Résumé : Élodie (18 ans) en terminale d’un bac informatique loge chez une amie, Mélanie. Elle fait connaître à sa logeuses les joies du naturisme. Elles deviennent rapidement amantes.
Didier (le frère jumeau d’Élodie) est lui aussi fervent naturiste. Elle s’est confiée à lui sur les rapports saphiques qu’elle entretient alors qu’elle ne se sent absolument pas homosexuelle. Il se trouve que lui-même baise avec son copain de chambrée en fac tout en restant profondément hétéro. La première expérience lesbienne de l’amie d’Elodie. Avec une copine…
La première fois
C’est donc avec beaucoup de plaisir que je retrouvais Mélanie. La fougue qui nous animait ne nous laissa pas le temps de nous dévêtir. À peine la porte de l’appartement refermée, nous nous sommes jetés dans les bras l’une de l’autre, en échangeant un baiser sensuel des plus savoureux, mêlant nos langues et échangeant nos salives. Nous nous caressions à travers nos vêtements. La main de ma maîtresse, s’insinua à travers les boutons de ma chemise, vers ma poitrine. Je l’ouvris pour lui donner accès à ma peau. Elle tira sur les bretelles de mon soutien-gorge pour dénuder mes seins qu’elle prit en bouche. Que ses attouchements étaient agréables ! Mais je ne la laissais pas finir, je voulais moi aussi profiter de son corps. Je me coulai à ses pieds, remontai sa robe jusqu’à la taille et baissai prestement son string de dentelle pour m’occuper du son sexe déjà humide. Pour m’offrir un meilleur accès, elle posa une de ses jambes sur mon épaule : Elle était largement ouverte, permettant à ma langue de s’immiscer dans les moindres recoins de ses muqueuses.
Après la langue, j’y mis un, puis deux doigts. Je fouraillais en elle jusqu’à ce qu’elle jouit : j’avais atteint pour la première fois son point G. Elle ne jutait pas comme moi, mais je dus tout de même la retenir pour qu’elle ne tombe pas sur le sol. À ma totale merci, je lui enlevais ses vêtements tout en pelotant ses seins, son beau cul rebondi et toutes les autres parties de son corps. Elle ne fut pas longue à reprendre son souffle. Alors j’ôtai moi aussi mes vêtements et me mis à califourchon au-dessus de la tête, lui offrant mon sexe à sa vue et à sa langue, qu’elle agita tout de suite. Moi, dans cette position, je pus m’occuper de ses seins, que je caressais, que j’agaçais, que je pétrissais telle de la pâte à tarte. Je joue au petit mitron avec ses belles miches, alors que je sens une onde brulante envahir mon ventre.
Ses mouvements autour de mon sexe et de mon cul étaient absolument divins. Elle y mettait la langue, les doigts sans retenue. Pourtant je résistais pour ne pas jouir immédiatement. Mélanie avait commencé à m’initier pour retenir mon plaisir afin qu’il soit plus intense. Ainsi lorsque j’explosais, la jouissance était beaucoup plus violente, plus agréable ; c’était comme un rayon qui me traversait de part en part me vrillant le corps ; je vibrais alors de tout mon être obtenant une osmose à la fois douloureuse et douce comme de la ouate. Le plaisir irradiait ma tête, mon ventre, mes seins, mon sexe et même mes jambes qui devenaient incontrôlables.
Avant de jouir, nous nous élançâmes vers la chambre et c’est sur le grand lit que nous avons continué nos ébats. Nous collions nos chattes l’une à l’autre, sexe contre sexe ; par un doux mouvement, nous nous branlons ainsi mutuellement. Il ne fallut plus attendre très longtemps dans cette position pour atteindre le firmament. Nous avons explosé conjointement, une déflagration de nos entrailles. Après cette irradiation, nous nous sommes enlacées tendrement.
Nous nous sommes endormies ainsi, dans les bras l’une de l’autre. Lorsque je me réveillai, il faisait nuit noire, pourtant la lampe du couloir était restée allumée et éclairait la chambre. J’eus l’idée de recueillir dans mon sexe un peu de mes sécrétions. Je passais ce doigt humide sous le nez de ma maîtresse alanguie. Ses narines palpitèrent et elle soupira. Alors je portai ma bouche à ses seins : Si je pouvais ainsi exciter ses beaux mamelons sans la réveiller. J’y allais tout en douceur, avec le bout de la langue, par petites touches. Les pointes s’érigeaient, la poitrine durcissait et ma compagne gémissait doucement. Je me dis que son sexe pourrait lui aussi subir le même traitement durant son sommeil. Ayant les jambes ouvertes, je ne trouvai aucune barrière pour accéder à sa douce toison. Enfin j’allais à la découverte de ses lèvres intimes qui se couvrirent rapidement de cyprine.
Mélanie m’avoua s’être réveillée alors que je m’occupais de son sexe, mais avait choisi de me faire croire qu’elle dormait encore, tant mes léchouilles étaient délicates et agréables. Elle ne voulait pas briser cette douce sensation.
