendre.
Puis, les compagnons de Marie, veulent changer de position. L’homme qu’elle avait pris en bouche, s’agenouille derrière elle et introduit sans ménagement un sexe avec une belle érection dans son orifice vaginale. Il s’agrippe avec les mains à ses hanches pour presser la croupe de mon amie contre son bassin et entame de vifs mouvements de va-et-vient. L’autre homme lui présente son sexe devant les lèvres. Elle le prend en bouche pour une fellation endiablée alors qu’il lui caresse par moment les seins. Mes deux partenaires voyant comment est prise leur sœur, veulent me faire « subir » le même sort. Leur instinct de mâle est comblé dans cette position dominatrice où ils croient être les plus forts. Mais la jouissance qu’ils prennent dépend de nous, de notre bon vouloir. Les deux Italiens de Marie ne modèrent en rien leur ardeur sans s’arrêter ; leur excitation est intense et la belle prend un pied énorme, son plaisir d’avoir deux hommes ou deux sexes pour elle la ravit. La brutalité qu’ils affichent avec elle ne semble pas la gêner, bien au contraire. Ils sentent tout deux qu’ils vont éjaculer et sortent, qui de sa bouche, qui de son sexe, retirent leurs préservatifs et se placent devant elle, au niveau de ses seins et après une petite branlette finale, ils déversent leur sperme sur sa poitrine.
Mes partenaires, peut-être plus attentif à moi ou à leur propre plaisir, ménagent quelques pauses, notamment pour observer tout à loisir les deux étalons éjaculant abondamment sur leur sœur. Ils sont vraiment très excités. Je sens qu’Eric, qui s’active dans mon con, en sort précipitamment. J’émets un grognement d’insatisfaction, j’ai bien joui, mais pas assez à mon goût. Mais je le sens entrer dans mon cul qui s’ouvre de lui même. C’est rapide, juste deux ou trois poussées et sans douleur, pourtant il a un sexe bien plus important que celui de Stéphane et jamais encore il ne m’a pénétrée par là. En fait, l’air de rien il a préparé mon trou alors qu’il allait et venait dans mon vagin au-dessus de moi. L’onde de plaisir arrive alors, terrible : Je ne peux réprimer un cri de jouissance, heureusement étouffé par le sperme dont mon copain vient de m’emplir la bouche. Eric n’est pas long à déverser sa semence en moi. C’est le troisième homme à me sodomiser, après Didier et Stéphane.
Je me traine jusqu’à ma copine qui est allongée, abandonnée par ses deux amants qui sont allés plonger dans la rivière. Je lui malaxe doucement les seins, étalant de sperme des deux Italiens avec la main. Puis je l’embrasse lui offrant une part du sperme de son frère. Je vois alors Romain survenir, la bite en porte drapeau. Il prend sa partenaire, la positionne sur moi, en tête bêche, ainsi, elle peut boire mon liquide vaginal et le sperme de son second frère coulant de mon cul. Je vois le sexe de Romain entrer dans le cul de ma compagne : J’ai son sexe en fusion et dégoulinant à porter de bouche : Je malaxe son clitoris. Elle est secouée d’un terrible orgasme et Romain éjacule directement dans son cul : Il n’en pouvait plus d’attendre.
Avant d’arriver au gîte, il faut remonter par un chemin escarpé sur les hauteurs du causse de Sauveterre. Ce fut difficile après ces tumultueux ébats.

