Après avoir quittée la terrasse où je lisais tranquillement suivant mon voisin Christian Frégat, qui était venu me rejoindre où après m’avoir dragué un long moment, je me me laissais faire car déjà éprise de lui et dès son premier baiser je me sentis défaillir et sentant ses mains caresser ma lourde poitrine, j’avais trop envie de lui comme lui de moi pour le repousser !!!!!! il me fit monter chez lui en faisant attention à ne pas trop faire craquer les marches de l’escalier en bois pour ne pas éveiller la voisine.
Arrivée devant chez lui il me serra contre la balustrade faisant face à sa porte d’entrée et me demanda gentiment
« ….tu sais Annick si tu rentres chez moi, tu sais à quoi t’attendre ?…. »
« ………oui lui répondis-je doucement….
« …….tu ne vas pas le regretter ?…. »
…. »non lui dis-je d’une voix suave et sensuelle…. tout en étant aussi bien excitée que timorée car c’était la première fois que j’allais tromper mon mari ……. »
Avant d’ouvrir sa porte il m’embrassa longuement…….et dans un baiser langoureux plein de promesse il me fit entrer chez lui, prenant la grande précaution de refermer à double tour cette porte qui me condamnait à rester avec lui et condamnait toute retraite !!!!! J’étais comme ivre de bonheur et de crainte mais son regard ténébreux, son sourire radieux, ses caresses prometteuses firent que bien que tétanisée, je le suivais jusqu’à sa chambre !!!!
Dans sa chambre dont les volets ouverts faisait pénétrer la clarté lunaire. Il me déshabilla doucement en prenant grand soin de ma personne, presque comme si j’étais un objet précieux !!!!!!!!!dès que je fut seulement en soutien gorge et culotte il m’allongea sur son lit, se déshabilla rapidement et vint se coller contre moi.
Il m’embrassa à nouveau, ses mains se portèrent sur mon soutif qu’il dégrafa délicatement. Lorsque ma lourde poitrine apparut devant lui, il y colla ses lèvres pour les couvrir de chauds baisers puis il s’emballa comme hypnotisé par mes deux seins blancs, il les embrassait, les suçait, les léchait, en tétait les tétons, les pelotait, les caressait, en faisait la totale découverte…..Il appliqua de doux suçons sous le sein droit sur mon torse……………il s’en occupa un très long moment, puis descendit à hauteur de ma culotte qu’il retira avec beaucoup d’application et me bouffa la chatte avec douceur et frénésie.
Il écarta les grandes lèvres à l’aide de sa langue et me titilla le clito……….
j’étais aux anges, je me pâmais sous ses coups de langue, je commençais à émettre mes doux gémissements jouissifs qui lui plus de suite et qui d’après ses dires le rendait encore plus excités de vouloir me posséder.
j’écartais bien grande mes cuisses afin de lui permettre de bien déguster mon sexe comme il le souhaitait….je commençais de tourner la tête de droite et de gauche sur l’oreiller indiquant que j’étais ravie de ce qu’il m’offrait, puis il couvrit mes cuisses, mes genoux, mes mollets, mes pieds blancs de chauds baisers avant de remonter sur moi.
Les cuisses toujours grandes ouvertes, de mes doigts j’écartais les lèvres de ma chatte pour lui permettre de me pénétrer sans aucun obstacle et je sentis en moi sa queue qui coulissait comme dans un fourreau bien adapté à son membre et je me serrais contre lui, son torse contre mon torse, mes seins écrasés par son poids, sa bouche collée à la mienne, le rythme imposé par ses coups faisait danser le lit et craquer le sommier mais tout ce bruit ne gênait nullement Frégat qui poursuivait inlassablement ma conquête en me faisant jouir comme une folle entre ses bras.
Je soupirais d’aise pendant qu’il ahanait sous les coups qu’il me donnait. Il me fit l’amour avec douceur comme l’avaient été ses caresses, tout en lui était doux et délicat….je sentais ses couilles frapper le haut de mes cuisses lorsqu’il me pénétrait entièrement.
Mes soupirs amoureux se transformèrent en gémissements jouissifs sonores lorsqu’il éjacula en de longs jets puissants sa semence adorée.
Cette nuit là il me reprit plusieurs fois toujours avec autant de délicatesse et d’ardeur et de fougue confondus. J’étais bien avec lui tant j’appréciais ce qu’il m’offrait. Je n’ai jamais été autant aimé par un homme qu’avec lui et honnêtement je ne pensais pas qu’à mon âge et avec un physique moyen je puisse éveiller tant d’ardeur amoureux par un homme comme lui. Je ne regrettais vraiment pas d’avoir acceptée son invitation et de devenir sa maitresse attitrée.