*
Les confessions de mon frère m’avaient, je l’avoue, quelque peu excitée, et je me disais que Mélanie avait, elle aussi, peut-être quelques histoires avec des filles. Elle m’avait dit qu’elle avait connu une femme fontaine, un peu comme moi, alors je n’étais pas la première, combien y en avait-il eu ?
– Comment as-tu été initiée aux amours lesbiennes ? Lui demandai-je un jour après un de nos tumultueux rapports.
– La première fois ? C’est une drôle d’histoire. J’étais en internat où je m’étais fait une copine, Anne-Lise. Pour un grand week-end, à la belle saison, elle me proposa de venir chez elle : « Il y a une petite maison avec une piscine et mes parents ne seront pas là, nous serons vraiment tranquilles ». On ne la voyait jamais avec des garçons, mais rien ne laissait supposer qu’elle aimait les filles. Pour moi c’était juste une copine, rien de plus. J’acceptais donc son invitation histoire de faire une petite coupure dans l’année scolaire avant le dernier rush de l’examen.
Mélanie entreprit de me faire le récit de ce week-end en ces termes :
« Nous arrivons dans sa propriété tard en soirée le mercredi. Il n’y a personne et après un petit repas improvisé nous allons nous coucher pour récupérer de la route. La maison comporte trois chambres : Celle de ses parents, celle de son frère et la sienne avec deux lits. Nous allions donc dormir dans la même pièce. Le lendemain, je me lève la première, prépare le petit déjeuner. Elle vient me rejoindre dans la cuisine avec son pyjama en fine toile, les pans de la chemise tenus par deux boutons, laissant deviner les rondeurs de sa poitrine et le pantalon retenu à la taille par un élastique. Le tissu n’est pas transparent, mais si fin qu’apparaissent nettement les pointes de ses seins. Je vais prendre une douche et je suis très surprise lorsqu’elle entre dans la salle d’eau alors qu’elle sait bien que j’y suis. Mais elle fait comme si rien n’était.
La journée est splendide, nous allons pouvoir profiter pleinement de la piscine. Je mets mon maillot, prends une serviette de bain et je sors de la maison. Anne-Lise est déjà étendue sur un transat avec son maillot deux pièces. À cette époque-là, je ne savais rien du naturisme et surtout je ne pratiquais pas, mais j’avais pris l’habitude pour les bains de soleil de retirer le haut pour éviter les marques disgracieuses. Je lui demande donc :
– Ça ne te gêne pas si j’enlève le haut.
Elle me lance un grand sourire, comme si elle espérait que je propose ainsi de me mettre topless.
– Non, pas du tout. D’ailleurs je vais faire la même chose. Nous sommes entre filles.
Nous ôtons toutes les deux notre haut. Je vois son regard se poser sur ma poitrine nue de façon soutenue. Elle a le regard d’un mec lorsqu’il regarde les nichons d’une fille pour en apprécier leur rondeur, leurs formes, leur grosseur.
– Tu as de très beaux seins, tu sais, ne peut-elle s’empêcher de dire. Ils sont magnifiques.
– Les tiens sont bien aussi, lui lançais-je, un peu plus petits, mais bien droits.
– Tu trouves. Regarde, j’ai de tous petits nichons et en plus la pointe a déjà tendance à virer de l’œil, à mon âge. Qu’est-ce que sera dans quelques années !
– Attends, ils ne sont pas très gros, c’est vrai, mais tu n’es tout de même pas Jane Birkin.
Elle rapproche son visage de plus en plus de ma poitrine. J’en suis presque troublée. Jamais un mec, dans une séance de bronzette, ne m’a scrutée de cette façon. D’ailleurs, je l’aurais sans doute rembarré en beauté. Je n’aime pas beaucoup qu’on me mate ainsi. J’aime lorsqu’un garçon me regarde nue, mais lorsque je suis avec lui pour faire l’amour, pas autrement, comme ça en public.
C’est d’ailleurs pour cela que j’ai beaucoup aimé la plage naturiste, car personne ne te regarde vraiment. Je ne sais comment réagir avec une fille au regard si inquisiteur, qui semble si attentive à la texture de mes seins. Je m’attends presque à ce qu’elle me demande si elle peut les toucher, mais elle ne le fait pas et se rallonge sur son transat. Je suis incapable de dire ce que j’aurais répondu si elle me l’avait demandé.
Le midi nous prenons une collation en restant les seins nus, puis revenons auprès de la piscine. Le jardin de la maison et la piscine n’ayant aucun vis-à-vis, il n’y a aucune crainte qu’on nous voie. C’est peut-être ce qui poussa Anne-Lise à me dire :
– Comme on est entre filles, on pourrait peut-être enlever le bas aussi.
D’abord, je ne suis pas très partante, la nudité comme ça, au soleil n’étant pas dans ma culture ni dans mes habitudes. En fait, c’est toi qui as réussi à me convertir.