Dans la soirée, Marie me dit que les deux Italiens sont au gîte et qu’elle leur a donné rendez-vous à 23 heures dans les écuries. Elle compte sur moi pour l’accompagner. Je m’interroge : J’ai tout ce qu’il me faut avec deux frères en pleine forme et éventuellement un troisième avec le copain de ma copine, puisqu’elle me le prête fort volontiers. Et puis emportée par cette randonnée très sexuelle, je lui dis « oui ».
Nous nous retrouvons donc dans la pénombre des écuries vides de chevaux, à cette époque de l’année, avec les deux beaux étalons qui nous attendent. Nos hommes nous ont certainement vues nous relever, mais ils nous laissent une totale liberté. Les deux Italiens retirent nos T-shirts sous lesquels nous ne portons rien et commencent à nous caresser tout le corps. Je baisse le pantalon de celui qui s’est quasiment jeté sur moi et prends en main une queue déjà bien dressée.
Nous nous couchons sur le sol paillé et j’embouche le gros sucre d’orge qui s’offre à moi, tandis qu’il me malaxe la vulve. Il sait bien s’y prendre ce mec. Son jumeau est tout aussi entreprenant avec Marie, puisqu’ils sont tous les deux en soixante-neuf. La queue que je cajole est tellement tendue que j’ai du mal à la faire passer entre mes lèvres : Je ne voudrais pas mordre dedans. Je la revêts d’un préservatif avant d’autoriser mon partenaire à me prendre. Il m’adosse contre un mur et me soulève en me prenant sous les cuisses. Je ne touche plus le sol, pour maintenir l’étreinte, j’enroule mes bras autour de son cou et mes cuisses viennent enserrer son bassin. Ma vulve rencontre tout de suite son sexe parfaitement dressé qui entre en moi. Je prends appui contre le mur et commence à exercer des mouvements de va-et-vient. Mon partenaire m’embrasse fougueusement les lèvres, le cou et il mordille même mes seins. Je sens son sexe profondément en moi. Ce mâle est d’une vigueur et d’une virilité peu commune. Et comme il trouve tout de suite le bon rythme pour que les sensations soient encore meilleures, le coït est explosif et extrêmement rapide… pour moi. Car il bande toujours autant, après qu’un premier orgasme m’ait parcouru. Marie a été prise d’une autre manière, mais elle aussi a joui. Les deux hommes échangent quelques mots, mirent de nouveaux préservatifs (des hommes aussi prévenant dans le feu de l’action sont malheureusement trop rares) et changent de partenaire. La nouveauté est pour eux, très peu pour nous, car étant jumeaux, nous aurions été incapable de dire qui était l’un, qui était l’autre.
Mon nouveau partenaire me dirige vers des ballots de paille sur lesquels il m’appuie. Je lui tourne le dos. Il se glissa entre mes jambes, soulève mes cuisses pour les amener à hauteur de son bassin, les maintient fermement avec ses mains décollant mes pieds de la terre et entre avec son sexe dans mon con totalement lubrifiée par ma seule mouille. Je prends appui avec mes coudes sur les ballots de pailles. Il exerce des mouvements de va-et-vient en faisant aller et venir son bassin. La pénétration est très agréable et profonde, plus douce et sensuelle que la première, permettant une montée du plaisir plus longue et plus intense. Ses bourses viennent agréablement caresser mon clitoris. C’est divin, jusqu’à un deuxième orgasme. Je jette un coup d’œil à Marie qui prise dans la position classique du missionnaire ne retient plus sa jouissance.
Mon amant n’en peut plus, il se retire, ôte son préservatif et vient me caresser le bout de mes seins avec son gland. Mes nichons à force d’être stimulés, ballottés au rythme des vas et viens, en sont presque douloureux. Il éjacule enfin sur ma poitrine et mon ventre. Je reste pantelante. C’est alors que des applaudissements fusent. Je sursaute, reprends mes esprits rapidement, alertée comme une bête traquée. Dans le box voisin, il y a nos trois hommes et dans le couloir des écuries, deux filles (les compagnes de nos deux beaux étalons ?).
À cet instant je ressens une rage folle d’avoir été le jouet d’un spectacle que je ne désirais pas donner. Je suis peut-être exhibitionniste et voyeuse à mes heures, mais de là à m’offrir ainsi alors que je me fais baiser par un homme, il y avait des limites que je ne suis pas prête à franchir. Lorsque je décide de me montrer, je veux être en mesure de gérer les choses, de contrôler la situation. Je récupère mon T-shirt et coure vers les sanitaires pour prendre une douche salutaire. Marie, sans prendre le temps de se rhabiller, me rattrape et c’est elle qui referma la porte de la cabine sur nous deux.
– Ca t’a plu ?
– Non, je n’aime pas avoir été ainsi surprise.
– Mais tu as quand même pris ton pied. Ils sont vraiment super ces deux Italiens avec leurs grosses queues et en plus ils savent bien s’en servir.
– Oui, mais après, de voir qu’on nous regardait. Nos mecs, ils nous ont tous vu faire l’amour les uns avec les autres, ça ne me gêne pas trop. Mais ses filles à moitié à poil qui se masturbaient devant nous… Non j’ai du mal à encaisser.
– Moi j’ai trouvé ça plutôt agréable, jouissif surtout. C’est justement ce que je n’avais pas osé faire sur les plages avec Romain et Mathieu.
– Toi tu étais prête, pas moi.
– Écoute Elodie, au début de la semaine, tu te sentais prête à baiser avec Eric ? Non ! Pourtant, tu l’as fait. Tu te sentais prête à avoir la chatte rasée ? Non ! Tu n’as plus aucun poil. Tu pensais baiser avec la sœur de ton copain ? Non ! Tu as été mon initiatrice. Tu n’imaginais pas être prise en sandwich entre les deux frères ? Non ! Et bien ça été le cas plus d’une fois. Tu ne pensais pas faire l’amour devant d’autres ? Non ! Eh bien tu as fait l’amour devant moi, devant Romain et même cet après-midi, devant les deux Italiens qui me baisaient. Alors cette nuit, cette super séance de cul, tu ne vas pas la gâcher pour quelques yeux en plus sur nous. En plus, ces filles, nous ne les connaissons pas et nous ne les révérons jamais de notre vie.
Marie réussit à me convaincre qu’il ne fallait voir que le bon côté de la chose. C’est donc rassérénée que je regagne mon lit. Stéphane m’enlace amoureusement en me donnant un doux baiser et me disant dans un souffle :
– Tu as été magnifique ma chérie.

*

Le sixième et dernier jour. Nous longeons le bord des gorges du Tarn par un petit sentier non balisé. Personne en vue : Tous à poil. Ce n’est qu’en redescendant sur Ispagnac par la petite route touristique, que nous devons, à regret, nous rhabiller.

Cette nuit là nous faisons l’amour Marie avec Romain, moi avec Stéphane et Eric… Tout seul, un peu aidé de ma main, mais rien de plus. Il a seulement le plaisir des yeux de voir sa sœur faire l’amour avec son copain et son frère faire l’amour avec sa copine. Car là il s’agit vraiment d’amour, rien à voir avec les plans culs qui se sont succédé durant la randonnée.

A suivre

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caval77 @ sfr.fr

Proposée par CAVAL

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