– Tu sais, personne ne peut te voir, il n’y a que moi, détends-toi donc.
Elle est déjà en train de baisser sa culotte. Comme je ne veux pas jouer les chochottes, j’ôte moi aussi mon slip de bain en lui tournant le dos : un reste de pudeur sans doute. Quand je me tourne, elle est face à moi totalement nue à quelques pas. Je peux l’envisager ainsi intégralement, tandis qu’elle ne se prive pas d’en faire de même en regardant mon corps.
– Si j’étais un mec, je dirais que t’es vachement bandante, me dit-elle, avant de poursuivre, sauf peut-être que tu ne te rases pas le sexe.
Je constate alors qu’elle n’a plus aucun poil au niveau du pubis alors que ma chatte n’a subi qu’une « épilation maillot ». Elle retourne se coucher sur le transat en s’arrangeant pour ouvrir largement ses jambes, exhibant ainsi son intimité à mon regard. Je suis troublée d’être nue là, près de cette piscine, avec cette fille tout aussi nue que moi qui me fait des avances en me félicitant pour ma beauté. Et ce sexe glabre n’est pas fait pour me rasséréner. Au contraire, il m’intrigue, je la trouve ainsi plus nue que nue et j’ai du mal à la quitter des yeux.
– Tu regardes ma chatte sans poil, me dit-elle sans aucune gêne. Tu sais, c’est extrêmement agréable et c’est très doux pour les caresses… Tu veux toucher… Allez, viens toucher, tu pourras constater par toi-même.
Presque malgré moi, je m’approche de son transat et appose le bout de mes doigts sur son bas-ventre. Elle me prend le poignet pour que je la caresse doucement, juste au-dessus de son sexe légèrement entrouvert. Le trouble qui m’envahit est décuplé lorsque avec son autre main, elle prend un de mes seins et commence à le malaxer. Je mets quelques instants à reprendre mes esprits et m’extraire de ce piège qu’elle m’a tendu. Pour toute excuse, elle dit :
– Ton sein était si près, et il paraissait si doux que ne n’ai pas pu résister. Non seulement ils sont beaux, mais en plus ils sont doux au toucher.
– Anne-Lise, je préfère que nous remettions nos culottes, je ne me sens pas à mon aise.
– Ok, comme tu voudras.
Le reste de l’après-midi se passe ainsi sur la terrasse avec quelques plongeons dans la piscine. Mon amie reste beaucoup plus sage et ne m’assaille plus de ses flatteries sur mon physique. Elle a sans doute senti qu’elle me mettait mal à l’aise.
Le soir venu, je passe dans la salle de bains, histoire de me faire une petite toilette. J’enlève mes vêtements et m’enroule dans une serviette pour regagner notre chambre commune. Arrivée devant le lit, je défais la serviette et prends ma chemise de nuit. Je tourne le dos à Anne-lise, mais je suis persuadée qu’elle me regarde, tant et si bien que je m’y prends mal, n’arrivant pas à enfiler correctement et naturellement ma chemise. Sans que je m’en aperçoive, elle s’est levée et se serre contre mon dos :
– Pourquoi mettre une chemise, nous serons bien mieux nues, ma chérie, il fait si chaud.
Sans que je réagisse, elle a un de mes seins dans la main et me plaque contre elle par une pression sur mon ventre. D’ailleurs je reste tétanisée, ne sachant quoi faire. Je n’arrive pas à savoir ce qui m’empêche d’échapper à l’étreinte de mon amie. Ce n’est pas sa force, qui n’a rien d’herculéenne, ce n’est pas la peur car je n’en ressens aucune, seulement peut-être une appréhension pour ce qui va se passer. Je pense qu’il y a en moi une part de désir, même si à ce moment, je ne veux me l’avouer. Lorsque sa main m’a touchée, j’ai senti comme une décharge électrique et une seconde quand j’ai senti son corps dans mon dos, car elle était nue, tout comme moi, qui n’avais pas réussi à mettre mon vêtement de nuit.
Voyant mon peu de résistance, elle me retourne, plaquant cette fois-ci ses seins contre les miens et m’embrasse fougueusement. Je ne réponds pas à son baiser, mais je demeure les lèvres légèrement entrouvertes et sa langue a tôt fait de s’insinuer dans ma bouche. Je suis totalement passive, comme pétrifiée et à la merci totale de mon amie. Je sais que je ne pourrai rien faire, que je serai son objet, sa chose. Habituellement mon caractère ne pourrait supporter une telle situation, je n’aime pas être menée, être dominée ainsi. Cependant, perdant toute volonté, je me livre à cette femme. Oui, je vais devenir l’esclave sexuelle d’une femme, moi qui pensais que les lesbiennes étaient des filles paumées qui n’arrivent pas à lever de mecs ou qui étaient frigides.
Voilà, elle me fit l’amour. »
Ainsi s’achevait le récit d’Anne-Lise. Je ne pouvais m’en satisfaire, aussi je lui dis :
– Ah non, c’est un peu court là !
– Tu veux des détails, des révélations croustillantes sur ce qu’elle m’a fait ?
– Bah oui !
– Qu’en dirais-tu si je recréais avec toi cette première nuit d’amour qu’elle m’a fait passer. Tu joues mon rôle, la passive, et moi celui d’Anne-Lise, l’initiatrice. Il suffit simplement que tu restes soumise, que tu te laisses faire, que tu obéisses à chacun de mes ordres sans protester, sans te rebeller.
J’acceptais tout de suite cette proposition : Devenir la chose sexuelle de Mélanie, un doux supplice. Elle commença d’une voix autoritaire et sans appel :
– Lève-toi !
Mélanie se place devant moi, exactement comme Anne-Lise devait l’être au moment où elle avait interrompu son récit. Elle me caresse les seins, puis une de ses mains vient se placer entre mes cuisses. Elle me renverse sur le lit et me couvre le corps de baisers, commençant pas les pieds, les mollets, les cuisses, elle oublie intentionnellement mon bas-ventre tandis que ses lèvres et sa langue remontent vers mes seins qui sont durs et dont les pointes sont érigées. Elle les malaxe, les triture, les baise à m’en faire mal, mais c’est une vague de plaisir qui monte en moi. Elle s’en aperçoit et calme le jeu pour que je ne parte pas trop vite. Elle redescend le long de mon ventre, mais attend que je reprenne mon souffle pour s’attaquer à mon sexe.
Elle appuie sur les lèvres vaginales pour qu’elles s’ouvrent naturellement. Je sens sa langue s’agiter, sur les grandes lèvres, les petites lèvres, s’insinuer en moi. Voyant sans doute que mon clitoris est bien sorti de son petit capuchon, elle l’embouche, le tète, le lèche, le prend entre ses doigts pour le triturer. Je crois que la vague de jouissance va m’engloutir une nouvelle fois. Mais là encore, elle arrête, vient coller son corps contre mien et m’embrasse.
Elle ne revient à ses caresses intimes que lorsque j’ai repris mon calme. Elle me met sur le dos et s’installe confortablement entre mes jambes légèrement relevées. Elle caresse mon corps, je garde les yeux fermés tant la sensation est délicieuse. Elle enfonce délicatement un doigt dans mon vagin largement ouvert, puis deux. Elle explore mes entrailles, je ne peux me retenir plus longtemps et j’éjacule mon jus. Je pousse un cri déchirant en enserrant la tête de ma compagne entre mes jambes, comme dans un étau. La jouissance, plusieurs fois retenue, n’en a été que plus intense, plus dévastatrice.
Une fois remise de mes émotions, étant consciente que mon initiatrice, ma maîtresse n’a pas joui, je tente de lui donner les mêmes caresses qui m’ont amenée à la jouissance. Mélanie sait bien mieux que moi contrôler son plaisir, aussi n’ai-je pas à vérifier l’instant où elle va jouir. Après avoir caressé ses seins de toutes les manières qu’il est possible de le faire, durant de longues minutes, agaçant leurs pointes déjà érigées sous l’effet de l’excitation, je me dirige sans attendre vers son ventre. J’écarte ses poils doux et soyeux pour découvrir totalement son sexe. Ses lèvres charnues sont déjà gorgées de sang et d’un seul coup de langue, elles s’ouvrent délicatement, tirant de ma chérie un gémissement. Son clitoris s’offre à moi, sorti de son capuchon, je ne peux pas le laisser sans caresse : J’humecte mes doigts avec le jus qui suinte de ses muqueuses et prends le bouton que je branle comme je l’aurais fait avec un minuscule sexe d’homme.
Le souffle de Mélanie se fait de plus en plus court. Elle me prend par les cheveux et m’écarte de son bouton pour lui épargner un orgasme trop rapide. Je m’exécute donc et m’applique sur ses lèvres, puis humectant encore une fois ma main, là je me dirige vers son anus. L’anneau est tendu, mais pas inviolable. Une langue de rose a tôt fait de détendre les chairs. Je lance un majeur inquisiteur dans son puits, ce qui fait sursauter ma compagne, mais elle ne proteste pas. Je vais et viens dans la gaine étroite avant de rajouter un second doigt. Avec l’autre main, c’est son vagin que j’investis. Trois doigts rentrent facilement tant elle est ouverte, accueillante et humide. Après quelques minutes de cette double pénétration, Mélanie se cabre, ressert ses muscles sur mes mains. Elle jouit intensément. Le spectacle est magnifique. Elle gueule littéralement son plaisir avant de s’écrouler sur le lit. J’attends qu’elle se soit détendue totalement, pour retirer mes deux mains. Je lèche les doigts qui étaient dans le vagin pour y goûter avec délectation la cyprine.
Elle m’avoua que ce que je venais de faire, ressemblait beaucoup à ce qu’elle avait prodigué à son initiatrice lors de leur première nuit d’amour. Et elle continue son récit :
– Mais le week-end n’est pas fini, loin de là. Nos corps n’ont plus de secret l’une pour l’autre. Et pourtant, comme je te l’ai déjà dit, à l’époque je ne suis pas naturiste et pour moi me mettre nue en plein air, même s’il n’y a personne d’autre que mon amie pour me voir, n’est pas dans ma culture. Donc pour le petit déjeuner, je mets un paréo pour dissimuler ma nudité, seule ma poitrine n’est pas voilée. Anne-Lise, elle, reste dans le plus simple appareil. Sa chatte rasée n’a plus rien de gênant ou de choquant pour moi.
Donc nous sommes le vendredi. Durant la matinée nous nous reposons de la nuit torride que nous venons de passer. Un déjeuner accompagné d’un petit rosé bien frais nous remet en forme. Pour échapper à la chaleur du début d’après-midi, nous regagnons notre chambre au rez-de-chaussée, nous rabattons partiellement les volets et nous sommes repartis sur les terres de Lesbos. Là nous nous donnons mutuellement des caresses, je ne suis plus seulement passive, je reçois autant que je donne. L’une des nouvelles découvertes, c’est lorsque mon amie place son sexe tout contre le mien, nos lèvres vaginales sont en contact les unes avec les autres et nos clitoris se branlent mutuellement. L’excitation monte en nous et nous bougeons l’une contre l’autre de plus en plus rapidement. Une première jouissance nous emporte sans retenue. Abattues, nous nous endormons dans les bras l’une de l’autre. Mais bien vite nos doigts inquisiteurs repartent à la découverte de l’autre, nos bouches collées, comme nos sexes un instant plus tôt, nous partageons des baisers à la fois sucrés et brûlants.
C’est alors que je vois ce visage d’homme qui nous regardait derrières les volets. Je pousse un cri en me détachant d’Anne-Lise tout en essayant de cacher ma nudité. Je me sens honteuse, prise en faute, découverte. Mon amante tourne la tête en direction du voyeur et lâche :
– Ah non, merde, qu’est-ce que tu fais là, toi ? Et à mon attention elle dit : C’est mon frère ! Daniel. Il n’était pas prévu au programme lui.
– Continuez, continuez, nous lance le mec sans se démonter, c’était divin de vous voir nous brouter ainsi…
Anne-Lise sort pour parler à son frère. Il est arrivé à l’improviste et dans nos ébats nous n’avons pas entendu sa voiture se garer près de la maison. Il a vu une partie de nos jeux, mais ce qui dérange le plus Anne-Lise, c’est que son frère ne sait pas qu’elle est lesbienne. Elle réalise tout de suite qu’il va la faire chanter pour qu’il ne révèle pas à leurs parents ses penchants sexuels.
Deux solutions s’offrent à nous lorsqu’elle revient :
– Soit il joue les voyeurs discrets, soit il déballe tout à mes parents, et là je te dis pas la catastrophe. Catho-psychorigides comme ils sont, ils sont capables de me répudier, au minimum, je me retrouve à l’école chez les sœurs. J’ai échappé déjà de justesse à cet enfermement, je ne pourrais le supporter. Je t’en supplie, accepte de te donner un peu en spectacle.
Je refuse un tel marché. Je suis déjà assez traumatisée par le seul fait de savoir qu’un homme m’a vue entièrement nue faisant l’amour à une autre femme.
– J’ai déjà réussi à le dissuader de participer, de simplement nous voir ne coûte pas grand-chose…
Elle présente de tels arguments, que je baisse la garde et accepte de reprendre nos caresses. D’ailleurs j’en ai tellement envie, que je ne conçois pas de mettre fin ainsi à mes orgasmes lesbiens en compagnie de mon amie. Cependant, j’ai beaucoup de mal à ne pas penser à ce mec que je ne connais pas et qui derrière les volets nous observe. Je suis persuadée qu’il se masturbe en nous regardant.
Cette séance passée avec Anne-Lise ne dure pas très longtemps et ne nous apporte, ni à l’une, ni à l’autre, le degré de jouissance escompté. Juste une sensation agréable. Le voyeur s’est éclipsé. Il a sans doute trouvé la jouissance plus rapidement que nous avec sa main.
Avec ma maîtresse, nous sortons de la maison après une rapide douche pour venir nous allonger près de la piscine. Je n’ai pas remis mon haut de maillot. Mes seins sont à l’air comme à chaque fois que je vais sur une plage. Je ne me vois pas changer d’attitude parce qu’un voyeur est dans les murs. Anne-Lise a revêtu une culotte, mais laisse également ses seins libres. Son frère est déjà dans la piscine, comme si de rien n’était. D’ailleurs il ne fait aucune allusion sur ce qu’il a vu. Il s’est bien rincé l’œil et semble s’en contenter.
Mais lorsqu’il sort de l’eau, je m’aperçois qu’il est totalement nu. Sans aucune pudeur il se balade ainsi à poil devant nous. Je dois dire qu’il était beau, ce mec : Le ventre plat, les membres musclés, un peu de poils sur le torse et une très belle queue à la fois longue et volumineuse… Et encore là elle est au repos.
– Vous devriez vous mette à l’aise, les filles. On est beaucoup mieux à poil.
Lorsque je vais me baigner, il me rejoint dans l’eau, et lorsqu’il s’approche de moi, je ne cherche même pas à m’esquiver. Prestement il détache la seule ficelle qui sur le côté attache mon maillot. Je suis nue et à sa merci, mais je ne proteste pas, bien au contraire, je réponds à son baiser et je laisse ses mains se poser sur mes seins et descendre entre mes jambes. Anne-Lise ne doit rien perdre du spectacle : je me donne au frère de mon amante. Je prends le beau sexe qui commence à gonfler en main. Maintenant qu’il est en érection, il est vraiment volumineux. Je le branle vigoureusement sous l’eau, tandis que Daniel explore avec des doigts experts mes muqueuses. Soudain il introduit deux doigts dans mon antre. Cet attouchement m’électrise et je ne peux retenir un petit cri. Je me détache de lui et rejoins le bord de la piscine.
Nous n’allons pas plus loin. Mais le soir même, Daniel nous dit :
– Les filles, vous vous amusez bien ensemble. Je ne dirai rien à personne. Mais il faut que vous me rendiez un service. Ma copine, Martine, vient me rejoindre demain. Je vais la chercher à la gare dans la matinée. Elle a un fantasme : Qu’on fasse un trio avec une autre nana. Moi je suis partant… Mais je ne savais pas où trouver des meufs pour un plan à trois…
– Jusqu’au moment où tu nous as vues, lance Anne-Lise furieuse. Il n’en est pas question, je te rappelle que tu es mon frère, si je couchais avec ta nana, ça serait aussi avec toi, et sous mes airs délurés, j’ai quand même des principes parmi lesquels l’inceste.
– Mais qui parle de toi ma belle, tu n’es pas la seule dans cette pièce, je pensais à Mélanie.
J’ouvre des yeux énormes. À aucun moment je ne pense que c’est à moi qu’il propose cette partie à trois. Je reste tellement interloquée que je ne trouve pas les mots pour m’exprimer.
– Qui ne dit mot, consent, lance-t-il.
– Non, non, il n’en est pas question ! Je ne suis pas lesbienne !
Tout de suite je pense, quelle courge, mais lui attrape la balle au bond :
– Ah bon, tout à l’heure il m’a bien semblé le contraire. Si tu baises Anne-Lise, qu’est-ce qui t’empêchera de baiser Martine. Tu verras, elle est canon, tu ne seras pas déçue.
– Mais je ne veux pas faire l’amour avec toi, lui rétorquais-je.
– Tu vas me dire que tu n’es pas hétéro. Il faudrait savoir ma petite. Dans la piscine tout à l’heure tu avais l’air de bien apprécier ma grosse queue. Enfin je fais confiance à ma sœur pour te persuader. Elle sait très bien les conséquences d’un refus. Allez, bonsoir, je vous laisse… A contrecœur, j’aurais bien aimé participer un peu, mais devant si peu de sollicitude, je vais devoir me satisfaire moi-même avec ces revues qu’on ne lit que d’une main… Elle les aime beaucoup, Martine, c’est une petite cochonne.
Une fois dans notre chambre, Anne-Lise ne sait pas quoi dire. Elle sait qu’elle ne peut pas me demander plus que la séance d’exhibition de l’après-midi. Me livrer aux regards libidineux de son frère, c’était une chose, mais me faire baiser par lui avec sa copine, en est une autre. J’avais beaucoup de peine pour elle et réfléchis rapidement, trop rapidement peut être. Qui m’a permis de découvrir l’amour entre femmes ? Anne-Lise. Qui m’a procuré ses si doux orgasmes ? Anne-Lise à nouveau. Je devais lui venir en aide.
– Chérie, tu sais, lui dis-je, malgré les plaisirs que tu m’as fait découvrir, je me sens toujours attirée pas les mecs. Je reste hétéro et ce qui me manque le plus dans nos rapports, c’est l’absence d’une queue en érection. Daniel est beau mec. Tant qu’à faire, j’aurais préféré coucher avec lui sans sa nana. Et puis, tant qu’à monter un plan cul, autant que ce soit avec lui, comme ça je te sauve la mise et je découvre une autre expérience sexuelle. Un jour où l’autre la situation d’avoir un homme et deux filles se présentera obligatoirement. Autant que se soit aujourd’hui.
Anne-Lise me remercie de mon geste.
Le lendemain matin, Daniel nous demande ce que nous avons décidé. J’ai envie de baiser, pas faire l’amour non, baiser simplement avec lui. Alors que sa copine soit avec nous dans le lit, ça ne fait qu’ajouter du piment à ce plan cul. Parfois je suis comme ça, un peu salope. Ma maîtresse répond donc à son frère d’une façon ferme :
– Ma copine est d’accord, mais à une seule condition. Que je m’entretienne avec ta copine avant l’expérience pour voir si elle a vraiment un tel fantasme. Car parfois, les fantasmes restent et doivent rester à l’état de rêve. Il faut qu’elle soit bien décidée à franchir le pas.
– Ok, mais tu verras qu’elle est prête à tout. Elle m’a avoué son envie qu’une femme vienne se joindre à nous.
Daniel va donc chercher Martine à la gare comme prévu. Elle arrive en fin de matinée alors qu’Anne-Lise et moi sommes allongées près de la piscine. On fait les présentations et, une fois qu’elle a déposé ses valises dans la chambre de son homme, elle vient nous rejoindre dans la même tenue que nous : Topless. Elle est très mignonne comme annoncée : Les cheveux blonds comme les blés, un visage fin mais à la bouche sensuelle. Ses seins sont d’une taille modeste, mais tiennent bien, pointant fièrement. Elle plonge dans la piscine et nage pendant plusieurs minutes. Puis en sortant elle nous dit :
– Je pensais qu’on aurait pu se mettre toute nue, ce serait plus sympa.
– C’est pas vraiment le genre de la maison, répondit Anne-Lise, mais si vraiment tu y tiens, tu peux y aller.
Sans pudeur et devant les yeux libidineux de son copain, elle enlève son maillot. C’est une vraie blonde, la toison fine de sa chatte étant elle aussi dorée comme les blés. Je remarque également que si elle a gardé ses poils en bas du ventre, elle a rasé ceux autours de ses lèvres et son clitoris, laissant bien apparaître son sexe. Je crois qu’on appelle cela une coupe à l’italienne. Elle s’essuie, passant la serviette sur son sexe, écartant les lèvres de celui-ci. Voyant cela, Daniel lui aussi quitte son slip exhibant une queue qui bande fièrement.
Ce n’est qu’en début d’après-midi qu’Anne-Lise aborde avec Martine le sujet de ce fameux fantasme :
– Alors il paraît que tu souhaiterais qu’une femme vienne s’incruster dans votre couple ?
– Oh, oui ! Plus que jamais. Depuis que Daniel m’en a parlé dans la voiture en venant, je mouille d’impatience. Pouvoir baiser avec une fille et voir mon mec la faire jouir tout en me faisant jouir, ce sera extra.
– Tu as déjà couché avec une fille ?
– Oui, naturellement. Avec une copine de vacances.
– Mais tu sais, ce n’est pas anodin une partie à trois comme ça. Cela n’a rien à voir avec de l’exhibitionnisme ou du voyeurisme, c’est tout autre chose. Il faut tu acceptes que ton mec se fasse une autre fille devant toi. La jalousie est un sentiment qui peut t’envahir rapidement et sans prévenir.
– La jalousie, je ne sais pas ce que c’est. Au contraire, voir Daniel se faire sucer par une autre fille, j’en rêve. Car en plus je suis certaine qu’il aimera beaucoup d’avoir deux filles pour lui tout seul.
– Mais tu veux le faire pour toi ou pour lui ? Car si c’est pour lui, par amour je me demande si tu ne le regretteras pas après ?
– Non, certainement pas. Je voudrais déjà y être.
Devant la résolution inébranlable de Martine, Anne-Lise me glissa à l’oreille :
– J’aurais essayé.
Dès le repas du soir avalé, Martine, Daniel et moi-même nous montons dans la chambre de nos ébats. La porte n’est pas encore refermée que je me jette sur la fille, lui arrachant le paréo qu’elle porte : Elle est nue dessous. Je la jette sur le lit, je me couche sur elle, l’écrase du poids de mon corps et l’embrasse fougueusement.
Daniel nous rejoint sur le lit et se place devant nous pour présenter son sexe déjà en érection. Martine le gobe, j’attends quelques secondes, puis la pousse pour avoir moi aussi ma ration. Sur la tige dressée, nous nous embrassons toutes deux, nos langues se rencontrent sur cette hampe chaude. L’une s’occupe des bourses en mouvement, l’autre de la tige, puis nous inversons. Le mâle est déjà au summum de l’excitation ; comme je ne veux pas qu’il parte trop vite, j’entraîne Martine pour un break lesbien.
Alors que je suis en train de lécher le sexe de ma partenaire, je sens une paire de mains remonter le long de mes hanches. La chemise que j’avais revêtue, puis la ficelle de mon string sont écartées. Une chaude et râpeuse langue s’aventure sur mon intimité. Je ne suis pas longue à mouiller, tant l’excitation est grande. Il sait bien y faire ce mec, il me fait autant de bien que je peux en faire à sa copine. Il tente de me pénétrer. Mais je tiens à rester maîtresse des opérations. Je me dégage et je le renverse sur le lit. J’approche ma bouche de sa tige et reprends la fellation.
Martine, elle, se couche tout contre son amant, l’embrasse amoureusement. Il a pris entre ses doigts son sexe et il lui malaxe les lèvres, y insinue un ou plusieurs doigts. Je me dégage de cette queue bien excitée dans ma bouche et déplace Martine pour qu’elle vienne s’empaler sur son copain. Une fois bien en position, je place mes jambes de part et d’autre du visage de Daniel, et lui présente mon sexe qui demande des caresses. La fille coulisse sur la queue de son copain, tandis que lui me lèche les lèvres et le clitoris. Je prends un pied infernal à voir cette fille chevaucher ainsi son copain, à voir le membre entrer et sortir de son con et ses petits seins ballottés.
Elle n’est pas longue à jouir. Et s’écroule sur le corps de son homme. Je la déplace pour prendre possession de la bête. Il n’a rien perdu de la belle érection, je lui pose un préservatif et à mon tour je m’empale dessus. Il me renverse, la crapule, pour être sur moi. Martine remise sur pied vient se placer entre nos jambes : Elle suce alternativement le sexe de son homme qui coulisse en moi et mon propre sexe. Dans une extase magnifique, Daniel et moi jouissons ensemble. Nous nous embrassons tous trois en nous tripotant : Moment agréable après la tourmente.
Je demande à Martine de me lécher le sexe, ce qu’elle fait assez habilement. Comme je constate que Daniel n’a pas commencé à rebander, je me place en 69 avec ma partenaire. En investissant son vagin dégoulinant, je vais à la recherche du point G. Je le trouve presque tout de suite et là, c’est un déluge qui asperge mon visage tandis que le corps de la fille se cambre sous l’effet du plaisir. J’ai une partie de ce jus en bouche et le répartis en parts égales en embrassant les deux membres du couple.
Je remarque avec plaisir que l’homme a repris des forces et l’invite à me pénétrer en levrette (avec un nouveau préservatif, on n’est jamais trop prudent). Il entre d’un coup et me défonce littéralement, mais c’est divinement bon. Autant on peut aimer les douceurs qui sont données dans l’amour, surtout par une fille, autant un peu de violence peut provoquer aussi une jouissance infernale. Mais je ne veux pas jouir sur lui. Je l’invite à prendre sa compagne. Il décide de la sodomiser en la plaçant au-dessus de lui. Il la lubrifie un minimum avec sa propre mouille. Pendant l’intronisation, elle geint et couine. Une fois bien en elle, il commence un va-et-vient qui semble satisfaire sa partenaire, puisque maintenant, elle gueule… de plaisir. Je lui caresse les seins, les tripote, les malaxe, les embrasse, les mordille… Cela décuple son plaisir, semble-t-il. Elle jouit avec une rare intensité. Daniel se retire et se finit à la main, pour éjaculer sur nos corps. Martine ne semble pas être capable du moindre mouvement. Alors je viens recueillir sur sa poitrine la semence de son homme pour lui faire goûter.
J’entreprends à nouveau de remettre en forme le sexe du bel étalon, avec bien du mal. Après bien des efforts, il bande à nouveau. J’ai juste le temps de lui enfiler un nouveau préservatif et il me bascule pour me prendre dans la posture de l’enclume (c’est son nom dans la kamasoutra). Je suis allongée sur dos, il me remonte les jambes haut, jusqu’à placer mes pieds sur ses épaules. Il vient en moi encore plus profondément. Comme je suis abondamment lubrifiée, je ne ressens aucune douleur, seulement dès l’intronisation un réel plaisir. Cette posture ne peut que plaire à ce macho : Pouvoir entrer en moi très profondément et voir son sexe entrer en moi. Il se prend pour un vrai dominateur. Moi je suis comblée. Il sort à mon grand dam et je vois tout de suite qu’il veut me sodomiser.
– Je veux t’enculer, laisse-moi faire.
– Pas question, lui réponds-je, de toute façon tu ne bandes plus assez ferme pour rentrer dans un cul.
Et je dirige son sexe vers la chatte de sa copine. En fait c’est moi qui dirige tout, c’est moi la véritable dominatrice. Il la prend dans la même posture que moi tandis que je me mets à califourchon au-dessus de la tête de la fille. Elle me prodige une minette qui me fait littéralement fondre. Je jouis une nouvelle fois, Martine m’accompagne et Daniel déverse son foutre dans le vagin de sa copine. Après ces orgasmes à répétitions, nous nous endormons enlacés. Lorsque je me réveille dans la nuit, je m’extirpe de leurs bras et viens retrouver ma chère Anne-Lise. Elle ne dort pas et glissant une main entre ses jambes, je constate qu’elle mouille : Elle s’est branlée en m’attendant. Elle vient me lécher les seins où elle recueille le sperme et la mouille séchée de mes deux partenaires.
Le lendemain, nous sommes repartis vers nos études sans reparler de ce que nous avions fait cette nuit-là.
A suivre.
Pour me contacter : caval77 @ sfr.fr
Proposée par CAVAL
Excellent texte. Excitant et bandant.